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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 18:59

Témoignage

Le récit de ma catastrophe vaccinale


Je vais commencer l'histoire en la racontant avec la naïveté qui me caractérisait au moment ou les faits se sont déroulés.
En novembre 2003 je décide de partir dans le Sahara occidental pour une randonnée de 2 semaines. Le départ est prévu pour début janvier 2004.
Entretemps, début décembre 2003, je consulte un médecin généraliste pour me mettre en règle de vaccination. Le médecin consulte la carte de l'Afrique, un carnet spécialisé, et me recommande les vaccins suivants :

  • fièvre jaune [obligatoire]
  • fièvre typhoïde (Typhim)
  • méningite (Mencevax)
  • hépatite A (Twinrix)
  • hépatite B (Twinrix)
Comme nous prévoyons de boire l'eau des puits, le risque de contamination, en particulier par le virus de l'hépatite A, est élevé. Sur le conseil du médecin je choisis la sécurité : je m'injecte tous les vaccins qu'il recommande, même ceux "non obligatoires". Tous les vaccins me sont injectés en 24h, sur le conseil de l'infirmière et du médecin : "parce que l'organisme préfère produire tous ses anticorps en même temps".

Les vaccins de la méningite et le de la fièvre jaune me sont injectés au ministère de l'intérieur. Rien que cette scène mérite d'être racontée : un médecin en blouse blanche me reçoit dans son bureau. Il me fait m'appuyer debout contre un petit frigo, position inconfortable. Je relève ma manche. Le médecin a l'air très agité ; ses mains tremblent. Il manipule son matériel par petits à-coups nerveux. Il me plante vivement l'aiguille dans le bras. Je lui dit que ça m'a fait mal. Il me répond que c'est la première fois qu'il entend ça. Je crois rêver !

Dans les jours qui suivent, je me sens fatigué. Je me dis que c'est à cause des vaccins, que mon corps réagit, se bat, que c'est normal, que ca va passer. La sensation de fatigue physique commence à passer. Jusque fin décembre je ne suis moins fatigué physiquement, mais j'ai en permanence du mal à me concentrer sur mon travail. Je me dis que je viens de terminer un gros travail, exécuté sans relâche de juillet à octobre et que c'est normal, que j'accuse le contrecoups, que j'ai besoin de repos et de me changer les idées, et que pour trouver satisfaction il me suffit d'attendre les vacances.


Au travail, malgré la fatigue, je fais tout ce que je peux pour terminer ma tâche courante avant les vacances. Mais je suis trop épuisé et je n'y arrive pas. Je me dis que je terminerai apres les vacances. Pour être sûr de rentrer au travail en forme après la randonnée, je prévois une semaine de congés post-vacances. C'est drôle d'imaginer que je vais prendre des vacances pour me remettre de mes vacances.

 

Le jour du départ, le 11 janvier 2004, je m'injecte le rappel de Twinrix, combinaison des vaccins de l'hépatite A (Havrix) et de l'hépatite B (Engérix-B).


Arrivé en Afrique, je m'émerveille : la lumière, la chaleur, le dépaysement. Je me sens plus en forme. Néanmoins, malgré que je sois le plus jeune du groupe j'ai du mal à suivre le rythme, j'ai des dérèglements intestinaux (constipation, diarrhées). Je me dis que j'ai attrapé la turista et je prends de l'Immodium pour bloquer, de l'Ercéfuryl pour désinfecter, etc. Mes veines sont anormalement gonflées.

 

Une semaine passe. Ca ne va pas mieux.

 

Un jour, en gravissant une colline, j'attrape une petite crampe à la jambe gauche. Je me dis que j'ai forcé en voulant monter sur une grosse pierre et je me dis que ca va passer. Une heure plus tard nous partons à pied à travers le désert, pour 7 kilomètres de plat. Au début je pars sur les chapeaux de roue. Je m'épuise très vite, ce qui ne me ressemble pas. Puis je sens ma crampe qui revient. Je ralentis. Je m'arrête et je me masse la jambe, je pratique des étirations. Je ne suis pas un amateur : je suis un masseur-thérapeute professionnel, normalement je m'auto-guéris facilement de ce genre de trouble. Je tente au moins de me soulager pour arriver au camp. Lorsque je sens mon muscle se détendre, je reprends la marche. Après quelques pas la crampe revient aussitot. Je me dis que ce n'est pas normal. Je force un peu, j'adopte une autre technique de marche. Rien à faire: la crampe augmente, au point de devenir insupportable. Je demande à mon compagnon de marche de continuer seul et de revenir me chercher avec le 4x4.

 

Entre temps je me couche sur le sable et je continue à me masser la jambe. Je me rends compte que je souffre d'un problème sérieux et qu'il n'est pas d'origine musculaire. Je diagnostique "un déplacement vertébral d'origine inconnue et un pincement du nerf de la jambe qui provoque une faiblesse musculaire, avec compensation par mise en tension anormale de muscles alternatifs". Je me dis d'expérience que ce genre de problème nécessite l'intervention d'un osthéopathe. Malheureusement, dans le groupe personne n'est osthéopathe, nous avons bien deux masseurs, un médecin et un infirmier, un véritable petit hôpital en campagne, mais pas d'osthéopathe. Je me dis que je vais me masser régulièrement en attendant notre retour en Europe, en espérant que je tienne le coup.

 

Pendant les derniers jours je suis en permanence à la limite de la crampe : quand je marche je boîte, quand je peux me reposer je masse, j'évite les excursions facultatives pour faire le minimum d'effort physique, je prends des médicaments. Je souffre en permanence. Et en plus j'ai horriblement mal au ventre.

 

Au retour à Bruxelles la premiere chose que je fais est de prendre rendez-vous avec mon osthéopathe. Il confirme mon diagnostic de pincement vertébral et lie mon problème de "turista" au pincement vertébral et à la crampe, trouble de vésicule biliaire selon lui. Comme à son habitude il travaille mon ventre et mon dos. Au sortir de la séance, la crampe a disparu. Je suis sans inquiétude, je me dis que je suis guéri.

 

Malheureusement le lendemain mon ventre est guéri mais la crampe revient. Pire, elle augmente et devient insupportable. Heureusement je suis en congé pour la semaine et je me repose autant que possible. Je parviens à me soulager par des massages quasi incessants. Mon médecin ne voit pas quoi faire et me suggère de continuer les thérapies alternatives.

 

A la maison je reste dans mon lit. Je me repose. Après un jour j'ai froid, je grelotte, je tremble "comme une feuille". Je me mets sous la couette en maugréant contre la météo belge, en me disant qu'"il fait froid dans ce pays", et je monte le chauffage. Je continue à trembler. Je me dis que c'est la fatigue, le retour d'Afrique, le passage à un autre climat. Je me dis que c'est normal ... J'ai toujours ma crampe. Je ne suis pas en état de travailler, impossible de me concentrer sur quoi que ce soit.

 

L'histoire aurait pu s'arrêter là. J'aurais pu me retrouver avec une crampe chronique inexpliquée et une capacité de travail en permanence en sous-régime. J'aurais pu me résigner à mon sort, abandonné par la médecine traditionnelle et par une partie de la médecine alternative. Ce n'aurait pas été la première fois. Mais cette fois-ci je n'ai plus le goût de la résignation. J'en ai marre de laisser tomber les bras, ça ne m'a jamais réussi sur le long terme et je sais à present qu'il y a toujours des alternatives et que le combat en vaut la peine.

 

Comme toujours dans ces cas-là, je prends le taureau par les cornes, j'escalade le problème. Lorsque je me retrouve face à un problème non résolu, ni par mon osthéopathe habituel ni par mon médecin, je le soumets à un autre osthéopathe que je connais : appellons-le "Dr. O". C'est un osthéopathe que je connais depuis cinq ans, qui a fait des miracles avec mon accident de voiture et plusieurs autres problèmes majeurs, qui traite efficacement (les patients guérissent après 2 ou 3 séances et en général ne doivent plus revenir), qui connait et maîtrise son sujet, écrit dans des encyclopédies, quelqu'un de célèbre donc, mais de toujours disponible et de personnel, malgré sa grande patientelle, quelqu'un pour qui j'ai beaucoup d'admiration autant sur le plan humain que professionnel, et que j'essaie de déranger le moins possible avec mes "petits" problèmes.Je ne vais donc le voir qu'en toute dernière extremité, et je sais qu'il me guérira là où tous les autres thérapeutes, traditionnels et alternatifs, ont échoué.

 

Ca fait 5 ans que je fonctionne comme ça et je n'ai toujours eu qu'a m'en féliciter. En l'occurrence, il est temps de faire appel à lui. Je vais donc voir le Dr. O et je lui parle de mon probleme de crampe. Je lui parle de mon soucis de turista en vacances. Je lui parle de mes difficultés de concentration. Il me demande si je me suis fait vacciner pour partir. Je lui dit oui. Il me dit que le problème des vaccins est qu'ils bloquent le système immunitaire, d'où probablement je me suis retrouvé sans défense face à la turista. Pour le reste, il me dit qu'il ne peut rien faire dans mon état, qu'il a besoin d'une structure, et me manipule le dos à 3 endroits : lombaires, dorsales, cervicales. 3 manipulations, c'est rare de sa part, car même s'il est osthéopathe il ne manipule presque jamais. Il me dit de laisser mon corps récupérer et de revenir la semaine d'après avec la liste de mes vaccins ... tous ceux qui m'ont été injectés depuis la naissance.

 

Je rentre chez moi. Ma crampe a disparu. Je m'attends à la voir reprendre de plus belle mais elle semble se stabiliser à un niveau acceptable, je ne la sens presque plus. Je croise les doigts. Mes tremblements ont diminué. Mais ils sont toujours là, et je n'arrive toujours pas encore à me concentrer.

 

Une semaine plus tard, je retourne voir le Dr. O comme convenu, avec la liste de mes vaccins injectés depuis la naissance, une quinzaine. Je ne savais pas qu'on m'en avait injecté autant. Je lui cite tour-à-tour les vaccins de ma liste. Il a dans son cabinet une quirielle de tubes en verre contenant chacun "un vaccin". A chaque vaccin il prend le tube correspondant, et procède ensuite au fameux "test musculaire", un test issu de la kinésiologie appliquée. A chaque vaccin ma réponse au test musculaire est "fort". Cela signifie "pas de problème". Vaccin après vaccin, pas de problème.

 

Subitement, un des vaccins se révèle "négatif". C'est le vaccin contre l'hépatite A. Diagnostic: ce vaccin me "pose problème". Nous finissons les tests et seul ce vaccin pose problème. Le vaccin contre l'hépatite A ... Diagnostic osthéopathique plus approfondi : dysfonctionnement du Système Nerveux Central (d'où la crampe, les tremblements, et les problèmes de concentration), avec risque de sclérose en plaques à moyen terme. Rien que le nom de cette maladie me fait peur. Plusieurs de mes amies en sont atteintes et pour ce que j'en connais je trouve cette maladie effrayante.


Le Dr. O se veut néanmoins rassurant, il m'assure qu'il existe un remède et qu'on va le trouver. Il sort sa valise de produits homéopathiques ; son attention se porte sur une demi-douzaine de produits qu'il estime susceptibles d'etre efficaces. Il les teste sur moi un par un, toujours par la méthode du "test musculaire", en combinaison avec le vaccin. Un des produits se révèle "positif", c'est-à-dire efficace. C'est du Gelsémium. Le gelsémium est une plante qui pousse en Louisiane et qui est connue pour ses effets neuro-régulateurs. Je reçois comme prescription: "1 dose de Gelsémium 200K". J'achète le produit en pharmacie : c'est une grosse gélule remplie de petits granules. Au soir avant d'aller dormir j'ouvre la gélule et je prends en une seule fois tous les granules, que je laisse fondre sous la langue, conformément aux instructions du Dr. O et du pharmacien.


Le lendemain matin tous les symptômes ont entièrement disparu : je ne tremble plus, ma crampe a entièrement disparu, et surtout, j'arrive parfaitement à me concentrer. Je me remets aussitôt au travail.
La semaine suivante, je retourne voir le Dr. O pour un bref contrôle. Test musculaire : le vaccin contre l'hépatite A ne pose plus de problème. Il détecte néanmoins une faiblesse du foie, qu'il prédit problématique pour les mois à venir, à cause de l'élimination du vaccin qui reste à réaliser. Je me dis que je suis guéri ou presque.

 

Malheureusement ce n'est pas fini. Un mois plus tard je retourne voir le Dr. O comme convenu : comme prévu, je souffre d'hypotonie du foie, système immunitaire au plus bas. Il me prescrit du boldo, un complément alimentaire pour drainer le foie. Je commande les produits aux laboratoires Fenioux mais la livraison traîne. Après une semaine sans médication je tombe malade, avec les symptômes de la grippe et ... des tremblements (!), comme si j'avais très froid. Je suis paralysé, incapable de marcher, ou même de me lever. Je n'ai pas faim, je n'ai pas soif. Heureusement, car dans mon état je ne saurais même pas satisfaire ces besoins. Après 36 heures, du fond de mon lit, j'appelle le Dr. O. Par téléphone il me prescrit un traitement homéopathique, avant lequel il me suggère de commencer par une dose de Gelsémium 200K. Comme je ne me sens pas la force d'aller jusqu'à la pharmacie en bas de chez moi je décroche mon téléphone et j'appelle mon papa à la rescousse. Il arrive avec les médicaments. Je prends le Gelsémium et 4 heures plus tard tous les symptômes ont quasiment disparu. Il semblerait donc que les effets à long terme du vaccin ne soient pas étrangers à cette "grippe" ... Quelques jours plus tard je n'ai plus aucun symptôme.

 

 

Pendant le reste du mois je suis particulièrement vigilant. Je me promène avec mon tube de Gelsémium en basse dilution 5CH, et je prends 2 granules dès que les tremblements reviennent. Le remède est efficace, mais il n'est pas exclus que je doive le prendre à vie. J'attends l'évolution pour voir s'il est nécessaire d'agir plus fortement. J'ai en permanence peur que la sclérose en plaques ne se déclare. Néanmoins le Dr. O semble confiant. J'espère donc un jour être quitte de ces problèmes, j'ai bon espoir de guérison.

 

Un jour je vais me faire masser par mon professeur de massage. Il se dit inquiet de mon état et m'incite à l'action. Il me donne les coordonnées de la ligue belge pour la sclérose en plaques. D'après la ligue mes symptômes correspondent à une sclérose en plaques. Pour connaître l'exact état de ma maladie, je demande à mon médecin de me prescrire un examen médical de type IRM. Je téléphone à l'hopital universitaire Erasme pour prendre rendez-vous. La standardiste me met en communication avec un répondeur, qui explique que pour ce type d'examen il n'est pas possible d'obtenir un rendez-vous avant 6 mois, et que la demande de rendez-vous doit se faire par fax, en indiquant ses coordonnées et en joignant la demande du médecin. Doux Jésus ! 6 mois ! Il ne faut pas être pressé ! N'ayant pas d'autre choix je m'exécute : je faxe la demande du médecin avec mes coordonnées. Je ne recevrai jamais de réponse ...

 

Dans le courant du mois de mai, les tremblements reviennent de plus en plus souvent, jusqu'à plusieurs fois par jour. Pendant la journée mon humeur varie de très spittant à renfrogné. En marchant dans la rue il m'arrive de perdre l'équilibre. Mes yeux sont fatigués, douloureux, et clignent nerveusement, surtout mon oeil gauche. Je suis très fatigué physiquement, j'ai juste assez d'énergie pour réaliser mes tâches courantes. Le moindre effort me paraît insurmontable. Par périodes, mon dos et mes membres sont remplis de contractures et j'ai du mal à respirer. Mes jambes sont faibles. Mes lombaires craquent pour un rien. J'arrive à me concentrer mais de plus en plus péniblement. Mes gencives saignent. Le Gelsémium 5CH calme efficacement les tremblements mais je n'ose pas en prendre de trop grandes quantités. J'ai peur mais je n'ai plus assez d'énergie pour réagir. Je rappelle le Dr. O. Il ne semble pas s'inquiéter de mes symptômes. Il me suggère de reprendre une dose de Gelsémium 200K. Dans une autre pharmacie je reçois une gélule remplie de poudre, que je laisse fondre sous la langue.

 

Les symptômes s'apaisent à nouveau rapidement. Une fois sur pieds, je me dis que je dois prendre le taureau par les cornes pour me détoxiquer. Je me renseigne auprès de médecins alternatifs et sur Internet. Et j'entame un lourd traitement de détoxication d'un mois et demi. Un traitement efficace mais traumatisant, tant il remue les métaux lourds dans tout l'organisme. Au final mon état général est nettement meilleur.

 

Je vais revoir le Dr. O., qui confirme l'indication de mes remèdes, et diagnostique mon état comme "sans inquiétude".

Enfin, je respire.

Mon calvaire aura duré 6 mois, pendant lesquels les symptômes sont revenus toutes les 4 à 5 semaines. Moins forts à chaque poussée. Ils ont chaque fois disparu rapidement grâce au Gelsémium. Désormais je garde en permanence sur moi du Gelsémium 5CH.

Ouf ...

 

Maintenant que je suis hors de danger — mais je sais que ma vie en sera plus courte — je réfléchis posément à tout ça, et je me dis qu'il y a un grave problème : avant de me faire vacciner, je n'avais jamais entendu parler des dangers des vaccins. Comment cela se fait-il ?!


J'ai demandé aux deux médecins que j'ai consulté pour me faire vacciner s'il y avait le moindre risque ; ils m'ont tout deux deux répondu qu'il n'y avait aucun danger, que les vaccins sont absolument sûrs. Comment pouvaient-ils ignorer les dangers des vaccins alors que les notices de ceux-ci indiquent dans les effets secondaires des maladies aussi graves que la sclérose en plaques ?!


A présent je parle autour de moi de ma mésaventure vaccinale, et en fonction des gens auxquels je m'adresse je reçois deux types de réponses : les gens adeptes de la médecine traditionnelle sont ignorants des dangers, et affirment haut et fort que les vaccins sont sûrs, efficaces, ont enrayé des épidémies, ... d'où tiennent-ils leurs certitudes ?!

 

Dès que je creuse un peu, je me rends compte qu'ils basent leurs certitudes sur des informations douteuses : la télévision, l'école, les journaux pseudo-scientifiques, les pharmaciens, et même les médecins, tous influencés directement ou indirectement par les industries pharmaceutiques. Lorsque que je m'adresse à des gens adeptes du "monde alternatif", ils me demandent comment ça va, je leur réponds que je me suis fait vacciner, et avant même de leur parler d'un quelconque problème lié aux vaccins, je les vois faire une grimace en disant "aïe!" Mais alors ils savent !!!? Ils savent tous ! Tous réagissent de la même manière : "aïe!" Et ils me parlent de leurs propres déboires vaccinaux et de ceux de leurs proches. D'où tiennent-ils leurs certitudes ? De leur expérience. Des recherches qu'ils ont fait pour trouver une information indépendante et de qualité.

 

C'est le film "The Matrix" grandeur nature ! Pour se rendre compte de la supercherie il faut avoir été "déconnecté".

Il arrive bien que je rencontre dans le "monde traditionnel" des gens ayant de vagues doutes sur les vaccins, de par ce qu'on en dit ici et là, sans vraiment s'intéresser au "scandale" ; après tout on entend tellement de scandales, pout tout et rien, qu'on n'y prête plus grande attention, on est las des scandales, et certains nous semblent tellement loin de nous ... Ce n'est que lorsqu'on est touché au plus profond de son être, de sa santé, qu'on ne peut plus faire autrement que d'y prêter la plus grande attention.

 

Après cette catastrophe qui m'est arrivé je me sens révolté parce que j'ai besoin de justesse, d'exactitude dans le monde où je vis, en particulier dans un domaine aussi intime que celui de la santé. C'est pourquoi aujourd'hui je me renseigne un maximum sur la vaccination : je lis des livres, je fais des recherches sur Internet, je m'entretiens avec des spécialistes, j'en disserte avec des amis, j'échange des informations indépendantes avec des gens éclairés. A présent j'ai sur la question des vaccins une vue d'ensemble qui m'effraie autant qu'elle me révolte. J'ai besoin de sécurité pour moi, mes amis, mes contemporains, je voudrais que nous puissions tous profiter d'une bonne santé et d'une vie longue et prospère. C'est pourquoi je ne m'arrête pas à mon éclairage et à ma lucidité personnelle : je me mets en quête de diffuser la vérité le plus largement possible. Car il est certain qu'une vérité gardée dans l'ombre ne sauvera jamais le monde.

 

Ce témoignage a été publié dans le magazine Votre santé (100.000 tirages en région parisienne) et sur le site Internet de l'association AMESSI.

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 14:00
Le médicament coupe-faim, prescript aux diabétiques en surpoids, aurait causé au moins 500 morts entre 1976 et 2009. Les patients ayant été traités au Médiator sont potentiellement exposés à des risques de complication cardiaque.

Le mediator, commercialisé de 1976 à 2009, a été utilisé au total par 5 millions de patients Le mediator, commercialisé de 1976 à 2009, a été utilisé au total par 5 millions de patients © SIPA « Si vous n’avez pas consulté votre médecin traitant depuis le retrait du Médiator en novembre 2009, l’Afssaps vous demande de le faire afin qu’il puisse rechercher tout symptôme ou signe évocateur d’une atteinte d’une valve cardiaque ». Ainsi s'ouvre la lettre de l'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (afssaps), envoyée par l'Assurance-maladie cette semaine à 375 000 patients ayant été traités au Mediator.

Le courrier leur enjoint de consulter leur médecin traitant, afin de vérifier que le médiator n'ait pas occasionné chez eux de risques de valvulopathie, une détérioration grave d'une valve cardiaque.

« Les complications surviennent principalement dans les deux premières années de traitement. Le risque persiste dans les deux années qui suivent son arrêt et devient très faible au-delà », peut-on lire dans la lettre de l'afssaps.

Le PS veut en savoir plus

Samedi dernier, le député PS Gerard Bapt a réclamé la création d'une mission d'information parlementaire sur le Médiator. « J'ai peur que les intérêts économiques des grands laboratoires aient parfois fait prendre des risques inacceptables », a t-il déclaré dimanche dans le JDD, faisant allusion à un risque potentiel de conflits d'intérêts entre les laboratoires Servier, fabriquant du Médiator, et l'Afssaps, l'agence chargée notamment de déterminer le remboursement d'un médicament.

Même demande de la part de l'Association française des diabétiques (AFD), qui a lancé dimanche une pétition nationale « pour que toute la lumière soit faite dans l'affaire du Médiator ».

Quelque peu bousculé au micro de France-Inter lundi matin au sujet du Mediator, le ministre du travail et de la santé Xavier Bertrand a conseillé d'attendre les conclusions de l'Igas (Inspection générale des affaires sociales).

Le contenu de son rapport, qui devrait être rendu le 15 janvier, précisera la dangerosité du Médiator et les raisons de son maintien en circulation malgré les mises en garde des professionnels. Il devra également trancher la question d'éventuels conflits d'intérêts.

Dès 2006, la Commission de la transparence de la Haute-Autorité de santé avait mis en avant l'inutilité du Mediator, selon le Canard Enchaîné. Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé, n'avait pas réagi. Interrogé à ce sujet sur France Inter, le ministre a ciblé les risques d'une mauvaise prescription des médicaments et appelé à une « pharmacovigilance » renforcée

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 19:17

DES EFFETS SECONDAIRES ?

 

A court et à long terme, tous les vaccins présentent des effets secondaires, effets rapportés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et décrits dans nombre de revues médicales. Convulsions, fièevre, urticaire, gonflement des ganglions, oedèmes, troubles gastro-intertinaux, apparaissent suite à l'injection du vaccin.

 

 Les médecins conscients de ces effets secondaires ne les réfuteront pas mais concluront que "de deux maux, nous devons choisir le moindre mal". Les vaccins, vraiment le moindre mal?

Chez plusieurs enfants vaccinés (particulièrement avec le DCT- diphtérie, coqueluche, tétanos) , on dénote des atteintes au système nerveux central, des cas de paralysie et d'inflammation du cerveau.

 

Selon une étude de Allan Hinman et Jeffrey Copelan publiée en 1984 dans le Journal of the American Medical Association, sur les 3,3 millions d'enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16,038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants - ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l'indication d'une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l'injection du DCT.

A long terme, les vaccins, en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes.

 

G. Dettman dans l'Australian Nurses Journal (1977) rapporte que "certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l'arthrite rhumatoîde, la leucémie, le diabètew et la sclérose en plaques"

 

Un article dans le British Medical Journal (1967) par Miller abonde dans le même sens:"Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose". R. Maskowitz, médecin et gradué de Harvard, est convaincu que les vaccins peuvent, à long terme, mener à une déficience du sytème immunitaire et causer: "des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d'organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément".

 

LIÉS À L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE?

 

Les vaccins découlent directement de l'expérimentation animale , puisqu'en plus de contenir des sous-produits de l'abattoir, ils sont par la suite systématiquement tester sur des animaux. Des milliers de singes , par exemple, souffrent pour l'élaboration des vaccins contre le Sida et l'hépatite.

 

Les vaccins de la rougeole, de la fièvre jaune et des oreillons se cultivent sur des embryons de poulets. Celui contre l'encéphalite japonaise dans des cerveaux de souris ; ceux contre la polio, la rage, la varicelle et l'hépatite A baignent dans le serum bovin.

 

Un virus a besoin de matière vivante pour se multiplier. L'embryon de poulet semble pour les multinationales de vaccins un foyer de culture idéal. Après onze jours d'incubation sous une température constante, un technicien injecte un virus dans l'embryon. On laisse le virus se multiplier à l'intérieur de l'oeuf embryonnaire pendant deux ou trois jours. Le liquide dans lequel baigne l'embryon ou l'embryon lui-même est traité avec différents produits chimiques. Cette macération permet selon les fabricants de "digérer l'embryon". La dernière étape consiste à filtrer le liquide, opération permettant de ne conserver que le virus.

 

Les embryons de poulet se forment entièrement après 35 heures d'incubation et on peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Ces futurs poussins proviennent de poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. De l'élevage intensif dans toute son horreur. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, la compagnie pharmaceutique Bio-Vac consomme 160 000 oeufs par semaines.

 

Les vaccins cultivés sur des cellules animales peuvent contenir des contaminants non décelés par les fabricants. Aucun laboratoire ne peut garantir l'asepsie des cellules animales servant à la culture vaccinale. Le virus de la leucose aviaire contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et la rougeole jusqu'à 1962.

 

Dans la revue américaine Science (1972) le dr. Leonar Hayflick, professeur de microbiologie à l'Université de Stanford en Californie, déclarait: " Un nombre important de reins de singes (25 à 80&) traités pour la fabrication des vaccins, doivent être écartés à cause d'une contamination étendue par un ou plusieurs de 20 virus connus. Il y a au moins plusieurs centaines de milliers de personnes aux Etats-Unis qui ont été inoculées avec les virus vivants SV-40 qu'on a trouvés dans des vaccins antipolio produits sur des cellules de reins de singes. Ce virus SV-40 provoque des tumeurs chez les hamsters et convertit in vitro les cellules humaines normales en cellules cancéreuses".

 

 Le 11 mai 1987 le London Times rapportait des informations concernant un représentant de l'OMS. Ce dernier affirmait avoir des preuves démontrant que l'origine et la prolifération du virus du Sida provenait du vaccin antivariolique administré pendant les 13 années dans les pays du Tiers-Monde par l'OSM. Pour Jeremy Rifking du groupe environnemental The Fondation of Economics Trands: " Il est possible que certaines contaminations de virus animaux dans les vaccins, comme celui de la variole, ont joué un rôle dans l'émergence du sida et d'autres maladies"

 

Cette fondation croit que le vaccin de la variole et d'autres vaccins contenant du sérum de boeuf/vache peuvent être l'hôte du " virus bovin de déficience immunitaire" et se transmettre à l'humain. Ce virus est semblable au VIH humain. Un virus voisin, le "virus bovin de la leucémie" (VBL) se retrouve aussi chez les bovins et ressemble à un virus humain, le HTLV-I qui cause une forme rare de leucémie. (Le département américain de l'Agriculture a décelé le VBL dans plus de 60% du bétail américain)

 

L'antagonisme biologique entre les espèces est si puissant que les virus d'une espèce, inoffensif pour elle (par exemple, le SV-40 est inoffensif pour les singes) peuvent devenir dangereux lorsque transférés è une espèce différente, comme l'espèce humaine, au point de devenir cancérigènes. Le Dr. Leonard Hayflick, déjà cité, fait la remarque suivante: "Les virus animaux cancérigènes les plus importants - ceux qui peuvent être isolés chez les primates, le SV-40 et les adénovirus cancérigènes - ne sont cancérigènes que quand ils passent à une autre espèce. Aucun virus cancérigène de primate ne produit des tumeurs dans l'espèce animale dont le virus est originaire, mais de tels virus peuvent produire des tumeurs dans des espèces animales hétérogènes".

 

Bien sûr, il s'agit ici de virus connus mais il en existe une multitude qui non décelés peuvent contaminer les vaccins.

 

En 1966, sept chercheurs allemands du laboratoire Behring trouvèrent la mort en travaillant sur des singes utilisés pour la fabrication des vaccins contre la poliomyélite et le typhus. Trente autres chercheurs été malades sans qu'on puisse identifier le virus responsable.

 

RAISONS PHILOSOPHIQUES? RELIGIEUSES? ÉCOLOGIQUES?

 

Comme nous venons de le voir, les vaccins ne semblent pas un signe évident de protection contre les maladies. Par delà le côté strictement de santé, certains évoquent pour les refuser des raisons philosophiques ou religieuses.

 

Dans les années 80, des groupes opposés è l'avortement voulaient mettre fin à l'usage d'un vaccin contre la rougeole provenant des tissus prélevés sur un foetus obtenu lors d'un avortement. Le vaccin, nommé WI-38, avait été fabriqué en 1962, à partir de tissus de poumon prélevés sur un foetus suédois. Les tissus originaux furent congelés pour servir à produire le vaccin partout dans le monde par culture cellulaire, Des porte-paroles de ces divers groupes trouvèrent l'usage de ce vaccin offensant et répugnant, du point de vue moral. En 1984, ils affirmaient qu'au Canada, c'était le seul vaccin contre la rougeole disponible depuis 1979.

 

En Inde, on vaccine massivement des disciples de l'hindouisme ou du jaïnisme avec des vaccins provenant de reins de singes ou contenant du sérum bovin. Cette population ayant une révérence religieuse pour ces animaux, ignorent probablement le fait et se soumettent à la technologie de l'Occident, une autre forme de colonialisme.

 

Les vaccins perturbent l'écologie de notre corps, de ceux qui nous entourent et de la planète. Les laboratoires rejettent nombre de produits chimiques servant à l'élaboration des vaccins. En outre, le virus vivant de la poliomyélite, par exemple, en se répliquant dans l'intestin du sujet vacciné, est ensuite excrété en grande quantité dans le milieu extérieur. Les virus deviennent source de pollution.

 

Tout vacciné est potentiellement capable de contaminer son entourage. La menace ne vient pas des non vaccinés mais des vaccinés!!

 

Il peut aussi y avoir le danger qu'un virus s'échappe du lors des recherches. En 1978, une femme travaillant dans un laboratoire de l'Université de Birmingham est morte après la "fuite" d'un virus porteur de la variole.

 

Le respect de maladies le plus souvent bénignes doit être envisagé. Les maladies et les dites épidémies apparaissent par cycles et disparaissent d'elles-mêmes.

 

Nous devons fortifier notre système immunitaire - par une alimentation végétarienne et biologique, une bonne hygiène de vie, etc. - et non l'agresser avec des produits chimiques, des virus d'animaux malades, des substances toxiques et des débris d'abattoir.

En matière de microbiologie, il arrive que ce qu'on croit mort soit vivant. Même constitués de microbes ou de virus atténués ou tués, ces éléments que l'on tient pour inactifs peuvent se réactiver.

Les vitamines A et C se révèlent très utiles contre les maladies infectieuses. Plusieurs chercheurs démontrèrent que la vitamine C par exemple, inactive le virus le l'herpès, de la poliomyélite et de la rage. En 1937, le Canadian Medical Association Journal, décrivait cette expérience: on administra 1 gramme de vitamine C pendant plusieurs jours à 29 patients souffrant de coqueluche. Les chercheurs trouvèrent que le "traitement abaissa l'intensité, le nombre et la durée des symptômes".

On retrouve dans la littérature médicale d'autres études semblables sur la vitamine C et ses effets thérapeutiques contre la lèpre, la fièvre thypoïde et la dysentrie.

(Notons que des séquelles neurologiques peuvent survenir
après la vaccination même en l'absence de réactions extrêmes)
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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 14:08
Un enfant paralysé par un vaccin : Un drame poignant

Achraf Diwane, 7 ans, est devenu tétraplégique suite à une injection d’un vaccin contre l’hépatite B, 'Engerix-B' de SmithKline Beecham qui a nié pendant 5 ans la responsabilité de son produit dans cette affaire. Or, une expertise récente du médecin légiste a établi un lien de cause à effet.

Vendredi 4 février 2000. Casablanca. Hasnaâ Diwane, son bébé dans les bras, entre dans une pharmacie du boulevard El-Fida, achète un vaccin contre l’hépatite B, 'Engerix-B', et se dirige vers un dispensaire de son quartier. Elle ne savait pas à l’époque qu’elle allait bouleverser complètement la vie de son enfant de 19 mois, Achraf Diwane. Comme toute les jeunes mères, après l’injection du vaccin, elle tente de bercer son bébé et calmer ses petits bobos.

En vain. L’intensité des douleurs va crescendo. Le petit Achraf ne cesse de pleurer, des maux terribles le rongent de l’intérieur et son état physique se dégrade. Alarmés, ses parents l’emmènent aux urgences du Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Ibn Rochd, le dimanche 6 février 2000. C’est le début d’une descente aux enfers. ' J’ai remarqué qu’Achraf a changé depuis cette maudite injection du vaccin 'Engerix-B'. La première réaction du médecin qu’il l’a examiné, deux jours après cette vaccination, a confirmé nos doutes : ce changement brutal est dû à cette injection. Mais, le médecin qui assurait ce jour-là la permanence a refusé de l’admettre aux urgences arguant que son état nécessite des soins particuliers', se souvient Hasnaâ Diwane, les larmes aux yeux.

Les Diwane ne savent plus quoi faire. Abasourdis par cette réaction du service des urgences et assommés par un développement tragique de la santé de leur bébé, ils frappent, en désespoir de cause, à la porte de ' La goutte de lait'. ' Nous étions alors contraints de faire passer à Achraf la nuit du dimanche jusqu’au lundi dans 'La goutte de lait', un centre pour enfants abandonnés !', raconte cette jeune mère qui n’en revenait pas. Le lundi au petit matin, elle persiste et s’attache à son droit d’une hospitalisation au CHU d’Ibn Rochd.

Le petit Achraf reçoit finalement des soins et trouve une place à l’hôpital des enfants. 'Trop Tard! Achraf respirait à peine, ses mains et ses bras ont commencé à s’atrophier. Il ne pouvait plus prononcer un traître-mot. Il était là, mais n’est pas là', ajoute-t-elle, avec un brin de colère mâtiné d’amertume. Trois jours donc après l’injection de l’' Engerix-B ', Achraf n’est plus le même. Il sombre dans un profond coma. Un état végétatif pendant une durée de trois mois. De cette époque-là, Hasnaâ Diwane n’en a pas oublié une seconde : 'On a vu des vertes et des pas mûres. Achraf qui n’avait que 19 mois souffrait en silence : perte de poids, gêne respiratoire, trouble de déglutition…Après son réveil du coma, il était squelettique'.

 

Mais, ce que cette jeune mère n’ose toujours pas à prononcer est que son fils en est sorti tétraplégique. Les Diwane savaient qu’on ne sort rarement indemne d’un coma de trois mois, mais ils espéraient que la chance serait de leur côté. S’ils croient au destin, ils insistent tout de même à chercher à comprendre les tenants et les aboutissants de cette tragique évolution de l’état physique et mental de leur enfant. ' Le lien entre l’injection de l’'Engerix-B' à mon fils et sa tétraplégie saute aux yeux. Il est clair comme de l’eau de roche que c’est cette vaccination qui est à l’origine du malheur de mon Achraf', note Hasnaâ Diwane. C’est ainsi que les Diwane ont porté l’affaire devant les tribunaux, en novembre 2000.

 

La première expertise ordonnée par le Tribunal de première instance d’El-Fida Derb Soltane, à Casablanca, ne tranche pas sur le lien de causalité entre l’'Engerix' et la paralysie : le rapport avait conclu que cette évolution pourrait être due à cette vaccination. L’utilisation du conditionnel dans ce premier rapport a fait traîner l’affaire. Le deuxième rapport a été par contre établi par l’Ordre des médecins, mais là encore aucune précision claire et nette sur le lien de causalité. Le laboratoire SmithKline Beecham, le producteur de ce vaccin contre l’hépatite B, continue de plaider que son 'Engerix-B' n’y est pour rien dans ce cas. Et d’avancer le plus massu de ses arguments : la synchronisation entre la vaccination et le changement de la santé d’Achraf Diwane n’est pas une raison pour incriminer son 'Engerix-B'. Croyant, dur comme fer, que ' ' Engerix-B' est le vaccin par qui la tétraplégie est arrivée ', les Diwane ne baissent pas les bras.

Le Tribunal de première instance d’El-Fida Derb Soltane ordonne un troisième rapport d’expertise auprès du Professeur Said Louahlia. Directeur de l’Institut de médecine légale Ibn Rochd, il étudie minutieusement le dossier médical du petit Achraf et arrive à trancher le débat qui a tant divisé entre les Diwane et le laboratoire SmithKline Beecham. 'On apprend par le dossier médical d’hospitalisation que le début de la symptomatologie remonte au 7 février 2000, trois jours après avoir reçu une injection de vaccin anti-hépatite B, de type 'Engerix-B', par l’installation brutale d’un syndrome grippal avec impossibilité de marcher, trouble de la déglutition et gêne respiratoire', relève-t-on dans le rapport d’expertise du Pr. Said Louahlia. En notant que le produit incriminé n’était pas défectueux au moment de l’utilisation, il affirme qu’il n’existe aucune cause étrangère à la tétraplégie d’Achraf et que la chronologie des faits conduit à admettre le lien de causalité direct et non pas présumé de son existence entre l’injection du vaccin et la naissance de la maladie.

 

'Rien ne va à l’encontre d’une encéphalopathie post-vaccinale. Il existe un lien de causalité direct entre le vaccin et l’encéphalopathie du fait des critères d’imputabilité réunis', lit-on dans la conclusion de ce rapport d’expertise. Une conclusion, on ne peut plus clair, qui vient d’asséner un coup de grâce à un laboratoire qui a rejeté, pendant cinq ans, toute responsabilité de son produit concernant la détérioration de la santé d’Achraf.

SmithKline Beecham s’est obstiné, sans aucun fondement, à prétendre que son vaccin n’est pas en cause. Il suffit d’ailleurs de lire la notice de l’'Engerix-B' pour s’en convaincre. Dans le chapitre des effets indésirables, et avec des lettres à peine visibles, SmithKline Beecham note que son vaccin entraîne dans des cas ' très rares des effets indésirables sur le système nerveux central et périphérique : paralysie, neuropathie, névrite (y compris syndrome de Guillain-Barré, névrite optique et sclérose en plaque), encéphalite, encéphalopathie, méningite '.

 

Pourquoi ce laboratoire s’acharne-t-il donc à renier des vérités qu’il a lui-même pris soin d’énoncer dans une notice-fleuve ? Pourquoi un pareil géant pharmaceutique ne ménage-t-il aucun effort à faire traîner une affaire alors que nous ne cherchons qu’une simple réparation de préjudice ? Pourquoi ne propose-t-on pas une hospitalisation à l’étranger à notre enfant et mettre fin à ce débat ? Ce sont-là des questions parmi d’autres qui taraudent l’esprit des parents d’Achraf.

La fin du calvaire des Diwane devrait être annoncée cette semaine, si seulement le Pr. Said Louahlia ne s’était pas absenté de cette audience du lundi dernier au Tribunal de première instance d’El-Fida Derb Soltane, en raison d’un voyage à l’étranger. Le juge a fixé un nouveau rendez-vous, le 20 juin prochain, où tous ceux qui ont suivi, de près ou de loin, ce dossier seront présents.

 

 

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Patricia Gouy : 'le combat continue'

L’affaire d’Achraf Diwane, victime du géant pharmaceutique Smithekline Beucham a été de nouveau reportée pour le 3 octobre prochain. La dernière audience a connu la présence de Patricia Gouy, la représentante des victimes de ce vaccin en France. Entretien.


ALM : Vous êtes au Maroc spécialement pour suivre les derniers développements du cas d’Achraf Diwane. Quelles sont les raisons de cet intérêt ?


Patricia Gouy : Achraf Diwane est la première victime médiatisée de ce vaccin contre l’hépatite B, au Maroc. Je m’intéresse de très près à cette affaire parce que je suis moi-même victime de ce vaccin. En France,  une association a été créée, rassemblant toutes les personnes qui souffrent le martyre à cause de ce produit. Je ne comprends toujours pas pourquoi le laboratoire pharmaceutique Smithekline Beucham refuse d’indemniser les Diwane, alors qu’il a bien inscrit sur la notice que l’'Engérix B ' a des effets secondaires sur le système nerveux.

Pour votre cas, avez-vous reçu des indemnisations ?

Mon cas est un peu particulier. J’étais en fait Aide-Medico-Psychologique dans un hôpital public, et précisément dans le service qui s’occupe des handicapés. Et avant d’exercer, il fallait absolument être vacciné contre l’hépatite B. J’étais donc obligée de le faire. C’était en 1994, j’avais 34 ans. Depuis, ma vie a basculé dans un cauchemar sans fin. Je vivais avec un rythme rapide, je faisais du sport, je m’occupais de mon foyer…Bref, je menais une vie normale. Je continue à toucher mon salaire, mais j’attends toujours d’être indemnisée. Le laboratoire m’a proposé une somme annuelle de 9200 euros, mais j’ai refusé. C’est minime par rapport à la souffrance que ce vaccin nous a causée. Mon état physique se dégrade de jour
en jour.

Quel est le nombre des victimes qu’a engendrées ce vaccin en France?

Tout d’abord, il faut rappeler qu’au milieu des années 1990, la France a connu une vaste campagne de vaccination contre l’hépatite B. Dans ce sens, l’ancien ministre de la Santé, Bernard Kouchner, s’est opposé à cette campagne de masse.
Les effets indésirables et néfastes de ce vaccin se sont vite manifestés. C’est ainsi que l’on compte actuellement 2600 victimes rien qu’en France. Seules une centaine de personnes ont été indemnisées.Le combat est difficile. Mais il continue.

Les victimes ont constitué une association appelée REVAHB. Quel est son rôle ?
Le 'Réseau Vaccin Hépatite B' a été créé en 1997 par des personnes atteintes d’effets secondaires graves apparus suite à une vaccination contre l’Hépatite B. L’objectif primordial du REVAHB est de faire reconnaître auprès du grand public la réalité des effets ravageurs du vaccin. Cette association joue également un rôle d’écoute et d’aide psychologique au profit des victimes .

Le 22-9-2005
Par : Atika Haimoud

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source : www.aujourd'hui.ma

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 20:33

Voici un lien sur le mercure il est en anglais mais il est sous titré, c'est très interessant

 

Voici

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 21:17

Vaccins obligatoires ?
Il faut se rendre à l’évidence...

En France, il ne peut exister d’obligation légale de vaccination.

Toute obligation serait anticonstitutionnelle :

Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 :
"Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne".

Toute obligation serait contredite par le nouveau Code civil qui reconnaît le :
"principe du respect de l’intégrité du corps humain".

Toute obligation serait en contradiction avec l’article 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise que :


"Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes".
 
Toute obligation serait contraire aux :


Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997, expliquant :


- Information des Patients -


"Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers.
Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés".

Toute obligation serait annulée d’office par la :


Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11,


Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique :


"Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment".

Il appartient donc à chacun d’accepter ou refuser, librement, cet acte médical - contesté par une multitude de professionnels de la médecine - qu’est une vaccination.

Toute obligation de vaccination induit, pour tout opposant à cet empoisonnement, la notion de Résistance à l’Oppression (droit reconnu par la Constitution) et celle de Légitime Défense (qui ne limite pas le choix des moyens utilisables !)



Les vaccins :
une bombe de l’ère médicale

par Robert Mendelsohn, médecin.
________________________________________
L’auteur, maintenant décédé, a pratiqué la pédiatrie pendant plus de 30 ans. Il a écrit de nombreux livres, a été directeur national du projet Head Start’s Medical Consultation Service, président du comité d’accréditation médicale pour l’État de l’Illinois, professeur associé de médecine préventive et de santé communautaire à l’École de Médecine de l’Université de l’Illinois, États-Unis.

 Bien que j’ai moi-même utilisé les vaccins dans les premières années de ma pratique, je suis devenu un opposant farouche des vaccinations de masse à cause des nombreux dangers qu’elles représentent. Le sujet est si vaste et complexe qu’il mériterait tout un livre. Je ne peux donc ici que donner un résumé de mes réticences au zèle fanatique avec lequel les pédiatres injectent aveuglément des protéines étrangères dans le corps de votre enfant, sans savoir quelles conséquences néfastes peuvent en résulter.

VOICI L'ESSENTIEL DES MES ARGUMENTS :

1. Il n’existe aucune évidence scientifique convaincante prouvant que ce sont les vaccinations qui ont éliminé les maladies d’enfance. Il est vrai que certaines maladies d’enfance qui étaient autrefois fréquentes ont diminué ou disparu depuis que les vaccinations ont été introduites ; personne ne sait réellement pourquoi, bien que l’on pense que c’est l’amélioration des conditions de vie qui en est la cause.
Car si les vaccinations étaient responsables de la diminution ou de la disparition de ces maladies aux États-Unis, pourquoi donc ont-elles disparu d’Europe où les vaccinations de masse n’ont pas été appliquées ?

2. On pense habituellement que c’est grâce au vaccin SALK que l’épidémie de poliomyélite qui frappa les enfants américains dans les années 1940 et 1950 a pris fin. Si c’est vrai, pourquoi est-ce que les épidémies ont aussi cessé en Europe où le vaccin POLIO n’était pas utilisé de manière aussi généralisée ? Et pour prendre un sujet d’intérêt plus récent, pourquoi est-ce que le vaccin SABIN est encore administré à des enfants, alors que le Dr Salk affirme que c’est ce vaccin qui cause actuellement la plupart des cas de poliomyélite ? Continuer à administrer ce vaccin est un comportement médical irrationnel qui ne fait que confirmer mon opinion que les médecins répètent constamment leurs fautes. Nous assistons là à une répétition du scénario où l’on voyait la difficulté du corps médical à abandonner la vaccination contre la variole. Ce vaccin resta la seule cause de mort due à la variole pendant trente ans après que la maladie ait disparu. Pensez-y, pendant trente ans, les enfants mouraient après des vaccinations antivarioliques, alors que la maladie elle-même ne comportait plus un risque réel !

3. Tout vaccin comporte des risques et des contre-indications ; cependant, les médecins les administrent de routine et par habitude, sans avertir les parents des dangers possibles et sans rechercher si tel vaccin serait contre-indiqué pour votre enfant. Aucun enfant ne devrait être vacciné sans qu’on réfléchisse à cela, et pourtant des queues d’enfants sont alignées chaque jour dans les cliniques pour recevoir un vaccin, sans qu’aucune question ne puisse être posée par leurs parents.

4. On pense de plus en plus que ces vaccins contre les maladies d’enfance relativement bénignes peuvent être responsables de l’augmentation intense des maladies auto-immunes dans notre population. Ce sont des maladies graves comme le cancer, la leucémie, les rhumatismes, la sclérose en plaques, le lupus érythémateux disséminé et le syndrome de Guillain-Barré. Dans les maladies auto-immunes, les mécanismes de défense de l’organisme ne savent plus faire la distinction entre les protéines étrangères et les tissus du corps lui-même, en conséquence l’organisme commence à se détruire lui-même. Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ?

QUE FAIRE ?

Nous avons le droit fondamental de refuser tout traitement médical et le vaccin ne fait pas exception. Tout individu a le droit d’être vacciné ou pas, même lors «d’épidémie ». Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une «épidémie » de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite «épidémie ».

Pour voyager à l’étranger sans vaccinations, vous pouvez déclarer simplement une exemption sous la Clause 84 du Code Sanitaire de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et adoptée par tous ses membres. (La seule exception à cette clause peut avoir lieu si vous arrivez d’une région infectée)."
 


SORTIR DU VACCINO-SECTARISME
Il serait temps dans le cadre d’une politique de Santé
cohérente et respectueuse de l’Etre,
de fournir aux consommateurs de vaccins une information scientifique transparente,
et de cesser, au nom du Bien Public,
d’assimiler aux phénomènes sectaires,
tout individu cherchant seulement à exercer sa liberté de choix en face des vaccinations,
méthodes obsolètes dont la Médecine
n’est pas en mesure de prouver l’absence de nocivité...
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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 10:35


Voici ce qui est ordonné aux medecins lorsqu'ils se trouvent devant des patients (souvent parents) qui refusent de se faire vacciner ou de vacciner leurs enfants. Si ce n'est pas de la pression psychologiques alors qu'est ce que c'est?

Ils reçoivent l'ordre de nous vaincre selon leurs dires!

 

 

 

Comment faire face à un refus de vaccination ?


En cas d'opposition systématique et si les efforts du praticien ne sont pas venus à bout des réticences,
la signature d'une attestation de refus de soins paraît indispensable.


Contrairement à des informations préconçues, la politique vaccinale en France se traduit par des obligations et des recommandations vaccinales qui s'appuient sur l'expertise scientifique du Comité technique des vaccinations. Par ailleurs, la dangerosité supposée des vaccins, la supériorité de l'immunité naturelle conférée par la maladie, la dramatisation des effets secondaires attribués à certains vaccins entraînent, par désinformation, des réactions de défiance, voire un rejet des vaccinations.

 Tout doit donc être mis en œuvre pour convaincre les patients et leurs familles que la politique vaccinale en France repose sur un calendrier vaccinal définissant les vaccinations obligatoires et recommandées, ces dernières ne devant pas être considérées à tort comme facultatives.


1. Le rôle du médecin

Aucun praticien ne saurait s'incliner face à un refus systématique de cet acte de prévention, concernant en particulier les enfants, ce refus devant être considéré comme une maltraitance par refus de soins : " Le médecin doit être le défenseur de l'enfant lorsqu'il estime que l'intérêt de sa santé est mal compris ou mal préservé par l'entourage. " (Code de déontologie, art. 43). S'il s'agit d'un mineur ou d'un majeur protégé, le médecin " doit s'efforcer d'obtenir le consentement de ses parents ou de son représentant légal " (Code de déontologie, art. 42).
Lorsque le patient est en état d'exprimer sa volonté, le médecin " doit respecter ce refus après l'avoir informé de ses conséquences " (Code de déontologie, art. 36) et des risques encourus pour sa santé.

Il faut ajouter que le médecin est dans l'obligation " éthique " de vaincre les réticences de ce patient et qu'une telle négligence dans cette circonstance serait dès lors considérée comme une faute de nature à engager sa responsabilité, s'il était prouvé que le patient n'en a pas été informé avec conviction : la vaccination est un acte à part entière. " L'exercice de la médecine est personnel, chaque médecin est responsable de ses décisions et de ses actes " (Code de déontologie, art. 69).

Il faut savoir que ce refus n'est pas non plus définitif : ignorance, insouciance ou conviction systématique non fondée, l'insistance du médecin doit venir à bout de cette attitude irréfléchie avant de recourir, dans le cas des enfants, aux mesures d'assistance éducative fixées par le juge des enfants saisi par le procureur de la République.


2. En cas d'opposition à toute vaccination

Il est prudent de faire signer par le patient une attestation de refus de soins en deux exemplaires (dont un destiné au dossier du patient) consignant ce refus et les risques s'y référant, mention devant figurer aussi sur les carnets de santé et de vaccination : ultimes manœuvres de persuasion… parfois bénéfiques, pour vaincre finalement les réticences alléguées d'un patient ou d'une famille.

Un certificat de contre-indication à une vaccination ne doit comporter aucune mention d'ordre diagnostique justifiant cette contre-indication. Rappelons enfin que " tout rapport tendancieux ou tout certificat de complaisance est interdit " (Code de déontologie, art 28 ; Code pénal, art. 441-7 et 441-8).

 " Ce n'est qu'après plusieurs années de vaccination qu'une surveillance attentive et adéquate fait ressortir les déviances épidémiologiques et cliniques d'une maladie qu'on aurait pu croire aisément jugulée, voire éradiquée ; les conséquences qu'engendrent ces modifications ont un impact direct sur la politique vaccinale étroitement dépendante aujourd'hui de la veille épidémiologique ", rappelle le Pr Pierre Bégué, chef du service pédiatrique de l'hôpital Trousseau(1).

Dr Jean Pouillard, vice-président du Cnom

1. Archives de pédiatrie, X,(2003,p.571-578)

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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 14:04
Vaccins, mais alors
on nous aurait menti ?

Ils sont inefficaces, nous rendent malades,
détruisent notre immunité naturelle, mais… ils sont obligatoires




Jean Pierre Joseph, avocat et auteur des "Radis de la Colère", a réalisé un livret à partir d'extraits d'une quarantaine de livres en vente libre et disponibles dans le commerce. A partir de ces extraits et de ses connaissances en matière de droit des personnes, il a réalisé un courrier qui peut être utilisé pour répondre à un fonctionnaire ou une administration qui exigerait de vous des vaccins obligatoires. Vous trouverez en fin d'article, un lien vers le document intégral incluant les pièces à joindre à la lettre ainsi que les références complètes des livres. Ce livret a fait l'objet d'un livre actualisé et complété, paru aux éditions Vivez Soleil, sous le même titre et disponible en librairie.


Présentation de l'auteur

Jean-Pierre JOSEPH:
Est avocat au Barreau de Grenoble.
A été chargé de cours de Droit comparé à l'Université de Glasgow, dans les années soixante-dix, puis président de Maison pour tous de quartiers dits « sensibles » pendant 10 ans, et animateur bénévole de quartier. Il est un des fondateurs de la 1ere expérience d'autogestion d'un Centre socioculturel en 1973, avec baisse de plus de 70 % de la délinquance sur un quartier.
A été musicien d'orchestres de variétés, auteur compositeur, et membre de la S.A.C.E.M.
Est l'auteur des ouvrages suivants:
- Le show business français, un État dans l'État (Éd. les cahiers de la pensée sauvage).
- Améliorer notre santé par une méthode qui ne coûte rien (non encore édité).
- Les radis de la colère (Éd. Louise Courteau).
Est instructeur fédéral de karaté, diplômé de la Fédération française de karaté (F.F.K.A.M.A.), membre du jury des grades de la ligue Dauphiné-Savoie de la F.F.K.A.M.A.
Est parti en urgence en République d'Haïti en janvier 2001, et a été le 1er avocat français à être autorisé, depuis l'indépendance de 1804, à plaider devant une Cour d'Assises haïtienne, pour défendre le navigateur grenoblois, accusé de meurtre sur sa femme qui, en fait, s'était suicidée. Après une semaine d'un procès médiatisé (TF1, Le Figaro, Paris-Match, etc.), à la suite duquel le navigateur fut acquitté, Jean-Pierre JOSEPH, qui n'avait aucun vaccin et qui n'a pris aucun traitement préventif contre le paludisme, est revenu criblé de piqûres de moustiques, et n'a pas été malade.

Cet ouvrage se contente de rassembler des dizaines de citations scientifiques et professionnels de la santé. Aucun d'entre eux ne faisant partie de la moindre secte, ce livre ne contient donc, ni procédé hypnotique, ni virus décérébrant. Il peut être lu sans crainte…





Introduction

Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l'hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel).

Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l'encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisée chez un Juge d'Instruction à Paris.

Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l'hépatite B.


Alors que la quasi-totalité des pays d'Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l'empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.


Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d'alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d'enfants vaccinés contre la coqueluche,


Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,


En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. …

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd'hui :

Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces,

Qu'ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques :

Fabriquée avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l'hydroxyde d'aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l'apparition du Sida.

Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu'il sont censés prévenir !

Que l'on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuse, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies.


Or, il semblerait que l'arrêt des épidémies n'ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.
Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas.

Personne, d'ailleurs, n'est capable d'expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l'humanité…

Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et des ouvrages suivantes :
La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,
Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,
La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
Au cœur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,
Vaccinations : l'Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
Pour en finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,
La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,
Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
Vaccination, Social Violence and Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,
A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,
Les Vérités indésirables, Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,
L'intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,
Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,
L'intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,
Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,
Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,
Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l'Aronde, 1997,
La catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l'Ouest, 1950,
Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),
Déjà vacciné ? Comment s'en sortir ?, (Dr A. BANOIS – Sylvie SIMON),
Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,
Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,
Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,
Nous te protègerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,
La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,
Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

Aucun de ces ouvrages, largement diffusés tant en France qu'à l'étranger, n'a fait l'objet du moindre procès, ni même du moindre démenti.


La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d'un empoisonnement collectif, et qu'il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu'ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n'ayant pour but que le profit, et surtout pas la SANTE… PUBLIQUE.

Ces médecins dénoncent le fait que la quasi-totalité de leurs confrères est dans l'ignorance totale de ces informations, car l'information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces médecins indiquent également qu'une vaccination n'est pas un acte banal, et qu'un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires (arrêté du 28 février 1952).


Il faut en effet, préalablement à tout acte vaccinale, que le sujet fasse l'objet d'un bilan clinique et biologique à savoir :

  a) Iconogramme complet, dosage de l'urée
  b) Lipidogramme
  c) Bilan endocrinien
  d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies
  e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites
  f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelle de l'organisme à fabriquer les anticorps
  g) Bilan radiologique :
    - Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu'il y a au moins une dent dévitalisée.
    - Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.


Or, jamais un seul de ces tests n'est proposé aux enfants, ce qui procède d'une négligence criminelle.


Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n'est encore venu les contredire, les vaccinalistes se content de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Déjà le 5 décembre 1957, 101 Députés Socialistes déposaient une proposition de Loi tendant à abroger l'obligation vaccinale.
Parmi eux MM. DEFFERRE, CAPDEVILLE, PROVO, SAVARY.


La France est le seul pays d'Europe à avoir 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculose et de tétanos, mais c'est le 1er pays producteur de vaccins du monde…

En outre, certaines vaccins, obligatoires en France sont interdits dans d'autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple) vu le nombre de victimes paralysées à vie qu'ils ont faits.


L'on sait pourquoi aujourd'hui lorsque les Américains ont entrepris, en 1918, de vacciner les habitants des Philippines contre la variole, le taux des personnes atteintes est alors passé de 10% de la population, à 65% en quelques mois.


L'on sait également (par les écrits des collaborateurs de PASTEUR) que le chien qui avait mordu le petit Jospeh Meister, vacciné par PASTEUR, avait également mordu toute la famille Meister qui n'a été ni vaccinée, ni malade.

L'on sait que lorsque les Américains se sont rendus compte, dans les années 1960, que 75% des gens atteints de la polio, étaient correctement vaccinés (Vaccin Salk), les symptômes officiels de la polio ont été modifiées, ce qui fait que tous les nouveaux cas allaient être appelées : encéphalites, méningites, etc. Ce qui a donné l'illusion que le vaccin avait enrayé l'épidémie.


Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd'hui de nous retrancher derrières des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n'a servi à rien.
(Rappelons-nous Maurice PAPON, à qui la Cour d'Assises de Bordeaux a reproché d'avoir, en sa qualité de Préfet de Police pendant l'occupation allemande, fait déporter des centaines de juifs, et qui, pour sa défense, a dit qu'il n'avait fait qu'appliquer la Loi…).

Tout citoyen a, aujourd'hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Les conséquences que l'on peut tirer de l'ensemble de ces informations sont les suivantes :

Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu, lui confèrent une immunité contre le germe correspondant ».

Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l'immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd'hui que de nombreux enfants vaccinés, ont néanmoins contracté la maladie.

Les substances, en outre, sont toxiques, puisqu'elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.

Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », au sens scientifiques du terme.

Le fait de refuser d'administrer des produits inefficaces et toxiques à des enfants ne peut donc s'assimiler à une privation de soins, ou une mise en danger de la vie d'autrui.

Bien au contraire, le fait d'imposer l'administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d'autrui, et peu, à long terme, constituer le crime d'empoisonnement ou administration de substances nuisibles.


Cas pratique
Un fonctionnaire zélé (bien que je lui démontre que les produits appelés «vaccins» sont inefficaces et nous empoisonnent), exige «parce que c'est la loi» que mes enfants soient vaccinés. Que puis-je faire ?


1°) Cessez d'abord d'avoir des scrupules.

Le personnage qui maintient ces exigences ne peut être :


      a) qu'un ignorant.
      b) ou le complice d'une grave infraction pénale.

a) Un ignorant
Celui qui, malgré ces informations, ne change pas d'avis est particulièrement ignorant, car comment continuer de ne pas voir que les « vaccins » sont inefficaces et dangereux, devant la masse énorme de livres, d'articles de presse, de magazines, de pétitions de médecins concernant cette question ?


b) le complice d'une infraction pénale
On nous a bassinés pendant des mois avec le procès PAPON, qui n'a cessé de dire qu'il appliquait la Loi et rien d'autre, et tous les politiques, à cette occasion, n'ont cessé de dire que quand un ordre était insensé, criminel, ou même anti-démocratique, il était légitime de ne pas s'y conformer.

Or, certains fonctionnaires, obligés de constater l'inefficacité et la dangerosité des vaccins, vous disent qu'ils sont chargés d'exécuter la Loi, et que, même s'il est reconnu que votre enfant risque sa vie en se faisant vacciner, il vous dira que ce n'est pas son problème, car « C'est la Loi ».

Si le fonctionnaire zélé, au vu des informations que vous lui remettez ne se précipite pas sur son téléphone, afin d'informer sa hiérarchie qu'il existe un problème sérieux, et qu'on ne peut plus continuer comme cela, qui est il, sinon un lâche qui n'en a rien à faire de la vie de votre enfant, mais qui pense uniquement à son avancement ?

Sachez donc que vous avez en face de vous un lâche.

Sachez aussi que dans les affaires du sang contaminé, de l'amiante (où il a fallu que des scientifiques hurlent pendant 29 ans avant que l'on ne prenne des mesures) etc., ...de nombreuses personnes sont mortes parce que des imbéciles de cette envergure « ne voulaient pas savoir » .


2°)
Nous pensons donc avoir trouvé le moyen d'échapper à l'empoisonnement, tout en respectant la Loi. Voici donc la méthode que nous suggérons. Elle consiste à contraindre ceux qui ne veulent pas savoir, à savoir quand même, afin qu'ils ne puissent plus jamais dire à l'avenir qu'ils ne savaient pas :

A - Photocopier les pages de ce livre : à partir du titre « Des faits (et non pas des théories) concernant les vaccins » jusqu'à la fin de la réponse à la question n° 19. (voir document à télécharger ci dessous - ndAd)

B - Photocopier les couvertures des livres parus sur cette question, que vous trouverez à la fin de cet ouvrage (plus d'autres si vous en possédez). Vous avez ainsi constitué un dossier.

C - Écrire à l'autorité qui exige que votre enfant soit vacciné (Inspecteur d'Académie, Conseil Général, Directeur d'école, etc.) le courrier suivant, en recommandé avec A.R.

Monsieur l'Inspecteur (ou Monsieur le Directeur),

Près de 2.000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédées, et les victimes accusent le vaccin contre l'Hépatite B, (Éric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Éd. Albin Michel).
Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l'encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d'Instruction à Paris.
Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l'Hépatite B.
Vous venez de me demander, par courrier en date du… de faire vacciner mon enfant…, scolarisé à l'école…
Je vous remercie de bien vouloir noter mes observations, et répondre aux 5 questions que vous trouverez à la fin de la présente:

I – OBSERVATIONS
Alors que la quasi-totalité des pays d'Europe, a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de milliers de scientifiques de tous bords, criant à l' empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc. du monde entier, tentent d'alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :
Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d'enfants vaccinés contre la coqueluche,
Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G. etc.

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd'hui :
Que les produits appelés « vaccins » seraient totalement inefficaces,
Qu'ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques.

Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l'hydroxyde d'aluminium à des doses 30 fois supérieures au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivés du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liés à l'apparition du Sida,
Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu'ils sont censés prévenir !
Que l'on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Or, il semblerait que l'arrêt des épidémies n'ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.
Ainsi, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.
Personne, d'ailleurs, n'est capable d'expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l'humanité...
Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et, notamment, d'environ 40 ouvrages dont je vous remets la liste en annexe. Je précise que ces ouvrages sont en vente depuis plus de 10 ans dans les librairies et les FNAC, et aucun d'entre eux n'a fait l'objet du moindre démenti.
La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d'un empoisonnement collectif, et qu'il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu'ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n'ayant pour but que le profit, et pas du tout la SANTÉ…PUBLIQUE.
Ces médecins dénoncent le fait que la quasi totalité de leurs confrères sont dans l'ignorance totale de ces informations, car l'information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.
Ces médecins indiquent également qu'une vaccination n'est pas un acte banal, et qu'un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires, conformément, notamment, à l'Arrêté du 28 février 1952.
Or, jamais une seule vérification n'est proposée aux enfants, ce qui procède d'une négligence criminelle.

Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n'est encore venu les contredire, les vaccinalistes se contentant de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.
La France est le seul pays d'Europe à avoir maintenu 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculoses et de tétanos, mais c'est le 1er pays producteur de vaccins du monde…
En outre, certains vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d'autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple), vu le nombre de victimes paralysées à vie qu'ils ont faites.
Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd'hui de nous retrancher derrière des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n'a servi à rien. Tout citoyen a, aujourd'hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Je vous remets la copie d'un document rassemblant des citations de scientifiques français et étrangers.
Je précise qu'aucun d'entre eux ne semble appartenir à la moindre secte, ce qui revient à dire que ce document peut être lu sans crainte d'être hypnotisé ou décérébré...
Vous trouverez également la couverture d'un certain nombre d'ouvrages traitant de la question, montrant que le problème est sérieux.

II – CONSÉQUENCES DE CES OBSERVATIONS
Les conséquences que l'on peut tirer de l'ensemble de ces informations sont les suivantes :
Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».
Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l'immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd'hui que de nombreux enfants vaccinés, ont, néanmoins, contracté la maladie.
Ces substances, en outre, sont toxiques, puisqu'elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.
Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », mais réellement des faux vaccins.

Ainsi, le fait d'imposer l'administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d'autrui, et peut, à long terme, constituer le crime d'empoisonnement ou administration de substances nuisibles.

III - MES QUESTIONS

1°)
Avez- vous pris connaissance des informations jointes au présent courrier?

2°) La Loi, et notamment, l'Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de « prendre toutes précautions », c'est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l'on veut administrer à l'enfant n'est pas dangereux pour lui.
Où puis-je donc, faire pratiquer (gratuitement, s'agissant de vaccins obligatoires), les analyses suivantes, ainsi que la Loi m'en fait obligation) ? :

a) Ionogramme complet, dosage de l'urée,
b) Lipidogramme,
c) Bilan endocrinien,
d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies,
e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites,
f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l'organisme à fabriquer les anticorps,
g) Bilan radiologique:
- Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu'il y a au moins une dent dévitalisée,
- Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.

3°) Les substances de source bovine étant interdites dans toute médication depuis 1994, dans la mesure où aujourd'hui encore le B.C.G. est fabriqué avec de la bile de boeuf, où puis-je (afin de respecter la réglementation de 1994) trouver un B.C.G. ne comportant pas de produits bovins ?

4°) L'ensemble des scientifiques précités indiquent que les produits actuellement commercialisés sous l'appellation de « vaccins » n'empêchent pas de contracter la maladie.
Il est donc évident que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vrais vaccins.
Par conséquent, afin de respecter l'obligation vaccinale qui m'est faite de par la Loi, où puis-je trouver des vrais vaccins, dont l'efficacité est garantie ?

5°) Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l'administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi, et constitue d'ailleurs un crime prévu par le Code Pénal.
Afin de ne pas me rendre complice du crime d'administration de substances nuisibles à la santé où puis- je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c'est-à-dire ne contenant ni hydroxyde d'aluminium, ni dérivés du mercure, ni sérum de veau, ni cellules cancérisées) ?

J'indique, pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions, et où vous m'obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins », je serais alors contraint de déposer une plainte pour « mise en danger de la vie d'autrui ». D'autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d'effets secondaires, que je déposerai une plainte pour administration de substances nuisibles à la santé contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l'encontre de ceux qui se seraient rendus complices de cette infraction, en faisant par exemple, de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.

Je vous remercie vivement de l'attention que vous porterez à mes préoccupations, et vous prie de croire, etc.


ANNEXES A MON COURRIER :
Liste d'ouvrages accessibles à tous en librairie ou dans les FNAC : [voir plus haut]


CONCLUSION

VERS UNE NOUVELLE DEFINITION DE LA « SANTE PUBLIQUE»

Les vaccins ne sont qu'un volet d'un système aussi écoeurant qu'hallucinant:

Dans son ouvrage Vaccin Hépatite B, les coulisses d'un scandale, le Dr VERCOUTERE écrit :
P. 45 :
« …D' après un rapport remis en novembre 1997 par le Comité technique de pharmacovigilance à Bernard KOUCHNER, secrétaire d'État à la Santé, 18.000 décès seraient dus aux médicaments en France, soit 2 fois plus que les accidents de la route… Pour maîtriser parfaitement le marché et influencer le corps médical, les laboratoires ne manquent guère de moyens, et dépensent environ 12 % de leur chiffre d'affaires, soit 14 milliards de francs par an, en formation continue, congrès, séminaires (organisés de préférence sous les cocotiers), menus cadeaux, aide à la publication (qui peut aller jusqu'à la rédaction du contenu de l'article), et enfin publicité déguisée sous forme d'articles scientifiques dans la presse médicale, sponsorisée par les laboratoires (excepté 2 revues médicales totalement indépendantes : Prescrire et Pratiques, qui ne vivent que de leurs abonnements. Les laboratoires dépensent en moyenne un peu plus de 80.000 F. (12.200 euros) par an et par médecin pour sa formation et son information (Cf Science et Vie Juin 1998) ».


« …Dès la fac de médecine, les futurs praticiens sont «pris en charge» par l'industrie pharmaceutique. Certains laboratoires offrent aux meilleurs étudiants des préparations gratuites au concours de l'Internat, d'autres les aident à rédiger leur thèse…».
P.46 : «…Selon le Pr Robert WEISS, directeur de l'institut de recherche sur le cancer en Grande-Bretagne, une grande partie du corps médical est devenue à tel point l'obligée du corps pharmaceutique que l'évaluation des médicaments en devient aléatoire… ».


P.47 : «…Ainsi la classe dirigeante fabrique-t-elle, grâce au système scolaire, une foule de personnes coulées dans le même moule à penser… ».

On ne peut être qu'écoeuré, mais du même coup, l'on comprend mieux un certain nombre de faits.

Il y a quelques mois, un directeur d'une société de téléphonie parisienne me raconta :

«…Je vais régulièrement au Brésil. J'aime ce pays. L'avant-dernière fois, j'avais été piqué par des moustiques, et sur tout mon corps, les boutons se sont infectés. C'était très douloureux, et j'avais de la fièvre.

Dans un petit hôpital Brésilien, l'on m'appliqua 2 plantes sur les boutons : l'une calma la douleur en quelques minutes, et grâce à l'autre, je fus guéri en 48 heures.
L'année suivante, j'eus exactement la même mésaventure, sauf que je n'eus pas le temps de me faire soigner au Brésil : la thérapeutique pouvait bien attendre la 1/2 journée de trajet en avion. Mais je fus hospitalisé à Paris pendant 3 semaines, traité aux antibiotiques, j'ai souffert pendant 3 semaines, et j'ai perdu 7 kilos… ».
Cette anecdote résume à elle toute seule une montagne d'aberrations.

Il est fort probable que si l'on avait pratiqué la technique brésilienne en France, le thérapeute aurait été poursuivi pour exercice illégal de la médecine.
Le Dr SCOHY, qui fut l'un des premiers à tenter d'alerter l'opinion sur les vaccins, a (évidemment) été radié de l'Ordre des Médecins.

Le Dr HAMER grâce à qui des centaines de cancéreux dans toute l'Europe, peuvent affirmer avoir guéri définitivement, est l'objet de poursuites dans presque tous les pays d'Europe.


Le Pr BELJANSKI, qui a soigné François MITTERRAND, et grâce à qui des dizaines de cancéreux et de sidéens avaient retrouvé la santé, a connu les pires ennuis, et notamment une perquisition effectuée par 180 gendarmes, hurlant à ce biologiste de 73 ans qui vivait seul avec sa femme, « qu'il était une secte ».

La France vient d'être condamnée par la Cour Européenne des Droits de l'Homme, par Arrêt du 7 février 2002, à lui verser... 4.500 euros pour dommage moral. Entre temps, ce malheureux est mort des tracasseries qu'on lui a faites. La famille touchera royalement 4.500 euros...

Qu'importe ? On continue.


Il est clair aujourd'hui qu'il existe une volonté politique de pourchasser toutes les méthodes bon marché susceptibles de nous maintenir en bonne santé, ou de nous la faire recouvrer si nous sommes malades.

Les gouvernements font semblant de vouloir résoudre les problèmes de société, mais ne veulent surtout pas que l'on trouve des solutions, puisque la plupart des dirigeants vivent de ces problèmes !

Le Général DE GAULLE a dit un jour « Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche… ».

Aujourd'hui les chercheurs qui trouvent sont immédiatement neutralisés, sauf si ce qu'ils ont trouvé peut rapporter gros...

Je ne compte plus les gens que j'ai rencontrés qui ont guéri de maladies dites « incurables », et qui m'ont indiqué par la suite que le thérapeute qui les avait aidés, était poursuivi. Car chez nous il vaut mieux mourir légalement que rester en vie illégalement.

Je pense encore à ce jeune homme qui a guéri du sida (son dossier était incontournable) et qui se cache, tant il a été l'objet de menaces.

Je ne peux que conseiller la lecture du livre du Dr Tal SCHALLER Artisans de leur miracle, qui évoque de nombreux cas de malades condamnés par la médecine, qui ont eu le courage de se guérir. Sa lecture peut redonner l'espoir à ceux qui se croient trop vite impuissants et obligés de souffrir.


En outre, lorsque nous avons évoqué l'hypothèse suivant laquelle les vaccins pourraient être «pucés» (contenir une micro-puce) ce qui pourrait être une des raisons pour lesquelles certains « scientifiques » insistent pour les maintenir, les bien-pensants ont tout de suite fait observer que « personne n'aurait jamais l'idée honteuse d'implanter une micro-puce dans le corps humain, et que nous étions des illuminés en pleine science-fiction… ».

Or, le 4 avril 2002 la B.B.C. News nous fait savoir que les États-Unis ont donné l'autorisation d'implanter une puce (appelée « Big Brother » ou « Verichip ») contenant des informations médicales et personnelles dans le corps humain, à la firme A.D.S. ...
La carte Vitale collée à la peau ! On y est ! (Mais nous sommes toujours des illuminés !).
Je repense à mon instituteur du C.P. qui traitait certains d'entre nous « d'imbéciles heureux. .. ».


Le système actuel a besoin pour vivre, que nous soyons tous dans une santé précaire, ce qui fait « tourner la machine ». On ne poursuivra jamais ce grand professeur d'orthopédie qui a opéré des tas d'enfants car leurs deux jambes avaient 1 ou 2 millimètres de différence... jusqu'à ce que ses confrères lui fassent observer que pendant la croissance, c'est normal… Mais on poursuivra celui qui guérit les maladies dites « incurables »...


Je propose donc que nous rebaptisions le Code de la Santé publique qui s'appellerait désormais « Le Code de la Maladie Publique ».


Jean Pierre Joseph
Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?
Editions Vivez Soleil

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Sources
Jean Pierre Joseph : Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?
Document intégral disponible en téléchargement


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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 08:55

 
Controverse sur l'innocuité du vaccin contre l'hépatite B a connu, vendredi 24 septembre, un nouveau développement judiciaire.


La commission des requêtes de la Cour de justice de la République (CJR) a été saisie d'une plainte visant les ministres ou anciens ministres de la santé, Philippe Douste-Blazy, Bernard Kouchner et Jean-François Mattei pour des faits de 'mise en danger de la vie d'autrui', ' publicité trompeuse en matière de santé publique' et 'non-assistance à personne en danger'.


Déposée par les familles de cinq victimes - deux adolescents et trois adultes -, décédées d'une aplasie médullaire ou d'une sclérose en plaques et qui avaient été auparavant vaccinés contre l'hépatite B, la plainte cherche à démontrer que les pouvoirs publics ont lancé des campagnes de vaccination contre ce virus sans en mesurer les conséquences éventuelles en termes d'effets secondaires.


Soutenus par Me Gisèle Mor, les plaignants sont déjà parties civiles dans le dossier d'instruction pour 'homicides et blessures involontaires', conduit à Paris depuis 1998 par la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy. S'ils se tournent aujourd'hui vers la CJR, la juridiction chargée d'instruire et de juger des délits commis par les ministres dans l'exercice de leurs fonctions, c'est notamment sur la base des conclusions d'une expertise versée en avril au dossier de Mme Bertella-Geffroy.


Analysant des documents saisis lors de perquisitions, notamment à l'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps), le pharmacologiste Marc Girard a ainsi estimé que les pouvoirs publics se sont rendus coupables de 'dissimulations' et de 'déformations' dans la mise en place des campagnes de vaccination contre l'hépatite B, une maladie pouvant évoluer vers une cirrhose ou un cancer du foie et qui se transmet par le sang ou les relations sexuelles.

 

DONNÉES FAUSSES


Reprenant les arguments de l'expert, les plaignants affirment que, en 1994, lorsque M. Douste-Blazy, alors secrétaire d'Etat à la santé, lance une vaste campagne de vaccination dans les établissements scolaires, aucune étude épidémiologique n'était alors connue sur l'incidence de l'hépatite B dans la population. 'Bien plus, le ministre de la santé s'est appuyé sur des données manifestement fausses pour inciter la population à se faire vacciner'
, insistent les plaignants, en expliquant qu'à l'époque le ministre parlait de 100 000 nouveaux cas par an, 'soit à tout le moins une exagération d'au moins 50 fois'.


La procédure remet également en cause la décision, prise quatre ans plus tard par Bernard Kouchner, de suspendre la campagne systématique de vaccination dans les écoles, en lui reprochant de ne pas avoir étendu cette interdiction à l'ensemble de la politique vaccinale contre l'hépatite B. La même réprimande est adressée à Jean-François Mattei, les plaignants estimant que les deux ministres auraient 'négligé de tirer toutes les conséquences des éléments alarmants'dont ils auraient disposé.


Face à ces accusations, les trois ministres rappellent qu'ils ont toujours suivi l'avis des experts, lesquels n'ont jamais cessé de recommander la vaccination contre l'hépatite B.

'En 1993, nous avons reçu une note de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), demandant à tous les ministres de la santé occidentaux de vacciner leur population'
, a expliqué au Monde M. Douste-Blazy. 'Les chiffres ont certes été depuis revus à la baisse, mais l'OMS continue de préconiser la vaccination et aucun pays au monde ne l'a remise en cause', rappelle l'actuel ministre de la santé. 'Tous les responsables scientifiques du monde disent qu'il faut continuer la vaccination, car l'immense bénéfice l'emporte sur des risques éventuels qui ne sont pas avérés', renchérit M. Kouchner, qui explique que s'il a suspendu la vaccination à l'école, c'était 'par mesure de précaution ultime'. Quant à M. Mattei, il estime avoir 'été prudent dans cette affaire', après avoir'pris tous les avis possibles'.


La plainte visant les trois ministres intervient dans un contexte où la question du lien de causalité éventuel entre vaccin de l'hépatite B et risque accru de développement de la sclérose en plaques fait toujours débat.

Début septembre, la polémique avait été relancée après la publication par la revue américaine Neurologyde la première étude ayant retrouvé chez l'adulte 'une association statistiquement significative entre le vaccin de l'hépatite B et la sclérose en plaques, après une dizaine d'autres études toutes non concluantes'explique l'Afssaps (Le Monde du 16 septembre).

Cette publication, qui fait actuellement l'objet d'une étude approfondie de l'Afssaps, n'a pas remis en cause la politique vaccinale française : réuni, le 14 septembre, à l'initiative de M. Douste-Blazy, le Comité technique des vaccinations (CTV) a ainsi recommandé la poursuite de la vaccination qui vise essentiellement, aujourd'hui, les nourrissons et les personnes à risque.


Cécile Prieur

ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 29.09.04

 

Maintenant, regardez plutôt les conséquences

sur cet avocat...!

 

 

Après sa plainte contre 3 ministres, l'avocate Gisèle Mor est poursuivie en correctionnelle le 14.10.04 par un fabricant de vaccin. Hasard du calendrier judiciaire ?

Maître Gisèle Mor, avocate dans une multitude de dossiers de patients atteints de troubles consécutifs au vaccin anti-hépatite B, sera jugée à l'audience du Jeudi 14 octobre 2004 à 13 h 30 au Tribunal Correctionnel de Paris, 17ème Chambre, 4 boulevard du Palais, 75001 Paris.Merci de vous mobiliser pour la soutenir : l'enjeu est important.Gisèle Mor est avocate dans le Val d'Oise et a été bâtonnier de l'Ordre des Avocats dans ce département.

 

Dans cette affaire, Gisèle Mor est accusée à tort de violation du secret de l'instruction. On lui reproche d'avoir divulgué le rapport d'expertise du Dr Marc Girard voir http://pagesperso.aol.fr/agosgirard

Or d'autres avocats qui sont les défenseurs de malades en cours de procédure contre les effets du vaccin anti-hépatite B ont aussi en mains ce rapport et n'ont pas été inquiétés. A travers elle, c'est l'ensemble des procédures mettant en cause le vaccin hépatite B qui sont concernées.


Gisèle Mor est personnellement visée car elle a en procédure plusieurs centaines de malades. L'audience arrive aujourd'hui, précisément au lendemain du dépôt récent d'une plainte de 5 familles de victimes contre 3 Ministres de la Santé auprès de la Cour de Justice de la République par son cabinet. Maître Gisèle Mor a été entendu par le juge d'instruction pendant 48 heures, c'est-à-dire pendant les 2 jours où avait lieu la Conférence de Consensus sur le vaccin hépatite B, en septembre 2004, pour qu'elle ne puisse pas y être effectivement présente...La classe politique et les laboratoires ne supportent pas que le lien entre ce vaccin et les différentes pathologies soit démontré. Or, les résultats les plus récents des études indépendantes des laboratoires conduisent à des chiffres dramatiques de victimes, bien au-delà encore du scandale du sang contaminé.


Tout est bon pour anéantir cette démarche de défense des victimes du vaccin et la mise en accusation de Gisèle Mor, avec le risque pour elle de ne plus pouvoir plaider, en est la démonstration.

 

 

 

Démarche inédite :

 


Le dépôt d'une triple plainte contre trois ministres de la Santé. Ce week-end, Gisèle Mor - avocate de six familles qui s'estiment victimes d'effets secondaires dus à une vaccination contre l'hépatite B - a déposé, devant la commission de requêtes de la Cour de justice de la République, une plainte pour 'mise en danger de la vie d'autrui', 'publicité tronquée en matière de santé publique' et 'non-assistance à personnes en péril'.

Celle-ci vise l'actuel ministre de la Santé, Philippe Douste-Blazy, mais aussi Bernard Kouchner et Jean-François Mattei (1). 'On a lancé en 1994 une campagne de vaccination sur la base de données scientifiques fausses et on a vacciné massivement sans connaître l'exacte fiabilité du vaccin', explique l'avocate qui ajoute, un rien provocatrice : 'Je ne remets pas en cause la présomption d'innocence de ces trois responsables, mais il me paraît essentiel que la justice s'attarde sur les conditions de lancement de cette campagne.'


Si cette plainte a peu de chances d'aboutir, du moins a-t-elle le mérite de braquer les projecteurs sur un épisode de notre histoire sanitaire. C'est un cas d'école : voilà une campagne de vaccination justifiée, un vaccin très prometteur et, au final, un gigantesque gâchis : des milliards engagés par la collectivité, 90 millions de doses de vaccin vendues en quelques années, plus de la moitié des Français vaccinés.


Pourtant, dix ans plus tard, le taux de couverture vaccinale des nourrissons (la cible la plus importante) est le plus faible d'Europe (moins de 30 %) alors que, chez eux, le risque d'effets secondaires est nul. 'On a manqué la cible', lâche le Pr Bernard Bégaud, pharmacologue et l'un des experts les plus indépendants sur cette question. 'Je n'ai jamais rencontré un tel degré de passion que sur ce dossier', poursuit le Pr Christian Peronne, président du comité technique de vaccination.


Petit retour en arrière. Nous sommes en 1994 : arrive un vaccin contre l'hépatite B, en partie mis au point par des équipes françaises. L'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui ne s'est pas montrée très audacieuse sur le sida, veut se rattraper. Et lance une directive à ses pays membres pour une vaccination massive, 'permettant l'éradication du virus de l'hépatite B'.

 A cette époque, nombre de pays en voie de développement souffrent d'une situation endémique : certes, 90 % des porteurs du virus guériront d'eux-mêmes, mais un petit pourcentage risque de développer des cirrhoses, voire des hépatites fulminantes. En France, c'est le brouillard. On ne sait rien, on manque de données fiables sur l'épidémie. On sait que le virus se transmet essentiellement par le sang et le sexe, et qu'il y a des groupes à risque comme les toxicomanes ou le personnel de santé. Que faire ?

 'Dans un pays à faible endémie, vacciner toute la population pour tenter d'éradiquer l'épidémie n'est pas absurde, choisir des campagnes ciblées non plus', explique Bernard Bégaud, qui note : 'De fait, les pays occidentaux ont choisi des stratégies variables.'


En France, Douste-Blazy, alors jeune ministre de la Santé sous la tutelle de Simone Veil, opte pour une campagne massive de vaccination. Et, pour la justifier, ne fait pas dans le détail. Il déclare sur TF1 : 'Ce virus est un problème majeur de santé publique, plus de 100 000 nouvelles contaminations surviennent chaque année dans notre pays. C'est un risque infectieux majeur de cette fin de siècle' (2).

 En cela, il ne fait que reprendre les propos dramatisants de nombreux médecins hépatologues. Certains évoquent même un risque de contamination par la salive. Les deux grands fabricants du vaccin (Pasteur-Mérieux et SmithKline-Beecham) se lancent dans une gigantesque campagne. Des centaines de milliers de dépliants sont distribués aux médecins, des opérations sont montées avec des radios du type Fun Radio. Problème : pour justifier la vaccination, les industriels se laissent aller. Ainsi, dans un prospectus : 'L'hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an.'


 


A la chaîne. C'est le rouleau compresseur : alors que le risque est dérisoire, on vaccine même les personnes âgées. Dans les collèges, on le fait à la chaîne. Sans pour autant se donner de moyens de contrôle. Bref, une campagne sans garde-fous ni repères sanitaires. Exemples : les 800 000 personnes atteintes en 1994 ? Faux. Les 100 000 nouveaux cas ? Faux. Tout au plus 10 000 à 20 000.

 


Et aujourd'hui, comme si la leçon n'avait toujours pas été tirée, les autorités sanitaires sont incapables de dire combien de personnes sont touchées par le virus. Dernier volet de ce dossier : les effets secondaires du vaccin. 'En vaccinant aussi massivement, il est normal qu'apparaissent des effets secondaires. Mais si on avait mieux vacciné, on n'aurait rien observé' (3), note Bernard Bégaud, qui a recensé près d'un millier d'effets secondaires plus ou moins graves. Les autorités sanitaires les ont-elles minorés (lire page précédente) ?

Les dernières études de pharmacovigilance - en particulier celle du Dr Hernan, publiée la semaine dernière - notent un risque, faible mais réel, au bout de trois ans, de survenue de scléroses en plaques. Sans remettre en cause le bénéfice de la vaccination chez les nourrissons et les personnes à risque.

On en est là. Aujourd'hui, tout se télescope, la mécanique judiciaire et la logique sanitaire.


Le doute sur ce vaccin s'est définitivement installé. La plainte devant la Cour de justice ne va pas détendre l'atmosphère, ni le souhait de la juge d'instruction de placer prochainement sous statut de témoins assistés les deux grands laboratoires pharmaceutiques, dans le cadre de son information ouverte, entre

 

autres, pour 'publicité mensongère'.

 

(1) Jean-François Mattei n'a pas voulu répondre à nos questions.

(2) La Santé publique en danger d'Eric Giacometti. Enquête, le 23 janvier 2001, sur Canal +.

(3) Aucun effet secondaire grave n'est apparu chez les moins de 16 ans.

 

 

Communiqué de Jean-Marie Mora

LNPV

 

 

http://www.ctanet.fr/vaccination-information/

 

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 21:43

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 181 et 182} {Extrait 19}:

 

LE VACCIN CONTRE L'HÉPATITE B

 

(...)

 

Il y a une dizaine d'années, l'hépatite B était censée atteindre deulement les médecins et les infirmières, ceci au contact du sang d'un malade ou par suite de piqûres. On sait aujourd'hui que la maladie se transmet par voie sexuelle. Le virus de cette maladie a été découvert aux États-Unis en 1963. Les premiers vaccins furent réalisés et utilisés en 1976 par l'équipe du professeur Maupas, à Tours, en France. En 1991, dans ce pays, la loi rendit obligatoire la vaccination contre l'hépatite B pour le personnel de santé. Peu nombreuses, ces premières vaccinations n'ont pas été suivies et, par conséquent, on ne peut savoir quels effets secondaires se sont produits chez les vaccinés. Par contre, on sait que cette vaccination obligatoire pour le personnel de santé fut un échec avoué. De toutes façons, depuis 1976, il s'est écoulé trop peu de temps (20 ans) pour vérifier l'inocuité et l'efficacité du vaccin puisque les cirrhoses et cancers du foie mettent de 15 à 20 ans pour se manifester. Le recul n'est donc pas suffisant. Les enfants vaccinés à l'automne 1994 (plus de 500 000) avec l'Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre, présenteront probablement des cancers et autre affections graves dans 15 ou 20 ans. Malgré cette évidence, les fabricants de vaccins qui considèrent que le temps est de l'argent et souhaitent réaliser un chiffre d'affaires et des bénéfices records, voudraient que la vaccination contre l'hépatite B devienne obligatoire. À cet effet, ils font pression de tout leur poids sur les instances politiques qui leur sont inféodées.

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