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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 19:17

DES EFFETS SECONDAIRES ?

 

A court et à long terme, tous les vaccins présentent des effets secondaires, effets rapportés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et décrits dans nombre de revues médicales. Convulsions, fièevre, urticaire, gonflement des ganglions, oedèmes, troubles gastro-intertinaux, apparaissent suite à l'injection du vaccin.

 

 Les médecins conscients de ces effets secondaires ne les réfuteront pas mais concluront que "de deux maux, nous devons choisir le moindre mal". Les vaccins, vraiment le moindre mal?

Chez plusieurs enfants vaccinés (particulièrement avec le DCT- diphtérie, coqueluche, tétanos) , on dénote des atteintes au système nerveux central, des cas de paralysie et d'inflammation du cerveau.

 

Selon une étude de Allan Hinman et Jeffrey Copelan publiée en 1984 dans le Journal of the American Medical Association, sur les 3,3 millions d'enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16,038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants - ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l'indication d'une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l'injection du DCT.

A long terme, les vaccins, en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes.

 

G. Dettman dans l'Australian Nurses Journal (1977) rapporte que "certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l'arthrite rhumatoîde, la leucémie, le diabètew et la sclérose en plaques"

 

Un article dans le British Medical Journal (1967) par Miller abonde dans le même sens:"Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose". R. Maskowitz, médecin et gradué de Harvard, est convaincu que les vaccins peuvent, à long terme, mener à une déficience du sytème immunitaire et causer: "des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d'organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément".

 

LIÉS À L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE?

 

Les vaccins découlent directement de l'expérimentation animale , puisqu'en plus de contenir des sous-produits de l'abattoir, ils sont par la suite systématiquement tester sur des animaux. Des milliers de singes , par exemple, souffrent pour l'élaboration des vaccins contre le Sida et l'hépatite.

 

Les vaccins de la rougeole, de la fièvre jaune et des oreillons se cultivent sur des embryons de poulets. Celui contre l'encéphalite japonaise dans des cerveaux de souris ; ceux contre la polio, la rage, la varicelle et l'hépatite A baignent dans le serum bovin.

 

Un virus a besoin de matière vivante pour se multiplier. L'embryon de poulet semble pour les multinationales de vaccins un foyer de culture idéal. Après onze jours d'incubation sous une température constante, un technicien injecte un virus dans l'embryon. On laisse le virus se multiplier à l'intérieur de l'oeuf embryonnaire pendant deux ou trois jours. Le liquide dans lequel baigne l'embryon ou l'embryon lui-même est traité avec différents produits chimiques. Cette macération permet selon les fabricants de "digérer l'embryon". La dernière étape consiste à filtrer le liquide, opération permettant de ne conserver que le virus.

 

Les embryons de poulet se forment entièrement après 35 heures d'incubation et on peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Ces futurs poussins proviennent de poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. De l'élevage intensif dans toute son horreur. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, la compagnie pharmaceutique Bio-Vac consomme 160 000 oeufs par semaines.

 

Les vaccins cultivés sur des cellules animales peuvent contenir des contaminants non décelés par les fabricants. Aucun laboratoire ne peut garantir l'asepsie des cellules animales servant à la culture vaccinale. Le virus de la leucose aviaire contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et la rougeole jusqu'à 1962.

 

Dans la revue américaine Science (1972) le dr. Leonar Hayflick, professeur de microbiologie à l'Université de Stanford en Californie, déclarait: " Un nombre important de reins de singes (25 à 80&) traités pour la fabrication des vaccins, doivent être écartés à cause d'une contamination étendue par un ou plusieurs de 20 virus connus. Il y a au moins plusieurs centaines de milliers de personnes aux Etats-Unis qui ont été inoculées avec les virus vivants SV-40 qu'on a trouvés dans des vaccins antipolio produits sur des cellules de reins de singes. Ce virus SV-40 provoque des tumeurs chez les hamsters et convertit in vitro les cellules humaines normales en cellules cancéreuses".

 

 Le 11 mai 1987 le London Times rapportait des informations concernant un représentant de l'OMS. Ce dernier affirmait avoir des preuves démontrant que l'origine et la prolifération du virus du Sida provenait du vaccin antivariolique administré pendant les 13 années dans les pays du Tiers-Monde par l'OSM. Pour Jeremy Rifking du groupe environnemental The Fondation of Economics Trands: " Il est possible que certaines contaminations de virus animaux dans les vaccins, comme celui de la variole, ont joué un rôle dans l'émergence du sida et d'autres maladies"

 

Cette fondation croit que le vaccin de la variole et d'autres vaccins contenant du sérum de boeuf/vache peuvent être l'hôte du " virus bovin de déficience immunitaire" et se transmettre à l'humain. Ce virus est semblable au VIH humain. Un virus voisin, le "virus bovin de la leucémie" (VBL) se retrouve aussi chez les bovins et ressemble à un virus humain, le HTLV-I qui cause une forme rare de leucémie. (Le département américain de l'Agriculture a décelé le VBL dans plus de 60% du bétail américain)

 

L'antagonisme biologique entre les espèces est si puissant que les virus d'une espèce, inoffensif pour elle (par exemple, le SV-40 est inoffensif pour les singes) peuvent devenir dangereux lorsque transférés è une espèce différente, comme l'espèce humaine, au point de devenir cancérigènes. Le Dr. Leonard Hayflick, déjà cité, fait la remarque suivante: "Les virus animaux cancérigènes les plus importants - ceux qui peuvent être isolés chez les primates, le SV-40 et les adénovirus cancérigènes - ne sont cancérigènes que quand ils passent à une autre espèce. Aucun virus cancérigène de primate ne produit des tumeurs dans l'espèce animale dont le virus est originaire, mais de tels virus peuvent produire des tumeurs dans des espèces animales hétérogènes".

 

Bien sûr, il s'agit ici de virus connus mais il en existe une multitude qui non décelés peuvent contaminer les vaccins.

 

En 1966, sept chercheurs allemands du laboratoire Behring trouvèrent la mort en travaillant sur des singes utilisés pour la fabrication des vaccins contre la poliomyélite et le typhus. Trente autres chercheurs été malades sans qu'on puisse identifier le virus responsable.

 

RAISONS PHILOSOPHIQUES? RELIGIEUSES? ÉCOLOGIQUES?

 

Comme nous venons de le voir, les vaccins ne semblent pas un signe évident de protection contre les maladies. Par delà le côté strictement de santé, certains évoquent pour les refuser des raisons philosophiques ou religieuses.

 

Dans les années 80, des groupes opposés è l'avortement voulaient mettre fin à l'usage d'un vaccin contre la rougeole provenant des tissus prélevés sur un foetus obtenu lors d'un avortement. Le vaccin, nommé WI-38, avait été fabriqué en 1962, à partir de tissus de poumon prélevés sur un foetus suédois. Les tissus originaux furent congelés pour servir à produire le vaccin partout dans le monde par culture cellulaire, Des porte-paroles de ces divers groupes trouvèrent l'usage de ce vaccin offensant et répugnant, du point de vue moral. En 1984, ils affirmaient qu'au Canada, c'était le seul vaccin contre la rougeole disponible depuis 1979.

 

En Inde, on vaccine massivement des disciples de l'hindouisme ou du jaïnisme avec des vaccins provenant de reins de singes ou contenant du sérum bovin. Cette population ayant une révérence religieuse pour ces animaux, ignorent probablement le fait et se soumettent à la technologie de l'Occident, une autre forme de colonialisme.

 

Les vaccins perturbent l'écologie de notre corps, de ceux qui nous entourent et de la planète. Les laboratoires rejettent nombre de produits chimiques servant à l'élaboration des vaccins. En outre, le virus vivant de la poliomyélite, par exemple, en se répliquant dans l'intestin du sujet vacciné, est ensuite excrété en grande quantité dans le milieu extérieur. Les virus deviennent source de pollution.

 

Tout vacciné est potentiellement capable de contaminer son entourage. La menace ne vient pas des non vaccinés mais des vaccinés!!

 

Il peut aussi y avoir le danger qu'un virus s'échappe du lors des recherches. En 1978, une femme travaillant dans un laboratoire de l'Université de Birmingham est morte après la "fuite" d'un virus porteur de la variole.

 

Le respect de maladies le plus souvent bénignes doit être envisagé. Les maladies et les dites épidémies apparaissent par cycles et disparaissent d'elles-mêmes.

 

Nous devons fortifier notre système immunitaire - par une alimentation végétarienne et biologique, une bonne hygiène de vie, etc. - et non l'agresser avec des produits chimiques, des virus d'animaux malades, des substances toxiques et des débris d'abattoir.

En matière de microbiologie, il arrive que ce qu'on croit mort soit vivant. Même constitués de microbes ou de virus atténués ou tués, ces éléments que l'on tient pour inactifs peuvent se réactiver.

Les vitamines A et C se révèlent très utiles contre les maladies infectieuses. Plusieurs chercheurs démontrèrent que la vitamine C par exemple, inactive le virus le l'herpès, de la poliomyélite et de la rage. En 1937, le Canadian Medical Association Journal, décrivait cette expérience: on administra 1 gramme de vitamine C pendant plusieurs jours à 29 patients souffrant de coqueluche. Les chercheurs trouvèrent que le "traitement abaissa l'intensité, le nombre et la durée des symptômes".

On retrouve dans la littérature médicale d'autres études semblables sur la vitamine C et ses effets thérapeutiques contre la lèpre, la fièvre thypoïde et la dysentrie.

(Notons que des séquelles neurologiques peuvent survenir
après la vaccination même en l'absence de réactions extrêmes)
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