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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 18:59

Témoignage

Le récit de ma catastrophe vaccinale


Je vais commencer l'histoire en la racontant avec la naïveté qui me caractérisait au moment ou les faits se sont déroulés.
En novembre 2003 je décide de partir dans le Sahara occidental pour une randonnée de 2 semaines. Le départ est prévu pour début janvier 2004.
Entretemps, début décembre 2003, je consulte un médecin généraliste pour me mettre en règle de vaccination. Le médecin consulte la carte de l'Afrique, un carnet spécialisé, et me recommande les vaccins suivants :

  • fièvre jaune [obligatoire]
  • fièvre typhoïde (Typhim)
  • méningite (Mencevax)
  • hépatite A (Twinrix)
  • hépatite B (Twinrix)
Comme nous prévoyons de boire l'eau des puits, le risque de contamination, en particulier par le virus de l'hépatite A, est élevé. Sur le conseil du médecin je choisis la sécurité : je m'injecte tous les vaccins qu'il recommande, même ceux "non obligatoires". Tous les vaccins me sont injectés en 24h, sur le conseil de l'infirmière et du médecin : "parce que l'organisme préfère produire tous ses anticorps en même temps".

Les vaccins de la méningite et le de la fièvre jaune me sont injectés au ministère de l'intérieur. Rien que cette scène mérite d'être racontée : un médecin en blouse blanche me reçoit dans son bureau. Il me fait m'appuyer debout contre un petit frigo, position inconfortable. Je relève ma manche. Le médecin a l'air très agité ; ses mains tremblent. Il manipule son matériel par petits à-coups nerveux. Il me plante vivement l'aiguille dans le bras. Je lui dit que ça m'a fait mal. Il me répond que c'est la première fois qu'il entend ça. Je crois rêver !

Dans les jours qui suivent, je me sens fatigué. Je me dis que c'est à cause des vaccins, que mon corps réagit, se bat, que c'est normal, que ca va passer. La sensation de fatigue physique commence à passer. Jusque fin décembre je ne suis moins fatigué physiquement, mais j'ai en permanence du mal à me concentrer sur mon travail. Je me dis que je viens de terminer un gros travail, exécuté sans relâche de juillet à octobre et que c'est normal, que j'accuse le contrecoups, que j'ai besoin de repos et de me changer les idées, et que pour trouver satisfaction il me suffit d'attendre les vacances.


Au travail, malgré la fatigue, je fais tout ce que je peux pour terminer ma tâche courante avant les vacances. Mais je suis trop épuisé et je n'y arrive pas. Je me dis que je terminerai apres les vacances. Pour être sûr de rentrer au travail en forme après la randonnée, je prévois une semaine de congés post-vacances. C'est drôle d'imaginer que je vais prendre des vacances pour me remettre de mes vacances.

 

Le jour du départ, le 11 janvier 2004, je m'injecte le rappel de Twinrix, combinaison des vaccins de l'hépatite A (Havrix) et de l'hépatite B (Engérix-B).


Arrivé en Afrique, je m'émerveille : la lumière, la chaleur, le dépaysement. Je me sens plus en forme. Néanmoins, malgré que je sois le plus jeune du groupe j'ai du mal à suivre le rythme, j'ai des dérèglements intestinaux (constipation, diarrhées). Je me dis que j'ai attrapé la turista et je prends de l'Immodium pour bloquer, de l'Ercéfuryl pour désinfecter, etc. Mes veines sont anormalement gonflées.

 

Une semaine passe. Ca ne va pas mieux.

 

Un jour, en gravissant une colline, j'attrape une petite crampe à la jambe gauche. Je me dis que j'ai forcé en voulant monter sur une grosse pierre et je me dis que ca va passer. Une heure plus tard nous partons à pied à travers le désert, pour 7 kilomètres de plat. Au début je pars sur les chapeaux de roue. Je m'épuise très vite, ce qui ne me ressemble pas. Puis je sens ma crampe qui revient. Je ralentis. Je m'arrête et je me masse la jambe, je pratique des étirations. Je ne suis pas un amateur : je suis un masseur-thérapeute professionnel, normalement je m'auto-guéris facilement de ce genre de trouble. Je tente au moins de me soulager pour arriver au camp. Lorsque je sens mon muscle se détendre, je reprends la marche. Après quelques pas la crampe revient aussitot. Je me dis que ce n'est pas normal. Je force un peu, j'adopte une autre technique de marche. Rien à faire: la crampe augmente, au point de devenir insupportable. Je demande à mon compagnon de marche de continuer seul et de revenir me chercher avec le 4x4.

 

Entre temps je me couche sur le sable et je continue à me masser la jambe. Je me rends compte que je souffre d'un problème sérieux et qu'il n'est pas d'origine musculaire. Je diagnostique "un déplacement vertébral d'origine inconnue et un pincement du nerf de la jambe qui provoque une faiblesse musculaire, avec compensation par mise en tension anormale de muscles alternatifs". Je me dis d'expérience que ce genre de problème nécessite l'intervention d'un osthéopathe. Malheureusement, dans le groupe personne n'est osthéopathe, nous avons bien deux masseurs, un médecin et un infirmier, un véritable petit hôpital en campagne, mais pas d'osthéopathe. Je me dis que je vais me masser régulièrement en attendant notre retour en Europe, en espérant que je tienne le coup.

 

Pendant les derniers jours je suis en permanence à la limite de la crampe : quand je marche je boîte, quand je peux me reposer je masse, j'évite les excursions facultatives pour faire le minimum d'effort physique, je prends des médicaments. Je souffre en permanence. Et en plus j'ai horriblement mal au ventre.

 

Au retour à Bruxelles la premiere chose que je fais est de prendre rendez-vous avec mon osthéopathe. Il confirme mon diagnostic de pincement vertébral et lie mon problème de "turista" au pincement vertébral et à la crampe, trouble de vésicule biliaire selon lui. Comme à son habitude il travaille mon ventre et mon dos. Au sortir de la séance, la crampe a disparu. Je suis sans inquiétude, je me dis que je suis guéri.

 

Malheureusement le lendemain mon ventre est guéri mais la crampe revient. Pire, elle augmente et devient insupportable. Heureusement je suis en congé pour la semaine et je me repose autant que possible. Je parviens à me soulager par des massages quasi incessants. Mon médecin ne voit pas quoi faire et me suggère de continuer les thérapies alternatives.

 

A la maison je reste dans mon lit. Je me repose. Après un jour j'ai froid, je grelotte, je tremble "comme une feuille". Je me mets sous la couette en maugréant contre la météo belge, en me disant qu'"il fait froid dans ce pays", et je monte le chauffage. Je continue à trembler. Je me dis que c'est la fatigue, le retour d'Afrique, le passage à un autre climat. Je me dis que c'est normal ... J'ai toujours ma crampe. Je ne suis pas en état de travailler, impossible de me concentrer sur quoi que ce soit.

 

L'histoire aurait pu s'arrêter là. J'aurais pu me retrouver avec une crampe chronique inexpliquée et une capacité de travail en permanence en sous-régime. J'aurais pu me résigner à mon sort, abandonné par la médecine traditionnelle et par une partie de la médecine alternative. Ce n'aurait pas été la première fois. Mais cette fois-ci je n'ai plus le goût de la résignation. J'en ai marre de laisser tomber les bras, ça ne m'a jamais réussi sur le long terme et je sais à present qu'il y a toujours des alternatives et que le combat en vaut la peine.

 

Comme toujours dans ces cas-là, je prends le taureau par les cornes, j'escalade le problème. Lorsque je me retrouve face à un problème non résolu, ni par mon osthéopathe habituel ni par mon médecin, je le soumets à un autre osthéopathe que je connais : appellons-le "Dr. O". C'est un osthéopathe que je connais depuis cinq ans, qui a fait des miracles avec mon accident de voiture et plusieurs autres problèmes majeurs, qui traite efficacement (les patients guérissent après 2 ou 3 séances et en général ne doivent plus revenir), qui connait et maîtrise son sujet, écrit dans des encyclopédies, quelqu'un de célèbre donc, mais de toujours disponible et de personnel, malgré sa grande patientelle, quelqu'un pour qui j'ai beaucoup d'admiration autant sur le plan humain que professionnel, et que j'essaie de déranger le moins possible avec mes "petits" problèmes.Je ne vais donc le voir qu'en toute dernière extremité, et je sais qu'il me guérira là où tous les autres thérapeutes, traditionnels et alternatifs, ont échoué.

 

Ca fait 5 ans que je fonctionne comme ça et je n'ai toujours eu qu'a m'en féliciter. En l'occurrence, il est temps de faire appel à lui. Je vais donc voir le Dr. O et je lui parle de mon probleme de crampe. Je lui parle de mon soucis de turista en vacances. Je lui parle de mes difficultés de concentration. Il me demande si je me suis fait vacciner pour partir. Je lui dit oui. Il me dit que le problème des vaccins est qu'ils bloquent le système immunitaire, d'où probablement je me suis retrouvé sans défense face à la turista. Pour le reste, il me dit qu'il ne peut rien faire dans mon état, qu'il a besoin d'une structure, et me manipule le dos à 3 endroits : lombaires, dorsales, cervicales. 3 manipulations, c'est rare de sa part, car même s'il est osthéopathe il ne manipule presque jamais. Il me dit de laisser mon corps récupérer et de revenir la semaine d'après avec la liste de mes vaccins ... tous ceux qui m'ont été injectés depuis la naissance.

 

Je rentre chez moi. Ma crampe a disparu. Je m'attends à la voir reprendre de plus belle mais elle semble se stabiliser à un niveau acceptable, je ne la sens presque plus. Je croise les doigts. Mes tremblements ont diminué. Mais ils sont toujours là, et je n'arrive toujours pas encore à me concentrer.

 

Une semaine plus tard, je retourne voir le Dr. O comme convenu, avec la liste de mes vaccins injectés depuis la naissance, une quinzaine. Je ne savais pas qu'on m'en avait injecté autant. Je lui cite tour-à-tour les vaccins de ma liste. Il a dans son cabinet une quirielle de tubes en verre contenant chacun "un vaccin". A chaque vaccin il prend le tube correspondant, et procède ensuite au fameux "test musculaire", un test issu de la kinésiologie appliquée. A chaque vaccin ma réponse au test musculaire est "fort". Cela signifie "pas de problème". Vaccin après vaccin, pas de problème.

 

Subitement, un des vaccins se révèle "négatif". C'est le vaccin contre l'hépatite A. Diagnostic: ce vaccin me "pose problème". Nous finissons les tests et seul ce vaccin pose problème. Le vaccin contre l'hépatite A ... Diagnostic osthéopathique plus approfondi : dysfonctionnement du Système Nerveux Central (d'où la crampe, les tremblements, et les problèmes de concentration), avec risque de sclérose en plaques à moyen terme. Rien que le nom de cette maladie me fait peur. Plusieurs de mes amies en sont atteintes et pour ce que j'en connais je trouve cette maladie effrayante.


Le Dr. O se veut néanmoins rassurant, il m'assure qu'il existe un remède et qu'on va le trouver. Il sort sa valise de produits homéopathiques ; son attention se porte sur une demi-douzaine de produits qu'il estime susceptibles d'etre efficaces. Il les teste sur moi un par un, toujours par la méthode du "test musculaire", en combinaison avec le vaccin. Un des produits se révèle "positif", c'est-à-dire efficace. C'est du Gelsémium. Le gelsémium est une plante qui pousse en Louisiane et qui est connue pour ses effets neuro-régulateurs. Je reçois comme prescription: "1 dose de Gelsémium 200K". J'achète le produit en pharmacie : c'est une grosse gélule remplie de petits granules. Au soir avant d'aller dormir j'ouvre la gélule et je prends en une seule fois tous les granules, que je laisse fondre sous la langue, conformément aux instructions du Dr. O et du pharmacien.


Le lendemain matin tous les symptômes ont entièrement disparu : je ne tremble plus, ma crampe a entièrement disparu, et surtout, j'arrive parfaitement à me concentrer. Je me remets aussitôt au travail.
La semaine suivante, je retourne voir le Dr. O pour un bref contrôle. Test musculaire : le vaccin contre l'hépatite A ne pose plus de problème. Il détecte néanmoins une faiblesse du foie, qu'il prédit problématique pour les mois à venir, à cause de l'élimination du vaccin qui reste à réaliser. Je me dis que je suis guéri ou presque.

 

Malheureusement ce n'est pas fini. Un mois plus tard je retourne voir le Dr. O comme convenu : comme prévu, je souffre d'hypotonie du foie, système immunitaire au plus bas. Il me prescrit du boldo, un complément alimentaire pour drainer le foie. Je commande les produits aux laboratoires Fenioux mais la livraison traîne. Après une semaine sans médication je tombe malade, avec les symptômes de la grippe et ... des tremblements (!), comme si j'avais très froid. Je suis paralysé, incapable de marcher, ou même de me lever. Je n'ai pas faim, je n'ai pas soif. Heureusement, car dans mon état je ne saurais même pas satisfaire ces besoins. Après 36 heures, du fond de mon lit, j'appelle le Dr. O. Par téléphone il me prescrit un traitement homéopathique, avant lequel il me suggère de commencer par une dose de Gelsémium 200K. Comme je ne me sens pas la force d'aller jusqu'à la pharmacie en bas de chez moi je décroche mon téléphone et j'appelle mon papa à la rescousse. Il arrive avec les médicaments. Je prends le Gelsémium et 4 heures plus tard tous les symptômes ont quasiment disparu. Il semblerait donc que les effets à long terme du vaccin ne soient pas étrangers à cette "grippe" ... Quelques jours plus tard je n'ai plus aucun symptôme.

 

 

Pendant le reste du mois je suis particulièrement vigilant. Je me promène avec mon tube de Gelsémium en basse dilution 5CH, et je prends 2 granules dès que les tremblements reviennent. Le remède est efficace, mais il n'est pas exclus que je doive le prendre à vie. J'attends l'évolution pour voir s'il est nécessaire d'agir plus fortement. J'ai en permanence peur que la sclérose en plaques ne se déclare. Néanmoins le Dr. O semble confiant. J'espère donc un jour être quitte de ces problèmes, j'ai bon espoir de guérison.

 

Un jour je vais me faire masser par mon professeur de massage. Il se dit inquiet de mon état et m'incite à l'action. Il me donne les coordonnées de la ligue belge pour la sclérose en plaques. D'après la ligue mes symptômes correspondent à une sclérose en plaques. Pour connaître l'exact état de ma maladie, je demande à mon médecin de me prescrire un examen médical de type IRM. Je téléphone à l'hopital universitaire Erasme pour prendre rendez-vous. La standardiste me met en communication avec un répondeur, qui explique que pour ce type d'examen il n'est pas possible d'obtenir un rendez-vous avant 6 mois, et que la demande de rendez-vous doit se faire par fax, en indiquant ses coordonnées et en joignant la demande du médecin. Doux Jésus ! 6 mois ! Il ne faut pas être pressé ! N'ayant pas d'autre choix je m'exécute : je faxe la demande du médecin avec mes coordonnées. Je ne recevrai jamais de réponse ...

 

Dans le courant du mois de mai, les tremblements reviennent de plus en plus souvent, jusqu'à plusieurs fois par jour. Pendant la journée mon humeur varie de très spittant à renfrogné. En marchant dans la rue il m'arrive de perdre l'équilibre. Mes yeux sont fatigués, douloureux, et clignent nerveusement, surtout mon oeil gauche. Je suis très fatigué physiquement, j'ai juste assez d'énergie pour réaliser mes tâches courantes. Le moindre effort me paraît insurmontable. Par périodes, mon dos et mes membres sont remplis de contractures et j'ai du mal à respirer. Mes jambes sont faibles. Mes lombaires craquent pour un rien. J'arrive à me concentrer mais de plus en plus péniblement. Mes gencives saignent. Le Gelsémium 5CH calme efficacement les tremblements mais je n'ose pas en prendre de trop grandes quantités. J'ai peur mais je n'ai plus assez d'énergie pour réagir. Je rappelle le Dr. O. Il ne semble pas s'inquiéter de mes symptômes. Il me suggère de reprendre une dose de Gelsémium 200K. Dans une autre pharmacie je reçois une gélule remplie de poudre, que je laisse fondre sous la langue.

 

Les symptômes s'apaisent à nouveau rapidement. Une fois sur pieds, je me dis que je dois prendre le taureau par les cornes pour me détoxiquer. Je me renseigne auprès de médecins alternatifs et sur Internet. Et j'entame un lourd traitement de détoxication d'un mois et demi. Un traitement efficace mais traumatisant, tant il remue les métaux lourds dans tout l'organisme. Au final mon état général est nettement meilleur.

 

Je vais revoir le Dr. O., qui confirme l'indication de mes remèdes, et diagnostique mon état comme "sans inquiétude".

Enfin, je respire.

Mon calvaire aura duré 6 mois, pendant lesquels les symptômes sont revenus toutes les 4 à 5 semaines. Moins forts à chaque poussée. Ils ont chaque fois disparu rapidement grâce au Gelsémium. Désormais je garde en permanence sur moi du Gelsémium 5CH.

Ouf ...

 

Maintenant que je suis hors de danger — mais je sais que ma vie en sera plus courte — je réfléchis posément à tout ça, et je me dis qu'il y a un grave problème : avant de me faire vacciner, je n'avais jamais entendu parler des dangers des vaccins. Comment cela se fait-il ?!


J'ai demandé aux deux médecins que j'ai consulté pour me faire vacciner s'il y avait le moindre risque ; ils m'ont tout deux deux répondu qu'il n'y avait aucun danger, que les vaccins sont absolument sûrs. Comment pouvaient-ils ignorer les dangers des vaccins alors que les notices de ceux-ci indiquent dans les effets secondaires des maladies aussi graves que la sclérose en plaques ?!


A présent je parle autour de moi de ma mésaventure vaccinale, et en fonction des gens auxquels je m'adresse je reçois deux types de réponses : les gens adeptes de la médecine traditionnelle sont ignorants des dangers, et affirment haut et fort que les vaccins sont sûrs, efficaces, ont enrayé des épidémies, ... d'où tiennent-ils leurs certitudes ?!

 

Dès que je creuse un peu, je me rends compte qu'ils basent leurs certitudes sur des informations douteuses : la télévision, l'école, les journaux pseudo-scientifiques, les pharmaciens, et même les médecins, tous influencés directement ou indirectement par les industries pharmaceutiques. Lorsque que je m'adresse à des gens adeptes du "monde alternatif", ils me demandent comment ça va, je leur réponds que je me suis fait vacciner, et avant même de leur parler d'un quelconque problème lié aux vaccins, je les vois faire une grimace en disant "aïe!" Mais alors ils savent !!!? Ils savent tous ! Tous réagissent de la même manière : "aïe!" Et ils me parlent de leurs propres déboires vaccinaux et de ceux de leurs proches. D'où tiennent-ils leurs certitudes ? De leur expérience. Des recherches qu'ils ont fait pour trouver une information indépendante et de qualité.

 

C'est le film "The Matrix" grandeur nature ! Pour se rendre compte de la supercherie il faut avoir été "déconnecté".

Il arrive bien que je rencontre dans le "monde traditionnel" des gens ayant de vagues doutes sur les vaccins, de par ce qu'on en dit ici et là, sans vraiment s'intéresser au "scandale" ; après tout on entend tellement de scandales, pout tout et rien, qu'on n'y prête plus grande attention, on est las des scandales, et certains nous semblent tellement loin de nous ... Ce n'est que lorsqu'on est touché au plus profond de son être, de sa santé, qu'on ne peut plus faire autrement que d'y prêter la plus grande attention.

 

Après cette catastrophe qui m'est arrivé je me sens révolté parce que j'ai besoin de justesse, d'exactitude dans le monde où je vis, en particulier dans un domaine aussi intime que celui de la santé. C'est pourquoi aujourd'hui je me renseigne un maximum sur la vaccination : je lis des livres, je fais des recherches sur Internet, je m'entretiens avec des spécialistes, j'en disserte avec des amis, j'échange des informations indépendantes avec des gens éclairés. A présent j'ai sur la question des vaccins une vue d'ensemble qui m'effraie autant qu'elle me révolte. J'ai besoin de sécurité pour moi, mes amis, mes contemporains, je voudrais que nous puissions tous profiter d'une bonne santé et d'une vie longue et prospère. C'est pourquoi je ne m'arrête pas à mon éclairage et à ma lucidité personnelle : je me mets en quête de diffuser la vérité le plus largement possible. Car il est certain qu'une vérité gardée dans l'ombre ne sauvera jamais le monde.

 

Ce témoignage a été publié dans le magazine Votre santé (100.000 tirages en région parisienne) et sur le site Internet de l'association AMESSI.

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