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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 09:05

La souche H1N1 dans le vaccin de la grippe saisonnière


GENEVE - Le vaccin contre la prochaine grippe saisonnière dans l'hémisphère Nord contiendra trois souches, dont celle du virus H1N1 qui transmet la grippe A, annonce l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le vaccin contre la prochaine grippe saisonnière dans l'hémisphère Nord contiendra trois souches, dont celle du virus H1N1 qui transmet la grippe A. (Reuters/Jean-Paul Pélissier)

 

Le vaccin contre la prochaine grippe saisonnière dans l'hémisphère Nord contiendra trois souches, dont celle du virus H1N1 qui transmet la grippe A. (Reuters/Jean-Paul Pélissier)

 

Cette décision, prise à la suite des recommandations des experts, signifie que les vastes stocks de vaccins contre la grippe A pourront être utilisés pour produire les nouveaux vaccins contre la grippe saisonnière, a déclaré à la presse Keiji Fukuda, expert de la grippe à l'OMS.

  

Plusieurs pays, dont l'Allemagne, la France et les Etats-Unis, ont pris la décision de résilier leurs commandes de vaccin face à la faible demande de leurs ressortissants. Le fait qu'une seule dose soit finalement nécessaire a également contribué au surplus de vaccins.

 

"L'utilisation de la souche du virus dans le vaccin contre la grippe saisonnière ne veut pas dire que la pandémie est finie", a précisé Fukuda, s'adressant aux journalistes. "On s'attend à ce que le virus constitue une menace significative à l'automne et en hiver."

 

Les jeunes personnes, principalement celles qui souffrent de maladies chroniques, et les femmes enceintes, restent confrontées aux risques d'infection et de pneumonie virale.

 

Le comité d'urgence des experts de l'OMS sur la grippe doit se réunir le 23 février pour annoncer la fin ou non de la pandémie. Le virus H1N1 devrait toutefois rester le virus dominant dans le monde, a-t-il ajouté.


COMBINAISON DE TROIS SOUCHES


Les fabricants de médicament pourront utiliser les composantes du vaccin H1N1 déjà en leur possession, à l'exception de celles déjà introduites dans des seringues ou des fioles.

 

"S'ils ont la souche du vaccin prête à l'emploi, ils sont bien placés", a ajouté Fukuda, interrogé par Reuters à l'issue d'une session publique de l'OMS en présence de fabricants de médicaments.

  

Ce sera aux gouvernements de décider soit de combiner les trois souches dans un même vaccin "trivalent", soit de procéder à des vaccinations séparées selon les souches. Les deux autres souches sont celles du virus H3N2 et de la grippe B.

 

"Je pense que de nombreux pays opteront pour la combinaison des souches", a poursuivi Fukuda.


Quelque 200 millions de personnes ont été vaccinées mais ils pourront se faire injecter le vaccin trivalent sans danger, selon lui.

Les laboratoires comme GlaxoSmithKline et Sanofi-Aventis doivent attendre l'avis de l'OMS pour commencer à produire les vaccins pour la grippe saisonnière qui commence habituellement en novembre.

 

Meirion Evans, directeur du comité de la protection de la santé à la Faculté britannique de santé publique, a dit à Reuters que l'épidémie de grippe aviaire pourrait faire son retour en novembre sous la forme d'une grippe saisonnière.

 

"Ceux qui ont eu la grippe H1N1 ou qui se sont fait vacciner bénéficient déjà d'une forme d'immunité. Cependant, le vaccin contre la grippe saisonnière reste recommandé pour toutes les personnes âgées de plus de 65 ans et pour les personnes à risques".

 

Stephanie Nebehay, Guy Kerivel et Marine Pennetier pour le service français

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 21:21
« Si le virus A H1N1 mute... » ou l’escroquerie à l’échelle planétaire
par Marc Zaffran (Martin Winckler)
Article du 12 septembre 2009


Alors même que les évidences épidémiologiques de bénignité de la grippe A H1N1 s’accumulent (et que les médecins espagnols et britanniques rassurent leurs populations respectives) l’argument numéro 1 invoqué par les tenants de la vaccination de masse est « la possibilité d’une mutation du virus ». Or, cette éventualité n’est pas seulement scientifiquement improbable, elle est aussi le principal argument qui disqualifie la vaccination : contre un virus mutant, un vaccin ne sert à rien. Démontage d’une escroquerie planétaire.

 


Les relevés épidémiologiques le montrent (y compris dans les rapports de l’OMS, qui est tout de même l’institution qui a tiré la sonnette d’alarme), la pandémie de A H1N1 n’est pas du tout aussi catastrophique qu’on a pu l’annoncer, alors même que le virus semble plus contagieux puisqu’il se transmet même quand il fait chaud. Plus contagieux, mais moins dangereux.


Dans l’hémisphère sud, où la santé de la population est proportionnellement plus précaire que dans l’hémisphère nord, la mortalité est inférieure à celle d’une grippe saisonnière habituelle. De plus, comme l’OMS ne demande plus de confirmer les cas de grippe « puisqu’il y en a trop », on est en droit de penser que le nombre de personnes atteintes par la grippe est bien plus grand qu’estimé, mais comme le nombre de morts attribué au virus (un mort, ça se comptabilise) est faible, la proportion de décès par rapport au nombre de personnes touchées est donc probablement encore plus faible qu’on ne l’estime actuellement.


On est donc en droit de penser que 1° il n’a pas de raison de provoquer plus de décès dans les pays du Nord, dont la population est en meilleure santé que celle du Sud. 2° comme il est très contagieux et qu’il y a déjà des foyers épidémiques en Europe, d’ici quelques semaines il y aura de plus en plus de personnes déjà immunisées (et toujours vivantes) qui agiront comme des barrières pour protéger les autres. Avant même que le climat hivernal ne s’installe. On peut s’attendre donc à ce que la « grande épidémie » n’ait pas lieu...



Arguments scientifiquement incohérents

Cependant, dans les pays développés comme la France, qui ont commandé des millions de vaccins on continue à répandre des messages terroristes pour inciter les populations à se vacciner.


Les arguments ? « le virus A H1N1 touche des strates de la population que le virus A H3N2 (habituel) ne touche pas : les jeunes adolescents et adultes » ; c’est vrai, apparemment, mais ça ne le rend pas plus grave, d’ailleurs parmi les décès, on trouve surtout des patients immunodéprimés ou très malades qui sont très jeunes ou très âgés, et non des jeunes adultes ; la grippe touche les jeunes adultes, mais elle ne les tue pas comme s’il s’agissait d’une méningite cérébrospinale ; à ma connaissance, les vacanciers touchés dans des colonies de vacances en Isère, cet été, ont guéri en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire...


« le virus AH1N1 touche les femmes enceintes »
 : c’est vrai, mais l’autre aussi ; et c’est bien connu : les femmes enceintes sont en état de « tolérance immunitaire » vis à vis de leur foetus, ce qui les rend un peu plus sentibles aux virus qu’en temps normal ; rien de nouveau, donc

« le tamiflu n’est pas constamment efficace » :

 c’est vrai, et on le sait depuis longtemps, car AUCUN médicament ne peut être constamment efficace sur quoi que ce soit (tout simplement parce qu’un médicament n’a pas le même métabolisme chez tous les individus, pour des raisons génétiques, et parce que des résistances surviennent pour tous les anti-infectieux, qui « sélectionnent » des germes résistants) ; cela dit, ce n’est pas nouveau, car l’efficacité du Tamiflu est toute théorique : il est censé raccourcir la durée et atténuer la gravité de la grippe s’il est pris dès les premiers symptômes mais 1° il y a tout plein de maladies (du rhume à la bronchite saisonnière bénigne) qui commencent comme une grippe. 2° durée et gravité de la grippe sont variables d’une personne à une autre, il est donc impossible de vérifier que c’est le Tamiflu qui raccourcit les symptômes de la grippe, car toute expérimentation d’un antiviral sur une maladie de courte durée (huit jours) n’a aucune signification. En matière de maladies infectieuses virales, un vieil adage clinique dit : « un rhume mal soigné dure une semaine, un rhume bien soigné dure huit jours »...



Mais l’argument qui remporte le pompon de l’escroquerie est celui qui court avec le plus d’insistance en France quand on oppose à la vaccination de masse les objections qui précèdent
. Cet argument proprement magique est celui-ci : « Et si le virus mute... ? »



Eh bien, le virus A H1N1 a déjà muté.
C’est d’ailleurs en mutant qu’il est devenu plus contagieux et que l’épidémie a commencé. Mais cette mutation, qui lui a conféré une plus grande contagiosité, ne lui a pas conféré pour autant une plus grande dangerosité. Un virus a un seul but dans la vie : multiplier son ADN le plus vite possible pour survivre génétiquement, comme le font tous les êtres dotés d’un ADN. Or, un virus, c’est un ADN réduit à sa plus simple expression. Son but, ça n’est pas de rendre malade. Les symptômes de la maladie sont liées aux réactions de l’organisme destinées à éradiquer le virus : la fièvre, c’est le corps qui la produit pour empêcher le virus de se reproduire ; les courbatures, c’est la contraction intense des muscles pour produire de la fièvre ; la toux, c’est la réaction inflammatoire du nez, de la trachée et des bronches à l’entrée du virus dans les tissus respiratoires. Le virus, lui, il a intérêt à ce que le patient reste debout et le transmette dans ses gouttelettes de salive.



On comprend donc que pour qu’un virus soit très contagieux (par voie aérienne), il faut AUSSI qu’il soit relativement bénin.
S’il est très dangereux, il risque en effet de tuer ses hôtes avant qu’ils ne l’aient transmis. Les virus les plus contagieux de la planète, ceux du rhume de cerveau, ne tuent personne...


« Bon, d’accord, admettons ! Mais quand même ! Et s’il mute de nouveau et devient dangereux cette fois-ci ??? On ne peut pas le savoir à l’avance !!! »

Ah, mais c’est là que l’escroquerie intellectuelle touche à son comble, comme vous allez le voir.

La phrase "Bon, mais s’il mute de nouveau ?" ne résiste pas à l’analyse rationnelle :


1° les mutations sont ce qui permet à un organisme de survivre ou le conduisent à disparaître ; virologiquement, biologiquement et épidémiologiquement parlant, il est peu probable que le virus A H1N1, qui a en quelque sorte « réussi son coup » et pris la place du AH3N2 au hit-parade des grippes grâce à une mutation qui le rend plus contagieux (mais moins dangereux) mute de nouveau pour devenir brusquement plus mortel (et donc moins contagieux) dans un délai très court. Rappelons qu’il n’avait pas muté depuis 1956...


2° par quel miracle muterait-il simplement en passant de l’hémisphère sud à l’hémisphère Nord ???? Pourquoi pas chaque semaine, pendant qu’on y est ?

Brusquement, l’OMS le déclare tout de go : "Le virus n’a pas muté"



Mais surtout, l’argument « Et si le virus mute de nouveau... » vient de montrer tout récemment son inanité (et son caractère de poudre aux yeux), grâce à un communiqué sybillin datant du 4 septembre : « D’après l’OMS, le virus a provoqué 2800 morts dans le monde [1] mais n’a pas muté. » (Vous trouverez ça partout.)


Cette nouvelle sybilline mais cruciale disqualifie complètement les discours terroristes mais montre aussi par la même occasion que leur seul but était de faire commander des vaccins en masse. « Vaccinez-vous, car le vaccin peut muter ! »



Car cet argument ne tient pas et n’a jamais tenu ; en effet pour qu’un vaccin soit efficace, il faut que le virus reste stable... On ne voit donc pas l’industrie se lancer dans la fabrication d’un vaccin contre un virus qui risque de muter d’une seconde à l’autre (ou d’un continent à l’autre)...


Quand je suis arrivé à Montréal et que j’ai pris une assurance pour mon logement, la préposée de la compagnie d’assurance m’a proposé un supplément « tremblement de terre ». Ca m’a fait éclater de rire. J’ai dit « Montréal n’est pas sur une zone sismique » [
2]. Elle a dit « C’est vrai, mais on la propose quand même, c’est seulement 20 $ par an. » Je lui ai demandé si elle avait un supplément astéroïde... Elle n’en avait pas. Je n’ai pas pris le supplément tremblement de terre. Mes inquiétudes ont des limites.


Et bien, pour la grippe, on vous a fait le même coup, messieurs-dames les partisans d’une vaccination de masse !!!

On vous a incités à commander des vaccins en nombre incroyables, envers et contre l’évidence de la bénignité de la grippe A H1N1 telle qu’on l’observait, en direct, dans l’hémisphère sud, en vous disant « Ah, mais si le virus mute. » Et maintenant que les vaccins sont fabriqués et vont pouvoir être livrés, on vous envoie un message rassurant, via l’OMS en vous disant que le virus n’a pas muté.



Et c’est très important qu’on vous dise que le virus n’a pas muté. Parce que si on continue à vous effrayer avec le spectre d’une nouvelle mutation, vous risquez de vous rendre compte que le vaccin dont vous avez commandé des millions de doses, (et dont on commence à dire déjà que « une seule dose suffit »...)

si le virus mute,

ce vaccin...

il ne servira à rien !!!


Autrement dit : en agitant la peur d’un virus qui "pourrait" devenir dangereux, on vous a vendu un vaccin qui, si le virus était vraiment devenu dangereux ne vous aurait, de toute manière, pas protégés...

Il ne vous reste plus qu’un vaccin très coûteux, peut-être efficace(mais c’est pas sûr) contre un virus... bénin.

Notez bien que l’OMS a dit "Le virus n’a pas muté". Sous entendu "Pour le moment". Au printemps prochain, il sera toujours le temps de dire qu’il "a muté légèrement et qu’il faut fabriquer un NOUVEAU vaccin". C’est d’ailleurs ce que l’industrie fait depuis 30 ans avec le virus "A H3N2" pour justifier de vendre un nouveau vaccin chaque année (en laissant entendre que l’immunité acquise au contact du virus ne compte pas et que celle que conférait le vaccin de l’année précédente est désormais caduque...)



Ca me fait penser irrésistiblement aux élixirs de jouvence ou à faire pousser les cheveux que les charlatans vendent dans les westerns, avant de quitter la ville nuitamment pour ne pas se faire lyncher au petit matin quand les habitants auront découvert que c’est de l’eau sucrée.


Mais cette fois-ci, le charlatan est le consortium d’entreprises les plus riches au monde, et l’escroquerie est planétaire.

Marc Zaffran/Martin Winckler

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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 20:59

Grippe A (H1N1) / Grippe méxicaine - Grippe Porcine



Grippe A (H1N1) : six enfants victimes d'une erreur de vaccination - Grippe A (H1N1) / Grippe méxicaine - Grippe Porcine

 

Le Parisien indique que « 6 enfants ont été victimes d'erreurs de vaccination à Brest et Paimpol. Cinq d'entre eux, âgés de moins de 3 ans, vaccinés lundi dans un centre de Brest, ont reçu par erreur quatre doses de vaccin chacun au lieu d'une contre la grippe H1N1 »


Dominique Le Goff, médecin inspecteur de santé publique de la Ddass du Finistère, explique qu’« il s'agit de flacons multidoses dans lesquels on prélève une dose de 0,25 ml «Panenza non adjuvé». L'infirmière a prélevé 1 ml, il s'agit d'une faute isolée ».

« Après analyse avec l'équipe, nous avons conclu qu'il s'agit d'une erreur individuelle, nous n'avons pas été amenés à revoir l'organisation et la gestion de ce centre » ajoute t-il.

Le quotidien précise que « l'Afssaps s'est montrée «rassurante sur les risques» ». Anne Castot, chef du service de la gestion des risques des médicaments, affirme: « Il nous semble que les risques d'une surdose sont essentiellement une hyperréaction locale, au point d'injection, voire un risque de fièvre ou un petit syndrome pseudo-grippal ».

Le Parisien indique également que « très mécontent des ratés de la campagne de vaccination, Nicolas Sarkozy a tapé du poing sur la table, hier en Conseil des ministres. Dans son collimateur, les préfets, pas assez mobilisés à son goût ».

Le journal constate que « priés de s’activer davantage, les ministres chargés de la gestion de la crise ont été soumis à forte pression. Roselyne Bachelot et Brice Hortefeux ont reçu le message : à partir de ce midi, les ministères de la Santé et de l’Intérieur tiendront un point de presse quotidien »
 

Article écrit le 2009-12-03 par © Copyright InformationHospitaliere.com
Source: Le Parisien, Le Figaro du 3/12/09 Accéder à la source

 

**Cet article date, il n'est pas nouveau, je l'avais enregistré dans mes brouillons, et je l'ai zappé... donc je le met quand meme pour ceux qui ne l'aurait pas lu ailleurs**
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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 14:38

LYON - Le parquet du Puy-en-Velay a indiqué vendredi avoir ouvert une enquête après le décès mardi en Haute-Loire d'un enfant de neuf ans, de santé fragile, qui avait été vacciné quelques jours auparavant contre la grippe A (H1N1).

 

Seringues destinées au vaccin anti-grippe

AFP/Archives/Thierry Zoccolan

Seringues destinées au vaccin anti-grippe

 

 

Le garçon, pris en charge par les urgences après un malaise, est décédé à son arrivée à l'hôpital mardi et le médecin, n'identifiant pas de cause évidente pour ce décès, a prévenu les autorités hospitalières qui ont alerté la justice.

Le parquet du Puy-en-Velay a ouvert une enquête mercredi, confiée à la police judiciaire, afin d'établir les causes de la mort, et un éventuel lien avec le vaccin.

L'autopsie, qui s'est déroulée jeudi à Saint-Etienne, n'a pas permis d'établir ce lien, ni de l'écarter. Des prélèvements ont été effectués et seront analysés dans les jours à venir, afin d'en savoir plus.

"Il semble y avoir eu de petites complications suite au vaccin mais aucune conclusion ne peut être tirée pour l'instant", a déclaré le procureur à France 3, qui révèle les faits.

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 14:22

13.11.2009

Vaccin H1N1 : Suède, un garcon de 4 ans dans le coma !


UN GARCON SUÉDOIS DE 4 ANS DANS LE COMA ET AUX PORTES DE LA MORT
APRÈS AVOIR REÇU LE VACCIN H1N1 TOXIQUE !!!

 

Écoutez le cri déchirant et plein d'angoisse de ce petit garçon lors de son transport à l'hôpital : "MAMAN, JE NE VEUX PAS D'AUTRE VACCIN !"

Source originale en suédois :

http://www.aftonbladet.se/nyheter/svininfluensan/vaccingu...

Source en anglais :

http://www.theflucase.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1711%3Aswedish-boy-aged-4-close-to-death-from-qswine-fluq-vaccine&catid=41%3Ahighlighted-news&Itemid=105&lang=en

UN PETIT GARÇON SUÉDOIS DE 4 ANS, PROCHE DE LA MORT APRÈS AVOIR REÇU

LE VACCIN CONTRE LA "GRIPPE PORCINE"

L’ÉTOUFFEMENT PRESQUE COMPLET MIS EN PLACE EN SUÈDE EN CE QUI CONCERNE LES DÉCÈS ET AUTRES GRAVES "EFFETS SECONDAIRES" DU VACCIN EMPOISONNÉ PANDEMRIX, CONTRE LA GRIPPE PORCINE, EST EFFRAYANT. EN DÉPIT DE CELA, QUELQUES HISTOIRES PARVIENNENT À SORTIR, comme l'histoire de Kevin, âgé de 4 ans et vivant à Stockholm avec sa mère, Mia, qui est enceinte et dans son troisième trimestre de grossesse.

 « J'étais sûr qu'il était mort », dit-elle dans un article publié d'abord uniquement dans la version imprimée du journal Aftonbladet, et plus tard ajouté à leur site web après que ses lecteurs lui aient « rappelé » de le faire.

KEVIN ÉTAIT ASSIS AVEC SON PÈRE DANS UN CAFÉ, LORSQUE TOUT À COUP, IL SE MIT À TREMBLER DE FAÇON INCONTRÔLABLE. SON PETIT CORPS ÉTAIT ARQUÉ VERS L'ARRIÈRE, PRIS DE CONVULSIONS, ET SES YEUX ROULAIENT VERS L'ARRIÈRE, EXPOSANT SEULEMENT LE BLANC DE L’OEIL. Sa mère n'était pas loin, et quelqu'un est allé la chercher rapidement en disant « Mia, venez vite, Kevin va vraiment mal ! ».

Quand elle est arrivée près de Kevin, un cercle de personnes l’entourait, alors qu’il était couché à plat sur le sol. « SES LÈVRES ÉTAIENT COMPLÈTEMENT BLANCHES. JE N'AI JAMAIS VU UNE PERSONNE AUSSI BLANCHE DE MA VIE. JE L’AI PRIS DANS MES BRAS, ET IL ÉTAIT COMPLÈTEMENT FLASQUE. MA SEULE PENSÉE ÉTAIT : "IL EST MORT, IL N'EST PLUS EN VIE !", DIT SA MÈRE.

KEVIN NE RESPIRAIT PLUS. Deux infirmières se trouvaient là et elles ont expliqué à Mia comment effectuer un massage cardiaque immédiatement. Mia a commencé à faire cela alors que, dans le même temps, elle a senti qu'elle commençait à entrer dans le stade de travail de l’accouchement. Elle a donné de l’air à son fils pendant que d'autres appelaient une ambulance. « J'ai perdu la notion du temps. Mais après un certain temps, ses lèvres ont retrouvé leur couleur. Il a ouvert les yeux ».

PENDANT LE TRAJET VERS L'HÔPITAL, KEVIN N’A EXPRIMÉ QU’UNE CRAINTE : « MAMAN, JE NE VEUX PAS AVOIR D’AUTRE VACCIN... »

LES MÉDECINS QUI SE SONT OCCUPÉ DE LUI À SON ARRIVÉE À L'HÔPITAL SONT D’ACCORD SUR LE FAIT QUE LA SEULE EXPLICATION À CECI EST LE FAIT QU'IL AVAIT REÇU, DEUX JOURS AUPARAVANT, LE VACCIN EMPOISONNÉ PANDEMRIX CONTRE LA « GRIPPE PORCINE ». ILS ONT ÉGALEMENT DIT : « IL EST LE SECOND AUJOURD'HUI, CE N'EST PAS UN CAS UNIQUE ».

Le journal a contacté l'Agence des produits médicaux de Suède, et a parlé avec le professeur Jan Liliemark qui a affirmé qu'il n'avait jamais entendu parler de cas semblables. « Les enfants peuvent entrer dans des états comateux pour de multiples raisons. Cela pourrait être relié à la vaccination, mais il pourrait aussi y avoir d'autres raisons ».

Les parents de Kevin ont choisi de parler de leur épreuve de façon à ce que d'autres parents puissent être mieux informés qu’eux. Ils n'ont jamais entendu que de telles choses pouvaient se produire après une vaccination.

Mia dit : « Que se serait-il passé si cela s’était produit à la maison pendant qu’il jouait seul dans sa chambre et pendant que je faisais le ménage en bas ? ».

NOUS AVONS REÇU DES INFORMATIONS NON CONFIRMÉES SELON LESQUELLES LE NOMBRE DES "EFFETS INDÉSIRABLES" DU VACCIN EN SUÈDE EST MAINTENANT BIEN SUPÉRIEUR À 500, ET COMPREND DES « EFFETS SECONDAIRES GRAVES » QUI SIGNIFIENT DES SYMPTÔMES QUI METTENT LA VIE EN DANGER, MÊME LA MORT. LE NOMBRE DE DÉCÈS QUI NOUS A ÉTÉ SIGNALÉ EST SUPÉRIEUR À 50 JUSQU'À PRÉSENT. CETTE INFORMATION EST NON CONFIRMÉE ET LES CHIFFRES OFFICIELS SONT GARDÉS SECRETS, CONFORMÉMENT À L'ACCORD ÉGALEMENT SECRET CONCLU ENTRE LA SUÈDE ET GSK, GLAXOSMITHKLINE, QUI PRODUIT LE VACCIN TOXIQUE PANDEMRIX.

Je me suis entretenu aujourd'hui avec un fabricant de vaccins (un fournisseur de l'API, l'ingrédient actif) à son usine ici, en Suisse, et ils m’ont dit qu'ils sentaient qu'ils devaient jouer à la fois dans la production et la fourniture de ces ingrédients actifs aux plus "grosses" multinationales pharmaceutiques, puisque ces sociétés sont « si puissantes ». La personne avec laquelle j'ai parlé pensait qu’il y avait QUELQUE CHOSE DE SÉRIEUSEMENT GRAVE DANS LA FAÇON DONT TOUTE LA PEUR DE LA « GRIPPE PORCINE » S'EST DÉROULÉE, AINSI QUE LE RÔLE DE L'OMS. La même personne a également reconnu qu’énormément de recherches dans le domaine médical, et qui ne supportent pas les produits planifiés d'autres entreprises, sont cachées ou enterrées. LES DEUX PERSONNES AUXQUELLES J'AI PARLÉ NE PRENDRAIENT "ABSOLUMENT PAS" LE VACCIN CONTRE LA « GRIPPE PORCINE ». Elles ont dit que la « grippe porcine » signifiait de bonnes affaires.

Johan Niklasson

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 12:36
Mort d'un enfant après une vaccination contre la grippe A
Par Reuters


PARIS - Un enfant de neuf ans est mort mardi, quatre jours après avoir été vacciné contre la grippe A(H1N1), déclare samedi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).

"Les éléments dis

ponibles à ce jour ne permettent pas d'établir l'origine du décès", ni un lien éventuel avec la vaccination, écrit l'Afssaps dans un communiqué.

 

Une autopsie a été pratiquée jeudi à la demande du parquet du Puy-en-Velay (Haute-Loire), poursuit l'agence, ainsi que des analyses virologiques et bactériennes, dont les résultats ne sont pas encore disponibles.

 

L'enfant a été vacciné le 4 décembre avec le Panenza, vaccin sans adjuvant produit par Sanofi-Pasteur. La France a commandé 28 millions de doses au laboratoire.

 

Selon l'Afssaps, l'enfant a présenté "48 heures après la vaccination de la fièvre et des troubles digestifs importants". Il a été victime d'un "malaise sévère", mardi, et il est décédé deux heures après sa prise en charge par le Samu.

Au 11 décembre, l'épidémie de grippe A a causé 139 décès, selon le bulletin de l'Institut de veille sanitaire.

 

Près de quatre millions de personnes ont été infectées depuis début août et plus de 2,5 millions ont été vaccinées.

 

Selon la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, l'épidémie est en phase de stabilisation mais la campagne de vaccination s'accélère dans tout le pays, où 834 centres sont ouverts ce samedi, soit 69 de plus que samedi dernier.

 

Dimanche, ce sont 229 centres de vaccination qui devraient accueillir le public sur tout le territoire, un nombre également en hausse, a annoncé le ministère de l'Intérieur.

 

Grégory Blachier, édité par Jean-Philippe Lefief


Un grand merci a Carine !
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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 12:38

Voici ce que j'ai reçu recemment, une vidéo de l'ex ministre de la santé de Finlande s'exprimant sur le vaccin anti h1n1


Un discours de vérité

Faites tourner avant une certaine censure...

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 15:15




Après avoir lu Parent attention

puis Le squalène attention danger sur le site de l'association ALIS, voici ce qu'lls nous proposent, un modèle de plainte à adresser au juge.


-Monsieur ….né le …à…

 de nationalité…

 profession…

 domicile…

 

-Madame… (mêmes renseignements)

 

 

 

                                             Monsieur le Doyen des Juges
                                            d’instruction près le Tribunal de
                                                      Grande Instance de

 

 

Le

 

 

 

OBJET : Plainte avec constitution de partie civile contre X pour :

-tentative d’administration de substances nuisibles à la santé de nature à
entraîner la mort (art. 221-3 et 221-5 du Code Pénal)

 

 

Monsieur le Juge,

 

Nous avons l’honneur de vous exposer les faits suivants :

 

Fin avril début mai 2009, de nombreux articles de presse faisaient état de
l’apparition de la grippe A dite « porcine » pour laquelle le virus H1N1 était identifié.

 

Très curieusement, alors qu’il faut en général, lors de l’apparition d’une maladie
pouvant devenir une épidémie, plusieurs mois avant que l’on identifie le virus,
responsable, en quelques jours, les autorités Mexicaines annoncent que les 1ers
malades ont été infectés par le virus H1N1.

 

Très curieusement également, cette maladie va se propager, non seulement de
manière « normale » (malades ayant été en contact avec des personnes de retour du
Mexique), mais également d’une manière scientifiquement étrange, puisque des
personnes n’ayant jamais été en contact avec des voyageurs venant d’Amérique du
Sud, l’ont contracté également dans divers coins de France, à peu près
simultanément.

 

Très curieusement, alors que le recul du temps démontre que cette grippe fait 100
fois moins de victimes que la grippe saisonnière, tout un plan de lutte contre la
pandémie et une médiatisation exceptionnelles se sont très vite mis en place,
essentiellement en France, 1er pays producteur de vaccins d’Europe.

 

C’est lorsque nous avons appris la composition du vaccin mis sur le marché en
septembre, que nous avons commencé à nous interroger, car ce vaccin contient des
éléments hautement toxiques et sa mise en circulation aura le même effet que lors
de la 1ère épidémie de grippe A/H1N1 aux U.S.A. en 1976, où la campagne de
vaccination dut être arrêtée, car le vaccin faisait 20 fois plus de morts que la
grippe !

 


Notre inquiétude est née, lorsque nous avons pris connaissance de déclarations
émanant de personnalités dignes de foi, semblant dire que le virus actuel
ressemblerait à celui de 1976, mais serait un peu différent :

 

Wayden Madsen, journaliste, ancien officier de la marine américaine : « …C’est une
forme de virus très inhabituelle qui semble être le résultat de manipulations
génétiques. Il contient une forme de grippe aviaire, deux formes de grippes humaines,
et des formes de grippes porcines… »

 

Une telle recombinaison dans la nature, semble irréalisable.

 

Le Général Leonid IVACHOV, ancien chef de la direction de la coopération militaire
internationale du ministère russe de la défense, président de l’Académie russe des
problèmes géopolitiques déclare sur la chaine Ria NOVOSTI : « …Toutes les
épidémies actuelles ont été créées dans des laboratoires… »

 

Cette inquiétude grandissante nous a fait découvrir d’incroyables éléments nous
amenant à la conviction suivant laquelle nous estimons être victime d’une opération
criminelle visant à empoisonner la population pour de sordides raisons de profit.

 

En effet, cette maladie a été précédée d’un certain nombre de faits qui ne peuvent
pas être des coïncidences.

 

Pour la bonne compréhension de nos explications, il est nécessaire de rappeler
que :

 

1-
La grippe dite « porcine » est apparue pour la 1ère fois aux U.S.A dans l’Etat
du New Jersey. Après l’arrêt d’une campagne de vaccination pour les raisons
précitées, ce virus a progressivement disparu depuis 1976.


2-
Ce virus réapparait au Mexique : Il est décelé chez un enfant, le 2 avril 2009,
dans le village de LA GLORIA.


3-
Le temps nécessaire à ce qu’une personne en contact avec un malade déclare
les 1ers symptômes, varie entre 3 et 8 jours.


4-
Donc, au 15 mars 2009, aucun médecin au monde n’avait encore
diagnostiqué le moindre cas de grippe A.


 

 

LES ACTES PREPARATOIRES :

 

a)
Le 28 Août 2007, le laboratoire BAXTER dépose aux U.S.A. une demande de
brevet portant sur le vaccin contre le virus H1N1. La demande sera
enregistrée un an plus tard, soit le 28 août 2008. BAXTER obtient le brevet
le 5 mars 2009, sous le n° 20090060950, délivré par l’US PATENT &
TRADEMARK OFFICE.


 

b)
Fin 2008, début 2009, le même laboratoire BAXTER, livre, à partir de son
siège Autrichien, des milliers de doses du vaccin contre la grippe saisonnière
à plusieurs pays. Les Tchèques ont alors un réflexe de prudence, et, compte
tenu du fait qu'on ne sait rien de sa composition, décident de le tester
préalablement sur 20 furets. Tous les animaux meurent. Vérification faite,
toutes les doses renfermaient le virus de la grippe aviaire (non atténué).
"Regrettable erreur de manipulation" déclare BAXTER qui s'excuse, et rapatrie
ses doses. (Le virus de la grippe aviaire se transmet difficilement, sauf quand



il est injecté dans le sang : Là, il devient mortel). Si les Tchèques n'avaient
pas eu ce réflexe de prudence, des milliers de gens seraient morts.

 

Comme un tel type "d'erreur" semble impossible, car l’introduction de 2 virus
H5N1 et H3N2 dans le matériel vaccinal, constitue un mélange de souches
appelé « réassortiment » et est une manière de créer un virus pandémique,
une journaliste, Jane BURGMEISTER, est à l'origine d'une plainte collective
pour tentative de crime contre l'Humanité, en Autriche. Cette plainte est
actuellement en cours d’instruction.

 


c)
Une dépêche de l’A.F.P. du 9 Mars 2009 nous annonce que « …Sanofi-
aventis annonce aujourd’hui la signature d’un contrat avec les autorités
mexicaines, pour la construction d’une usine de production de vaccin contre la
grippe, représentant un investissement de 100 millions d’euros. »

L’annonce a été faite au cours d’une cérémonie en présence de MM. Felipe
Calderon, Président du Mexique et Nicolas Sarkozy, Président de la République
Française, en visite officielle au Mexique. Cette usine sera construite et
exploitée par sanofi pasteur, la division vaccins du Groupe sanofi-aventis,
représenté par Chris Viehbacher, directeur général de sanofi-aventis.

 

« Avec la construction de cette usine, sanofi-aventis est fier de contribuer au
renforcement des infrastructures de santé du Mexique et tient à souligner
l’engagement exemplaire envers la santé publique de ce pays, à travers son
programme de vaccination contre la grippe et de préparation à la
pandémie», a déclaré Chris Viehbacher. « Cet investissement démontre
l’engagement local de sanofi-aventis pour la santé mondiale. Cette usine
constituera un atout de santé publique, pour les Mexicains ainsi que pour
l’Amérique Latine, dans le cadre de la préparation à la pandémie grippale ».La
nouvelle usine de sanofi pasteur au Mexique sera construite selon les
standards permettant à sanofi pasteur de basculer aisément de la production
de vaccin contre la grippe saisonnière à celle de vaccin contre la grippe
pandémique, dans l’éventualité où une pandémie de grippe humaine
vienne à être déclarée et une fois la souche de virus grippal pandémique
identifiée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).


 

d)
Courant février 2009, Madame BACHELOT, Ministre de la Santé, envoie un
courrier à plusieurs spécialistes de Droit Constitutionnel, afin de demander
si, à leur avis, une loi créant une obligation vaccinale imposée à toute la
population serait contraire ou non à la Constitution. Dans l’Histoire de la
Vème République, il semblerait que ce soit la 1ère fois qu’une telle question
soit posée à des Juristes.

 


e)
Dès l’apparition de la grippe porcine, le Ministère de la Santé, au lieu
d’effectuer un appel d’offre pour la production d’un vaccin, comme cela se
fait d’ordinaire, classe immédiatement le marché Secret Défense, et passe
commande à Sanofi Aventis, avant même que le vaccin ne soit fabriqué.

 

Ainsi, 2 mois avant l’apparition de la grippe A, certains semblaient déjà
savoir que cette maladie apparaîtrait et avait déjà préparé le marché du
vaccin !


 

Voilà pourquoi, dans une question écrite à Mme BACHELOT, publiée au Journal
Officiel le 7 juillet, Monsieur François BROTTES, Député de l’Isère s’étonne « des
facultés prémonitoires des laboratoires pharmaceutiques… », et Madame Annie


DAVID, Sénatrice de l’Isère, dans un courrier adressé également au Ministre de la
Santé le 8 juillet 2009, écrit « …Cet étrange scénario inquiète un nombre important
de nos concitoyens qui se demandent s’ils ne sont pas manipulés… »

 

f)
Un fait divers inquiétant, compte tenu du contexte, a encore plus renforcé
notre conviction : Un communiqué de l’A.F.P. du 27 avril 2009, précise :

« Conteneur de virus de grippe porcine brisé: un train suisse arrêté et
évacué.

GENEVE - Un train de voyageurs a été arrêté et évacué lundi soir en
Suisse après qu'un conteneur d'échantillons de virus de grippe porcine,
inoffensifs pour l'homme, se fût brisé, a annoncé la police locale. Les huit
flacons d'échantillons étaient transportés dans un conteneur spécial constitué
d'une triple enveloppe de plastique et de carton, a expliqué à l'AFP Jean-
Christophe Sauterel, porte-parole de la police du canton de Vaud.

 De la glace
carbonique placée dans le conteneur pour assurer la conservation des virus a
fondu, entraînant une surpression qui a fait sauter le couvercle et les flacons",
a-t-il précisé. Le train a alors été bloqué à son entrée en gare de Lausanne. La
soixantaine de passagers qui se trouvaient dans le wagon concerné ont été
confinés pendant une heure, le temps de s'assurer que le virus était inoffensif.
Le convoi a ensuite été évacué, a ajouté M. Sauterel, en soulignant qu'il n'y
avait "aucun danger" pour les passagers comme pour la population locale. Les
échantillons de virus animal, qui ne pouvaient pas contaminer des humains,
étaient destinés au centre de recherche du Pr Laurent Kaiser qui travaille pour
le développement d'un test de diagnostic de grippe humaine d'origine porcine,
a précisé le porte-parole de la police… »


g)
Sur le site Internet « Mondialisation.ca », un article du 13 sept. 2009 nous
apprend :

« …Les fabricants de vaccins contre la grippe H1N1 viennent d’obtenir
l’immunité juridique » La secrétaire d’Etat U.S. à la santé, Kathleen
Sebelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux
fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire. De
plus le programme accéléré - de 7 milliards de dollars - pour la fabrication du
vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne ne prévoit pas de test de
sécurité. Y aurait-il un programme sous-jacent à l’officielle et hystérique
campagne de l’OMS destinée a élever la prétendue grippe porcine au rang de
pandémie ?.. »


 

Cet ensemble de faits nous interpellent. Nous ne nous plaindrions pas, si nous
n’avions pas eu des informations alarmantes concernant le vaccin qui arrive
actuellement sur le marché :

 

LA PHASE D’EXECUTION :

 

Selon les fabricants, pour qu’un vaccin soit efficace et « désinfecté », il faut, en plus
du virus atténué, ajouter un produit appelé « adjuvant de l’immunité ».

 

Ce produit est :

-soit, de l’hydroxyde d’aluminium à des doses parfois 30 fois supérieures au seuil
toxique,

-soit des dérivés du mercure, notamment le Thiomersal,

-soit du formaldéhyde ou formol, utilisé pour conserver les cadavres, et classé en
2004, comme cancérigène par le Centre international de recherche sur le cancer,


parfois également : des cellules cancérisées, des éthers de glycol, de la glycérine,
toxique pour les reins et le foie, du plomb, du cadmium, etc…

 

En outre, ils sont cultivés sur des tissus animaux ou humains (reins de singe ou de
chien, embryons de poulet, sérum de veau, sang de porc, sang de cheval, cervelle de
lapin, etc…)

 

Exemple : dans le dictionnaire médical « VIDAL » édition 2000, on peut lire p. 2131
« Vaccin DTCP PASTEUR : vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux,
poliomyélitique inactivé absorbé…

Excipients : hydroxyde d’aluminium, formaldéhyde, phénoxyéthanol,
polysorbate 80, milieu 199 Hanks, qsp. 0,5ml… »

 

Quelques lignes plus bas, dans la liste des effets indésirables, on peut lire
« …Exceptionnellement, choc anaphylactique, encéphalopathies aiguës… »

 

Autre exemple : Dans le Dictionnaire Viidal 2009, on peut lire, pour la vaccin
contre la grippe « normale », appelé VAXIGRIP (vendu par SANOFI) :

« …Excipients : solution tampon ( sodium chlorure, phosphate disodique dihydrate,
phosphate monopotassique, potassium chlorure,eau ppi ), oeuf, protéines de
poulet,néomycine, formaldéhyde, octoxinol 9.

 

Les laboratoires préparant le vaccin actuel contre la grippe porcine ont déjà fait
savoir qu’ il y aurait 2 adjuvants obligatoires :

-de l’hydroxyde d’aluminium,

-du squaléne, nouveau produit qui serait responsable des milliers de maladies
graves contractées par les militaires américains, lors de la 1ère guerre du Golfe !
Nous savons donc déjà que le nombre d’accidents vaccinaux sera très élevé.

 

Car en plus, pour accélérer la production, comme il n’y a pas assez d’antigène pour
produire des vaccins pour tout le monde, les fabricants en mettront 10 fois moins,
mais seront obligés de mettre un amplificateur d’effet de l’adjuvant !

 

Ce produit est donc hautement toxique, car même si l’on peut objecter que le
squaléne existe en faible quantité dans le corps, l’injection de ce produit déclenche
dans l’organisme un effet d’opposition à la fois au squaléne injecté, mais aussi au
squaléne naturel qui est nécessaire, mais se trouve à ce moment là neutralisé.

 

Ainsi, des milliers de personnes vont se faire injecter un produit toxique. Il en
résultera une véritable pandémie due, non pas à une contagion, mais au vaccin.


Cela s’est malheureusement déjà produit plusieurs fois dans l’Histoire, et
notamment en 1921 aux USA, où à Kansas City et à Pittsburgh, une campagne de
vaccination contre la variole totalement injustifiée, car il n’y avait alors aucun cas
de cette maladie dans aucune des 2 villes, a été suivie dans les semaines
postérieures, par une épidémie de variole.

Des poursuites judiciaires aboutirent à des condamnations de principe, totalement
occultées par la presse de l’époque (Cf. « Histoire et Pathologie de la Vaccination »
Edgar Crookshank, professeur de bactériologie au Kings College de Londres).

Nous avons donc l’impression que les événements de 1921 se renouvellent, mais en
plus graves.

 

L’INFRACTION :

 


tentative d’administration de substances nuisibles à la santé de nature à
entraîner la mort (art. 221-3 et 221-5 du Code Pénal)

 

Nous assistons à un ensemble de manoeuvres dont l’objectif est de vendre des
produits toxiques.

 

Ces manoeuvres consistent à :

 

-Déposer un brevet pour la production de vaccins contre la grippe H1N1

-Préparer la fabrication du vaccin et s’assurer l’exclusivité de la vente, avant même
que les 1ers cas de maladie n’apparaissent,

-Faire apparaître la maladie, en diffusant intentionnellement le virus dans la
population,

-Faire pression sur le média pour faire croire qu’une maladie grave est « apparue »,

-Vendre enfin un produit hautement toxique qui rendra malade des milliers de
personnes : Comme les symptômes de cette maladie seront ceux de la grippe, il sera
facile d’annoncer que la pandémie a bien lieu, et qu’il faut continuer de vacciner.

 

Il sera nécessaire, bien sûr, de continuer de faire pression sur les média, afin qu’on
omette de dire que les malades viennent d’être vaccinés, ce qui ne sera pas difficile
lorsque l’on voit les pages entières de publicité achetées par certains laboratoires
pharmaceutiques aux journaux.

 

Ces manoeuvres constituent la tentative d’administration de substances nuisibles à
la santé. Nous sommes directement concernés par cette infraction, dans la mesure
où, si notre attention n’avait pas été alertée par les événements précités, nous nous
serions faits vacciner.

 

Pour l’ensemble de ces raisons, nous déposons plainte contre X entre vos mains,
pour tentative d’administration de substances nuisibles à la santé de nature à
entraîner la mort (art. 221-3 et 221-5 du Code Pénal).

 

Nous faisons élection de domicile au Cabinet de Me…

 

Nous vous prions de croire, Madame le Juge, à l’expression de notre Considération.

 

 

 

 Cet article provient du site de l'association ALIS

 

 

 

 

 

 

 

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 13:56

Un article d'un medecin généraliste Marc Girard  (site web ici )


Vaccination antigrippale : de plus en plus inquiétant...

lundi 14 septembre 2009 par Marc Girard

 

Il est démontré dans cet article :

  1. que plus la Ministre de la santé cherche à se justifier quant aux autorisations (AMM) de complaisance qu’elle s’apprête à délivrer, plus elle s’enferre ;
  1. que les vaccins contre la grippe saisonnière se singularisent par leur neurotoxicité, et que les experts de l’administration en sont parfaitement informés ;
  1. qu’en matière de vaccination, l’administration sanitaire française n’a déjà pas eu peur de recommander des expérimentations sauvages, fût-ce "chez les enfants et les nourrissons".

De plus en plus inquiétant, en effet...

 

Avec une insensibilité au ridicule qui finit par forcer le respect, le Ministre de la santé finit par affirmer :

 

 « Nous recevons les premiers vaccins de différents laboratoires, mais la question qui est posée c’est évidemment celle des autorisations de mise sur le marché. Il n’est pas question de commencer à vacciner sans que les procédures de sécurité soient complètement terminées (…) Les laboratoires nous disent (...) que les procédures pourraient nous permettre de commencer la vaccination fin octobre » [1] (c’est moi qui souligne). Les Français savent désormais à quoi s’en tenir : pour la première fois sans doute dans l’histoire de la pharmacie, ce sont les laboratoires qui fixent le calendrier de ces « procédures de sécurité » que l’on appelle AMM ! On croit rêver…

 

Que dirait-on d’un enseignant qui, avant même qu’ils n’aient passé l’examen, annoncerait à ses étudiants : "venez tous le 1er juillet pour chercher vos diplômes (avec mention…)" ? Mutatis mutandis, cela a pourtant été textuellement le discours du Ministère aux fabricants – au moins jusqu’à cette déclaration du 11/09/09. Désormais, ce sont les étudiants qui disent à leur professeur – et toujours avant l’examen : "le 1er juillet, vous viendrez nous apporter notre diplôme avec mention" [2]…

 

Cette anarchie réglementaire est d’autant plus préoccupante qu’il existe des précédents effroyables avec d’autres vaccins (cf. Un précédent à méditer).

  • En juin 1994, alertée par un nombre inhabituel d’accidents neurologiques, l’Agence du médicament lance une enquête de pharmacovigilance sur les vaccins contre l’hépatite B. Le 15/12/94, dès leur première présentation devant la Commission nationale de pharmacovigilance, les rapporteurs (alors parfaitement inconscients du scandale qui va bientôt éclater dans les médias) confirment que, de fait, les vaccins contre l’hépatite B "se singularisent" par "la survenue d’effets neurologiques graves". Et ils ajoutent incidemment qu’au terme de leurs recherches bibliographiques, les vaccins en général n’apparaissent pas neurotoxiques, à deux exceptions près toutefois : celui contre la coqueluche, et celui... contre la grippe ( !) [3] [4]
  • A ce moment (où rien n’avait encore filtré dans les médias), la réalité d’un risque neurologique lié à la vaccination contre l’hépatite B était donc admise comme allant de soi : en conséquence, il était encore possible de tout arrêter du plan lancé par M. Douste-Blazy seulement trois mois plus tôt (les modalités de la campagne scolaire en étant encore à la simple mise en place). Or, au lieu de recommander instamment cette décision de bon sens, les rapporteurs de l’enquête ne frémissent pas de conclure posément : "compte tenu de l’élargissement prochain de la vaccination (…), l’enquête sur les effets neurologiques des vaccins doit rester en ouverte » [5](c’est évidemment moi qui souligne). On est en pleine expérimentation humaine...

  • Mais les choses vont aller encore plus loin. Moins d’un an plus tard, le 12/10/95, les mêmes se retrouvent dans les mêmes circonstances pour faire le bilan de la situation alors que le programme de vaccination scolaire (classes de 6e) est désormais en place depuis le début de l’année. Cette fois, la Commission n’y va pas par quatre chemins et conclut textuellement : "Par ailleurs, la Commission nationale de pharmacovigilance souhaite que l’enquête reste ouverte, afin d’évaluer la sécurité d’emploi des vaccins anti-hépatite B chez les enfants et les nourrissons" [6] (c’est moi qui souligne).

On a bien lu : la Commission de pharmacovigilance a ouvertement souhaité que soit « évaluée » in vivo et a posteriori la sécurité du vaccin – et chez les enfants et les nourrissons en plus !

 

Du même coup, elle a admis que les évaluations essentielles de tolérance – même chez les « espèces protégées » de la recherche clinique (cf. Vacciner ou pas ?) n’avaient simplement pas été faites : rappelons qu’à la différence des vaccins antigrippaux qu’on nous promet pour le 15/10/09 (si les fabricants veulent bien prendre l’AMM...), les vaccins antihépatite dont il était question à l’époque n’avaient nullement été développés à la va-vite, mais sur plusieurs années.

 

Qui croit la Ministre quand elle soutient qu’en France, "il n’est pas question de commencer à vacciner sans que les procédures de sécurité soient complètement terminées" ?

"Pas question" sauf... "chez les enfants et les nourrissons" ?

 

[1] « Roselyne Bachelot : la circulation du virus H1N1 ‘en train de s’accélérer’ » (AFP, 11/09/09)

 

[2] Actuellement confrontée à une histoire de trafic de diplômes où elle veut sévir (LeParisien.fr, 08/09/09), la Ministre de l’enseignement supérieur devrait rencarder sa collègue de la santé sur l’organisation des évaluations en général.

 

[3] Effets indésirables neurologiques des vaccins contre l’hépatite B - Enquête officielle Rapport du Centre régional de pharmacovigilance Alsace à la Commission nationale de pharmacovigilance du 15/12/94, p. 51

 

[4] Exorbitant dans le contexte actuel, cet aveu confirme rétrospectivement mon analyse (cf. Le précédent de la grippe aviaire in Vacciner ou pas ?) : en 1994, la défense et illustration d’un vaccin qui n’intéressait personne à l’époque n’était pas encore au programme des "experts" soumis aux désiderata de l’industrie pharmaceutique : sur ce sujet au moins, on pouvait parler librement entre soi, sans crainte de nuire aux fabricants qui se souciaient comme d’une guigne du vaccin contre la grippe saisonnière.

 Confirmation complémentaire : à cette époque, les manuels de référence comme la Pharmacologie clinique de Giroud et coll. (1988, p. 1629) ou Martindale - The Extra-Pharmacopoeia, Londres, 1993, p. 1285) tenaient pour évidente cette neurotoxicité du vaccin anti-grippal, en soulignant qu’elle était plus particulièrement marquée avec les souches de grippe porcine. Accessoirement, ce même aveu permet de ranger au rang des de falsifications le propos de l’éditorial paru le 11/09/09 dans le New England Journal of Medicine et qui célèbre les pauvres essais réalisés sur un nouveau vaccin antigrippal en remarquant qu’en tout état de cause, la tradition de vaccination antigrippale où s’inscrit ce type de vaccins développés à la va-vite "(has) a strong record of safety" [est traditionnellement réputée pour son excellente tolérance].

 

[5] Ibid, p. 53

 

[6] Commission nationale de pharmacovigilance. Extrait du procès-verbal de la réunion du 12/10/95

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