Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 14:22

13.11.2009

Vaccin H1N1 : Suède, un garcon de 4 ans dans le coma !


UN GARCON SUÉDOIS DE 4 ANS DANS LE COMA ET AUX PORTES DE LA MORT
APRÈS AVOIR REÇU LE VACCIN H1N1 TOXIQUE !!!

 

Écoutez le cri déchirant et plein d'angoisse de ce petit garçon lors de son transport à l'hôpital : "MAMAN, JE NE VEUX PAS D'AUTRE VACCIN !"

Source originale en suédois :

http://www.aftonbladet.se/nyheter/svininfluensan/vaccingu...

Source en anglais :

http://www.theflucase.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1711%3Aswedish-boy-aged-4-close-to-death-from-qswine-fluq-vaccine&catid=41%3Ahighlighted-news&Itemid=105&lang=en

UN PETIT GARÇON SUÉDOIS DE 4 ANS, PROCHE DE LA MORT APRÈS AVOIR REÇU

LE VACCIN CONTRE LA "GRIPPE PORCINE"

L’ÉTOUFFEMENT PRESQUE COMPLET MIS EN PLACE EN SUÈDE EN CE QUI CONCERNE LES DÉCÈS ET AUTRES GRAVES "EFFETS SECONDAIRES" DU VACCIN EMPOISONNÉ PANDEMRIX, CONTRE LA GRIPPE PORCINE, EST EFFRAYANT. EN DÉPIT DE CELA, QUELQUES HISTOIRES PARVIENNENT À SORTIR, comme l'histoire de Kevin, âgé de 4 ans et vivant à Stockholm avec sa mère, Mia, qui est enceinte et dans son troisième trimestre de grossesse.

 « J'étais sûr qu'il était mort », dit-elle dans un article publié d'abord uniquement dans la version imprimée du journal Aftonbladet, et plus tard ajouté à leur site web après que ses lecteurs lui aient « rappelé » de le faire.

KEVIN ÉTAIT ASSIS AVEC SON PÈRE DANS UN CAFÉ, LORSQUE TOUT À COUP, IL SE MIT À TREMBLER DE FAÇON INCONTRÔLABLE. SON PETIT CORPS ÉTAIT ARQUÉ VERS L'ARRIÈRE, PRIS DE CONVULSIONS, ET SES YEUX ROULAIENT VERS L'ARRIÈRE, EXPOSANT SEULEMENT LE BLANC DE L’OEIL. Sa mère n'était pas loin, et quelqu'un est allé la chercher rapidement en disant « Mia, venez vite, Kevin va vraiment mal ! ».

Quand elle est arrivée près de Kevin, un cercle de personnes l’entourait, alors qu’il était couché à plat sur le sol. « SES LÈVRES ÉTAIENT COMPLÈTEMENT BLANCHES. JE N'AI JAMAIS VU UNE PERSONNE AUSSI BLANCHE DE MA VIE. JE L’AI PRIS DANS MES BRAS, ET IL ÉTAIT COMPLÈTEMENT FLASQUE. MA SEULE PENSÉE ÉTAIT : "IL EST MORT, IL N'EST PLUS EN VIE !", DIT SA MÈRE.

KEVIN NE RESPIRAIT PLUS. Deux infirmières se trouvaient là et elles ont expliqué à Mia comment effectuer un massage cardiaque immédiatement. Mia a commencé à faire cela alors que, dans le même temps, elle a senti qu'elle commençait à entrer dans le stade de travail de l’accouchement. Elle a donné de l’air à son fils pendant que d'autres appelaient une ambulance. « J'ai perdu la notion du temps. Mais après un certain temps, ses lèvres ont retrouvé leur couleur. Il a ouvert les yeux ».

PENDANT LE TRAJET VERS L'HÔPITAL, KEVIN N’A EXPRIMÉ QU’UNE CRAINTE : « MAMAN, JE NE VEUX PAS AVOIR D’AUTRE VACCIN... »

LES MÉDECINS QUI SE SONT OCCUPÉ DE LUI À SON ARRIVÉE À L'HÔPITAL SONT D’ACCORD SUR LE FAIT QUE LA SEULE EXPLICATION À CECI EST LE FAIT QU'IL AVAIT REÇU, DEUX JOURS AUPARAVANT, LE VACCIN EMPOISONNÉ PANDEMRIX CONTRE LA « GRIPPE PORCINE ». ILS ONT ÉGALEMENT DIT : « IL EST LE SECOND AUJOURD'HUI, CE N'EST PAS UN CAS UNIQUE ».

Le journal a contacté l'Agence des produits médicaux de Suède, et a parlé avec le professeur Jan Liliemark qui a affirmé qu'il n'avait jamais entendu parler de cas semblables. « Les enfants peuvent entrer dans des états comateux pour de multiples raisons. Cela pourrait être relié à la vaccination, mais il pourrait aussi y avoir d'autres raisons ».

Les parents de Kevin ont choisi de parler de leur épreuve de façon à ce que d'autres parents puissent être mieux informés qu’eux. Ils n'ont jamais entendu que de telles choses pouvaient se produire après une vaccination.

Mia dit : « Que se serait-il passé si cela s’était produit à la maison pendant qu’il jouait seul dans sa chambre et pendant que je faisais le ménage en bas ? ».

NOUS AVONS REÇU DES INFORMATIONS NON CONFIRMÉES SELON LESQUELLES LE NOMBRE DES "EFFETS INDÉSIRABLES" DU VACCIN EN SUÈDE EST MAINTENANT BIEN SUPÉRIEUR À 500, ET COMPREND DES « EFFETS SECONDAIRES GRAVES » QUI SIGNIFIENT DES SYMPTÔMES QUI METTENT LA VIE EN DANGER, MÊME LA MORT. LE NOMBRE DE DÉCÈS QUI NOUS A ÉTÉ SIGNALÉ EST SUPÉRIEUR À 50 JUSQU'À PRÉSENT. CETTE INFORMATION EST NON CONFIRMÉE ET LES CHIFFRES OFFICIELS SONT GARDÉS SECRETS, CONFORMÉMENT À L'ACCORD ÉGALEMENT SECRET CONCLU ENTRE LA SUÈDE ET GSK, GLAXOSMITHKLINE, QUI PRODUIT LE VACCIN TOXIQUE PANDEMRIX.

Je me suis entretenu aujourd'hui avec un fabricant de vaccins (un fournisseur de l'API, l'ingrédient actif) à son usine ici, en Suisse, et ils m’ont dit qu'ils sentaient qu'ils devaient jouer à la fois dans la production et la fourniture de ces ingrédients actifs aux plus "grosses" multinationales pharmaceutiques, puisque ces sociétés sont « si puissantes ». La personne avec laquelle j'ai parlé pensait qu’il y avait QUELQUE CHOSE DE SÉRIEUSEMENT GRAVE DANS LA FAÇON DONT TOUTE LA PEUR DE LA « GRIPPE PORCINE » S'EST DÉROULÉE, AINSI QUE LE RÔLE DE L'OMS. La même personne a également reconnu qu’énormément de recherches dans le domaine médical, et qui ne supportent pas les produits planifiés d'autres entreprises, sont cachées ou enterrées. LES DEUX PERSONNES AUXQUELLES J'AI PARLÉ NE PRENDRAIENT "ABSOLUMENT PAS" LE VACCIN CONTRE LA « GRIPPE PORCINE ». Elles ont dit que la « grippe porcine » signifiait de bonnes affaires.

Johan Niklasson

Partager cet article
Repost0
16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 12:36
Mort d'un enfant après une vaccination contre la grippe A
Par Reuters


PARIS - Un enfant de neuf ans est mort mardi, quatre jours après avoir été vacciné contre la grippe A(H1N1), déclare samedi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).

"Les éléments dis

ponibles à ce jour ne permettent pas d'établir l'origine du décès", ni un lien éventuel avec la vaccination, écrit l'Afssaps dans un communiqué.

 

Une autopsie a été pratiquée jeudi à la demande du parquet du Puy-en-Velay (Haute-Loire), poursuit l'agence, ainsi que des analyses virologiques et bactériennes, dont les résultats ne sont pas encore disponibles.

 

L'enfant a été vacciné le 4 décembre avec le Panenza, vaccin sans adjuvant produit par Sanofi-Pasteur. La France a commandé 28 millions de doses au laboratoire.

 

Selon l'Afssaps, l'enfant a présenté "48 heures après la vaccination de la fièvre et des troubles digestifs importants". Il a été victime d'un "malaise sévère", mardi, et il est décédé deux heures après sa prise en charge par le Samu.

Au 11 décembre, l'épidémie de grippe A a causé 139 décès, selon le bulletin de l'Institut de veille sanitaire.

 

Près de quatre millions de personnes ont été infectées depuis début août et plus de 2,5 millions ont été vaccinées.

 

Selon la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, l'épidémie est en phase de stabilisation mais la campagne de vaccination s'accélère dans tout le pays, où 834 centres sont ouverts ce samedi, soit 69 de plus que samedi dernier.

 

Dimanche, ce sont 229 centres de vaccination qui devraient accueillir le public sur tout le territoire, un nombre également en hausse, a annoncé le ministère de l'Intérieur.

 

Grégory Blachier, édité par Jean-Philippe Lefief


Un grand merci a Carine !
Partager cet article
Repost0
3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 10:35


Voici ce qui est ordonné aux medecins lorsqu'ils se trouvent devant des patients (souvent parents) qui refusent de se faire vacciner ou de vacciner leurs enfants. Si ce n'est pas de la pression psychologiques alors qu'est ce que c'est?

Ils reçoivent l'ordre de nous vaincre selon leurs dires!

 

 

 

Comment faire face à un refus de vaccination ?


En cas d'opposition systématique et si les efforts du praticien ne sont pas venus à bout des réticences,
la signature d'une attestation de refus de soins paraît indispensable.


Contrairement à des informations préconçues, la politique vaccinale en France se traduit par des obligations et des recommandations vaccinales qui s'appuient sur l'expertise scientifique du Comité technique des vaccinations. Par ailleurs, la dangerosité supposée des vaccins, la supériorité de l'immunité naturelle conférée par la maladie, la dramatisation des effets secondaires attribués à certains vaccins entraînent, par désinformation, des réactions de défiance, voire un rejet des vaccinations.

 Tout doit donc être mis en œuvre pour convaincre les patients et leurs familles que la politique vaccinale en France repose sur un calendrier vaccinal définissant les vaccinations obligatoires et recommandées, ces dernières ne devant pas être considérées à tort comme facultatives.


1. Le rôle du médecin

Aucun praticien ne saurait s'incliner face à un refus systématique de cet acte de prévention, concernant en particulier les enfants, ce refus devant être considéré comme une maltraitance par refus de soins : " Le médecin doit être le défenseur de l'enfant lorsqu'il estime que l'intérêt de sa santé est mal compris ou mal préservé par l'entourage. " (Code de déontologie, art. 43). S'il s'agit d'un mineur ou d'un majeur protégé, le médecin " doit s'efforcer d'obtenir le consentement de ses parents ou de son représentant légal " (Code de déontologie, art. 42).
Lorsque le patient est en état d'exprimer sa volonté, le médecin " doit respecter ce refus après l'avoir informé de ses conséquences " (Code de déontologie, art. 36) et des risques encourus pour sa santé.

Il faut ajouter que le médecin est dans l'obligation " éthique " de vaincre les réticences de ce patient et qu'une telle négligence dans cette circonstance serait dès lors considérée comme une faute de nature à engager sa responsabilité, s'il était prouvé que le patient n'en a pas été informé avec conviction : la vaccination est un acte à part entière. " L'exercice de la médecine est personnel, chaque médecin est responsable de ses décisions et de ses actes " (Code de déontologie, art. 69).

Il faut savoir que ce refus n'est pas non plus définitif : ignorance, insouciance ou conviction systématique non fondée, l'insistance du médecin doit venir à bout de cette attitude irréfléchie avant de recourir, dans le cas des enfants, aux mesures d'assistance éducative fixées par le juge des enfants saisi par le procureur de la République.


2. En cas d'opposition à toute vaccination

Il est prudent de faire signer par le patient une attestation de refus de soins en deux exemplaires (dont un destiné au dossier du patient) consignant ce refus et les risques s'y référant, mention devant figurer aussi sur les carnets de santé et de vaccination : ultimes manœuvres de persuasion… parfois bénéfiques, pour vaincre finalement les réticences alléguées d'un patient ou d'une famille.

Un certificat de contre-indication à une vaccination ne doit comporter aucune mention d'ordre diagnostique justifiant cette contre-indication. Rappelons enfin que " tout rapport tendancieux ou tout certificat de complaisance est interdit " (Code de déontologie, art 28 ; Code pénal, art. 441-7 et 441-8).

 " Ce n'est qu'après plusieurs années de vaccination qu'une surveillance attentive et adéquate fait ressortir les déviances épidémiologiques et cliniques d'une maladie qu'on aurait pu croire aisément jugulée, voire éradiquée ; les conséquences qu'engendrent ces modifications ont un impact direct sur la politique vaccinale étroitement dépendante aujourd'hui de la veille épidémiologique ", rappelle le Pr Pierre Bégué, chef du service pédiatrique de l'hôpital Trousseau(1).

Dr Jean Pouillard, vice-président du Cnom

1. Archives de pédiatrie, X,(2003,p.571-578)

Partager cet article
Repost0
1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 12:38

Voici ce que j'ai reçu recemment, une vidéo de l'ex ministre de la santé de Finlande s'exprimant sur le vaccin anti h1n1


Un discours de vérité

Faites tourner avant une certaine censure...

Partager cet article
Repost0
26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 14:04
Vaccins, mais alors
on nous aurait menti ?

Ils sont inefficaces, nous rendent malades,
détruisent notre immunité naturelle, mais… ils sont obligatoires




Jean Pierre Joseph, avocat et auteur des "Radis de la Colère", a réalisé un livret à partir d'extraits d'une quarantaine de livres en vente libre et disponibles dans le commerce. A partir de ces extraits et de ses connaissances en matière de droit des personnes, il a réalisé un courrier qui peut être utilisé pour répondre à un fonctionnaire ou une administration qui exigerait de vous des vaccins obligatoires. Vous trouverez en fin d'article, un lien vers le document intégral incluant les pièces à joindre à la lettre ainsi que les références complètes des livres. Ce livret a fait l'objet d'un livre actualisé et complété, paru aux éditions Vivez Soleil, sous le même titre et disponible en librairie.


Présentation de l'auteur

Jean-Pierre JOSEPH:
Est avocat au Barreau de Grenoble.
A été chargé de cours de Droit comparé à l'Université de Glasgow, dans les années soixante-dix, puis président de Maison pour tous de quartiers dits « sensibles » pendant 10 ans, et animateur bénévole de quartier. Il est un des fondateurs de la 1ere expérience d'autogestion d'un Centre socioculturel en 1973, avec baisse de plus de 70 % de la délinquance sur un quartier.
A été musicien d'orchestres de variétés, auteur compositeur, et membre de la S.A.C.E.M.
Est l'auteur des ouvrages suivants:
- Le show business français, un État dans l'État (Éd. les cahiers de la pensée sauvage).
- Améliorer notre santé par une méthode qui ne coûte rien (non encore édité).
- Les radis de la colère (Éd. Louise Courteau).
Est instructeur fédéral de karaté, diplômé de la Fédération française de karaté (F.F.K.A.M.A.), membre du jury des grades de la ligue Dauphiné-Savoie de la F.F.K.A.M.A.
Est parti en urgence en République d'Haïti en janvier 2001, et a été le 1er avocat français à être autorisé, depuis l'indépendance de 1804, à plaider devant une Cour d'Assises haïtienne, pour défendre le navigateur grenoblois, accusé de meurtre sur sa femme qui, en fait, s'était suicidée. Après une semaine d'un procès médiatisé (TF1, Le Figaro, Paris-Match, etc.), à la suite duquel le navigateur fut acquitté, Jean-Pierre JOSEPH, qui n'avait aucun vaccin et qui n'a pris aucun traitement préventif contre le paludisme, est revenu criblé de piqûres de moustiques, et n'a pas été malade.

Cet ouvrage se contente de rassembler des dizaines de citations scientifiques et professionnels de la santé. Aucun d'entre eux ne faisant partie de la moindre secte, ce livre ne contient donc, ni procédé hypnotique, ni virus décérébrant. Il peut être lu sans crainte…





Introduction

Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l'hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel).

Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l'encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisée chez un Juge d'Instruction à Paris.

Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l'hépatite B.


Alors que la quasi-totalité des pays d'Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l'empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.


Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d'alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d'enfants vaccinés contre la coqueluche,


Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,


En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. …

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd'hui :

Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces,

Qu'ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques :

Fabriquée avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l'hydroxyde d'aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l'apparition du Sida.

Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu'il sont censés prévenir !

Que l'on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuse, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies.


Or, il semblerait que l'arrêt des épidémies n'ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.
Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas.

Personne, d'ailleurs, n'est capable d'expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l'humanité…

Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et des ouvrages suivantes :
La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,
Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,
La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
Au cœur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,
Vaccinations : l'Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
Pour en finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,
La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,
Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
Vaccination, Social Violence and Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,
A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,
Les Vérités indésirables, Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,
L'intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,
Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,
L'intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,
Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,
Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,
Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l'Aronde, 1997,
La catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l'Ouest, 1950,
Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),
Déjà vacciné ? Comment s'en sortir ?, (Dr A. BANOIS – Sylvie SIMON),
Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,
Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,
Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,
Nous te protègerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,
La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,
Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

Aucun de ces ouvrages, largement diffusés tant en France qu'à l'étranger, n'a fait l'objet du moindre procès, ni même du moindre démenti.


La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d'un empoisonnement collectif, et qu'il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu'ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n'ayant pour but que le profit, et surtout pas la SANTE… PUBLIQUE.

Ces médecins dénoncent le fait que la quasi-totalité de leurs confrères est dans l'ignorance totale de ces informations, car l'information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces médecins indiquent également qu'une vaccination n'est pas un acte banal, et qu'un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires (arrêté du 28 février 1952).


Il faut en effet, préalablement à tout acte vaccinale, que le sujet fasse l'objet d'un bilan clinique et biologique à savoir :

  a) Iconogramme complet, dosage de l'urée
  b) Lipidogramme
  c) Bilan endocrinien
  d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies
  e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites
  f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelle de l'organisme à fabriquer les anticorps
  g) Bilan radiologique :
    - Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu'il y a au moins une dent dévitalisée.
    - Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.


Or, jamais un seul de ces tests n'est proposé aux enfants, ce qui procède d'une négligence criminelle.


Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n'est encore venu les contredire, les vaccinalistes se content de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Déjà le 5 décembre 1957, 101 Députés Socialistes déposaient une proposition de Loi tendant à abroger l'obligation vaccinale.
Parmi eux MM. DEFFERRE, CAPDEVILLE, PROVO, SAVARY.


La France est le seul pays d'Europe à avoir 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculose et de tétanos, mais c'est le 1er pays producteur de vaccins du monde…

En outre, certaines vaccins, obligatoires en France sont interdits dans d'autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple) vu le nombre de victimes paralysées à vie qu'ils ont faits.


L'on sait pourquoi aujourd'hui lorsque les Américains ont entrepris, en 1918, de vacciner les habitants des Philippines contre la variole, le taux des personnes atteintes est alors passé de 10% de la population, à 65% en quelques mois.


L'on sait également (par les écrits des collaborateurs de PASTEUR) que le chien qui avait mordu le petit Jospeh Meister, vacciné par PASTEUR, avait également mordu toute la famille Meister qui n'a été ni vaccinée, ni malade.

L'on sait que lorsque les Américains se sont rendus compte, dans les années 1960, que 75% des gens atteints de la polio, étaient correctement vaccinés (Vaccin Salk), les symptômes officiels de la polio ont été modifiées, ce qui fait que tous les nouveaux cas allaient être appelées : encéphalites, méningites, etc. Ce qui a donné l'illusion que le vaccin avait enrayé l'épidémie.


Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd'hui de nous retrancher derrières des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n'a servi à rien.
(Rappelons-nous Maurice PAPON, à qui la Cour d'Assises de Bordeaux a reproché d'avoir, en sa qualité de Préfet de Police pendant l'occupation allemande, fait déporter des centaines de juifs, et qui, pour sa défense, a dit qu'il n'avait fait qu'appliquer la Loi…).

Tout citoyen a, aujourd'hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Les conséquences que l'on peut tirer de l'ensemble de ces informations sont les suivantes :

Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu, lui confèrent une immunité contre le germe correspondant ».

Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l'immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd'hui que de nombreux enfants vaccinés, ont néanmoins contracté la maladie.

Les substances, en outre, sont toxiques, puisqu'elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.

Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », au sens scientifiques du terme.

Le fait de refuser d'administrer des produits inefficaces et toxiques à des enfants ne peut donc s'assimiler à une privation de soins, ou une mise en danger de la vie d'autrui.

Bien au contraire, le fait d'imposer l'administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d'autrui, et peu, à long terme, constituer le crime d'empoisonnement ou administration de substances nuisibles.


Cas pratique
Un fonctionnaire zélé (bien que je lui démontre que les produits appelés «vaccins» sont inefficaces et nous empoisonnent), exige «parce que c'est la loi» que mes enfants soient vaccinés. Que puis-je faire ?


1°) Cessez d'abord d'avoir des scrupules.

Le personnage qui maintient ces exigences ne peut être :


      a) qu'un ignorant.
      b) ou le complice d'une grave infraction pénale.

a) Un ignorant
Celui qui, malgré ces informations, ne change pas d'avis est particulièrement ignorant, car comment continuer de ne pas voir que les « vaccins » sont inefficaces et dangereux, devant la masse énorme de livres, d'articles de presse, de magazines, de pétitions de médecins concernant cette question ?


b) le complice d'une infraction pénale
On nous a bassinés pendant des mois avec le procès PAPON, qui n'a cessé de dire qu'il appliquait la Loi et rien d'autre, et tous les politiques, à cette occasion, n'ont cessé de dire que quand un ordre était insensé, criminel, ou même anti-démocratique, il était légitime de ne pas s'y conformer.

Or, certains fonctionnaires, obligés de constater l'inefficacité et la dangerosité des vaccins, vous disent qu'ils sont chargés d'exécuter la Loi, et que, même s'il est reconnu que votre enfant risque sa vie en se faisant vacciner, il vous dira que ce n'est pas son problème, car « C'est la Loi ».

Si le fonctionnaire zélé, au vu des informations que vous lui remettez ne se précipite pas sur son téléphone, afin d'informer sa hiérarchie qu'il existe un problème sérieux, et qu'on ne peut plus continuer comme cela, qui est il, sinon un lâche qui n'en a rien à faire de la vie de votre enfant, mais qui pense uniquement à son avancement ?

Sachez donc que vous avez en face de vous un lâche.

Sachez aussi que dans les affaires du sang contaminé, de l'amiante (où il a fallu que des scientifiques hurlent pendant 29 ans avant que l'on ne prenne des mesures) etc., ...de nombreuses personnes sont mortes parce que des imbéciles de cette envergure « ne voulaient pas savoir » .


2°)
Nous pensons donc avoir trouvé le moyen d'échapper à l'empoisonnement, tout en respectant la Loi. Voici donc la méthode que nous suggérons. Elle consiste à contraindre ceux qui ne veulent pas savoir, à savoir quand même, afin qu'ils ne puissent plus jamais dire à l'avenir qu'ils ne savaient pas :

A - Photocopier les pages de ce livre : à partir du titre « Des faits (et non pas des théories) concernant les vaccins » jusqu'à la fin de la réponse à la question n° 19. (voir document à télécharger ci dessous - ndAd)

B - Photocopier les couvertures des livres parus sur cette question, que vous trouverez à la fin de cet ouvrage (plus d'autres si vous en possédez). Vous avez ainsi constitué un dossier.

C - Écrire à l'autorité qui exige que votre enfant soit vacciné (Inspecteur d'Académie, Conseil Général, Directeur d'école, etc.) le courrier suivant, en recommandé avec A.R.

Monsieur l'Inspecteur (ou Monsieur le Directeur),

Près de 2.000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédées, et les victimes accusent le vaccin contre l'Hépatite B, (Éric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Éd. Albin Michel).
Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l'encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d'Instruction à Paris.
Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l'Hépatite B.
Vous venez de me demander, par courrier en date du… de faire vacciner mon enfant…, scolarisé à l'école…
Je vous remercie de bien vouloir noter mes observations, et répondre aux 5 questions que vous trouverez à la fin de la présente:

I – OBSERVATIONS
Alors que la quasi-totalité des pays d'Europe, a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de milliers de scientifiques de tous bords, criant à l' empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc. du monde entier, tentent d'alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :
Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d'enfants vaccinés contre la coqueluche,
Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G. etc.

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd'hui :
Que les produits appelés « vaccins » seraient totalement inefficaces,
Qu'ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques.

Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l'hydroxyde d'aluminium à des doses 30 fois supérieures au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivés du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liés à l'apparition du Sida,
Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu'ils sont censés prévenir !
Que l'on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Or, il semblerait que l'arrêt des épidémies n'ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.
Ainsi, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.
Personne, d'ailleurs, n'est capable d'expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l'humanité...
Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et, notamment, d'environ 40 ouvrages dont je vous remets la liste en annexe. Je précise que ces ouvrages sont en vente depuis plus de 10 ans dans les librairies et les FNAC, et aucun d'entre eux n'a fait l'objet du moindre démenti.
La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d'un empoisonnement collectif, et qu'il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu'ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n'ayant pour but que le profit, et pas du tout la SANTÉ…PUBLIQUE.
Ces médecins dénoncent le fait que la quasi totalité de leurs confrères sont dans l'ignorance totale de ces informations, car l'information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.
Ces médecins indiquent également qu'une vaccination n'est pas un acte banal, et qu'un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires, conformément, notamment, à l'Arrêté du 28 février 1952.
Or, jamais une seule vérification n'est proposée aux enfants, ce qui procède d'une négligence criminelle.

Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n'est encore venu les contredire, les vaccinalistes se contentant de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.
La France est le seul pays d'Europe à avoir maintenu 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculoses et de tétanos, mais c'est le 1er pays producteur de vaccins du monde…
En outre, certains vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d'autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple), vu le nombre de victimes paralysées à vie qu'ils ont faites.
Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd'hui de nous retrancher derrière des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n'a servi à rien. Tout citoyen a, aujourd'hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Je vous remets la copie d'un document rassemblant des citations de scientifiques français et étrangers.
Je précise qu'aucun d'entre eux ne semble appartenir à la moindre secte, ce qui revient à dire que ce document peut être lu sans crainte d'être hypnotisé ou décérébré...
Vous trouverez également la couverture d'un certain nombre d'ouvrages traitant de la question, montrant que le problème est sérieux.

II – CONSÉQUENCES DE CES OBSERVATIONS
Les conséquences que l'on peut tirer de l'ensemble de ces informations sont les suivantes :
Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».
Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l'immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd'hui que de nombreux enfants vaccinés, ont, néanmoins, contracté la maladie.
Ces substances, en outre, sont toxiques, puisqu'elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.
Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », mais réellement des faux vaccins.

Ainsi, le fait d'imposer l'administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d'autrui, et peut, à long terme, constituer le crime d'empoisonnement ou administration de substances nuisibles.

III - MES QUESTIONS

1°)
Avez- vous pris connaissance des informations jointes au présent courrier?

2°) La Loi, et notamment, l'Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de « prendre toutes précautions », c'est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l'on veut administrer à l'enfant n'est pas dangereux pour lui.
Où puis-je donc, faire pratiquer (gratuitement, s'agissant de vaccins obligatoires), les analyses suivantes, ainsi que la Loi m'en fait obligation) ? :

a) Ionogramme complet, dosage de l'urée,
b) Lipidogramme,
c) Bilan endocrinien,
d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies,
e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites,
f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l'organisme à fabriquer les anticorps,
g) Bilan radiologique:
- Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu'il y a au moins une dent dévitalisée,
- Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.

3°) Les substances de source bovine étant interdites dans toute médication depuis 1994, dans la mesure où aujourd'hui encore le B.C.G. est fabriqué avec de la bile de boeuf, où puis-je (afin de respecter la réglementation de 1994) trouver un B.C.G. ne comportant pas de produits bovins ?

4°) L'ensemble des scientifiques précités indiquent que les produits actuellement commercialisés sous l'appellation de « vaccins » n'empêchent pas de contracter la maladie.
Il est donc évident que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vrais vaccins.
Par conséquent, afin de respecter l'obligation vaccinale qui m'est faite de par la Loi, où puis-je trouver des vrais vaccins, dont l'efficacité est garantie ?

5°) Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l'administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi, et constitue d'ailleurs un crime prévu par le Code Pénal.
Afin de ne pas me rendre complice du crime d'administration de substances nuisibles à la santé où puis- je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c'est-à-dire ne contenant ni hydroxyde d'aluminium, ni dérivés du mercure, ni sérum de veau, ni cellules cancérisées) ?

J'indique, pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions, et où vous m'obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins », je serais alors contraint de déposer une plainte pour « mise en danger de la vie d'autrui ». D'autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d'effets secondaires, que je déposerai une plainte pour administration de substances nuisibles à la santé contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l'encontre de ceux qui se seraient rendus complices de cette infraction, en faisant par exemple, de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.

Je vous remercie vivement de l'attention que vous porterez à mes préoccupations, et vous prie de croire, etc.


ANNEXES A MON COURRIER :
Liste d'ouvrages accessibles à tous en librairie ou dans les FNAC : [voir plus haut]


CONCLUSION

VERS UNE NOUVELLE DEFINITION DE LA « SANTE PUBLIQUE»

Les vaccins ne sont qu'un volet d'un système aussi écoeurant qu'hallucinant:

Dans son ouvrage Vaccin Hépatite B, les coulisses d'un scandale, le Dr VERCOUTERE écrit :
P. 45 :
« …D' après un rapport remis en novembre 1997 par le Comité technique de pharmacovigilance à Bernard KOUCHNER, secrétaire d'État à la Santé, 18.000 décès seraient dus aux médicaments en France, soit 2 fois plus que les accidents de la route… Pour maîtriser parfaitement le marché et influencer le corps médical, les laboratoires ne manquent guère de moyens, et dépensent environ 12 % de leur chiffre d'affaires, soit 14 milliards de francs par an, en formation continue, congrès, séminaires (organisés de préférence sous les cocotiers), menus cadeaux, aide à la publication (qui peut aller jusqu'à la rédaction du contenu de l'article), et enfin publicité déguisée sous forme d'articles scientifiques dans la presse médicale, sponsorisée par les laboratoires (excepté 2 revues médicales totalement indépendantes : Prescrire et Pratiques, qui ne vivent que de leurs abonnements. Les laboratoires dépensent en moyenne un peu plus de 80.000 F. (12.200 euros) par an et par médecin pour sa formation et son information (Cf Science et Vie Juin 1998) ».


« …Dès la fac de médecine, les futurs praticiens sont «pris en charge» par l'industrie pharmaceutique. Certains laboratoires offrent aux meilleurs étudiants des préparations gratuites au concours de l'Internat, d'autres les aident à rédiger leur thèse…».
P.46 : «…Selon le Pr Robert WEISS, directeur de l'institut de recherche sur le cancer en Grande-Bretagne, une grande partie du corps médical est devenue à tel point l'obligée du corps pharmaceutique que l'évaluation des médicaments en devient aléatoire… ».


P.47 : «…Ainsi la classe dirigeante fabrique-t-elle, grâce au système scolaire, une foule de personnes coulées dans le même moule à penser… ».

On ne peut être qu'écoeuré, mais du même coup, l'on comprend mieux un certain nombre de faits.

Il y a quelques mois, un directeur d'une société de téléphonie parisienne me raconta :

«…Je vais régulièrement au Brésil. J'aime ce pays. L'avant-dernière fois, j'avais été piqué par des moustiques, et sur tout mon corps, les boutons se sont infectés. C'était très douloureux, et j'avais de la fièvre.

Dans un petit hôpital Brésilien, l'on m'appliqua 2 plantes sur les boutons : l'une calma la douleur en quelques minutes, et grâce à l'autre, je fus guéri en 48 heures.
L'année suivante, j'eus exactement la même mésaventure, sauf que je n'eus pas le temps de me faire soigner au Brésil : la thérapeutique pouvait bien attendre la 1/2 journée de trajet en avion. Mais je fus hospitalisé à Paris pendant 3 semaines, traité aux antibiotiques, j'ai souffert pendant 3 semaines, et j'ai perdu 7 kilos… ».
Cette anecdote résume à elle toute seule une montagne d'aberrations.

Il est fort probable que si l'on avait pratiqué la technique brésilienne en France, le thérapeute aurait été poursuivi pour exercice illégal de la médecine.
Le Dr SCOHY, qui fut l'un des premiers à tenter d'alerter l'opinion sur les vaccins, a (évidemment) été radié de l'Ordre des Médecins.

Le Dr HAMER grâce à qui des centaines de cancéreux dans toute l'Europe, peuvent affirmer avoir guéri définitivement, est l'objet de poursuites dans presque tous les pays d'Europe.


Le Pr BELJANSKI, qui a soigné François MITTERRAND, et grâce à qui des dizaines de cancéreux et de sidéens avaient retrouvé la santé, a connu les pires ennuis, et notamment une perquisition effectuée par 180 gendarmes, hurlant à ce biologiste de 73 ans qui vivait seul avec sa femme, « qu'il était une secte ».

La France vient d'être condamnée par la Cour Européenne des Droits de l'Homme, par Arrêt du 7 février 2002, à lui verser... 4.500 euros pour dommage moral. Entre temps, ce malheureux est mort des tracasseries qu'on lui a faites. La famille touchera royalement 4.500 euros...

Qu'importe ? On continue.


Il est clair aujourd'hui qu'il existe une volonté politique de pourchasser toutes les méthodes bon marché susceptibles de nous maintenir en bonne santé, ou de nous la faire recouvrer si nous sommes malades.

Les gouvernements font semblant de vouloir résoudre les problèmes de société, mais ne veulent surtout pas que l'on trouve des solutions, puisque la plupart des dirigeants vivent de ces problèmes !

Le Général DE GAULLE a dit un jour « Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche… ».

Aujourd'hui les chercheurs qui trouvent sont immédiatement neutralisés, sauf si ce qu'ils ont trouvé peut rapporter gros...

Je ne compte plus les gens que j'ai rencontrés qui ont guéri de maladies dites « incurables », et qui m'ont indiqué par la suite que le thérapeute qui les avait aidés, était poursuivi. Car chez nous il vaut mieux mourir légalement que rester en vie illégalement.

Je pense encore à ce jeune homme qui a guéri du sida (son dossier était incontournable) et qui se cache, tant il a été l'objet de menaces.

Je ne peux que conseiller la lecture du livre du Dr Tal SCHALLER Artisans de leur miracle, qui évoque de nombreux cas de malades condamnés par la médecine, qui ont eu le courage de se guérir. Sa lecture peut redonner l'espoir à ceux qui se croient trop vite impuissants et obligés de souffrir.


En outre, lorsque nous avons évoqué l'hypothèse suivant laquelle les vaccins pourraient être «pucés» (contenir une micro-puce) ce qui pourrait être une des raisons pour lesquelles certains « scientifiques » insistent pour les maintenir, les bien-pensants ont tout de suite fait observer que « personne n'aurait jamais l'idée honteuse d'implanter une micro-puce dans le corps humain, et que nous étions des illuminés en pleine science-fiction… ».

Or, le 4 avril 2002 la B.B.C. News nous fait savoir que les États-Unis ont donné l'autorisation d'implanter une puce (appelée « Big Brother » ou « Verichip ») contenant des informations médicales et personnelles dans le corps humain, à la firme A.D.S. ...
La carte Vitale collée à la peau ! On y est ! (Mais nous sommes toujours des illuminés !).
Je repense à mon instituteur du C.P. qui traitait certains d'entre nous « d'imbéciles heureux. .. ».


Le système actuel a besoin pour vivre, que nous soyons tous dans une santé précaire, ce qui fait « tourner la machine ». On ne poursuivra jamais ce grand professeur d'orthopédie qui a opéré des tas d'enfants car leurs deux jambes avaient 1 ou 2 millimètres de différence... jusqu'à ce que ses confrères lui fassent observer que pendant la croissance, c'est normal… Mais on poursuivra celui qui guérit les maladies dites « incurables »...


Je propose donc que nous rebaptisions le Code de la Santé publique qui s'appellerait désormais « Le Code de la Maladie Publique ».


Jean Pierre Joseph
Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?
Editions Vivez Soleil

Si vous voulez réagir sur cet article, cliquez sur ce lien.


Sources
Jean Pierre Joseph : Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?
Document intégral disponible en téléchargement


Partager cet article
Repost0
12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 11:43
Je vous poste ici le film documentaire "silence on vaccine", il est complet, vous pouvez aussi le trouver sur dailymotion, mais c'est un peu compliquer car rien n'est dans l'ordre.
Voir site


U
n film qui soulève bien des questions et qu'on essaie de dénigrer par tous les moyens. Les médias l'ont banalisé et "descendu". Film québécois présentement à l'affiche au Canada.

1ère partie



2ème partie


3ème partie


4ème partie
Partager cet article
Repost0
6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 13:01
Le SIDA !

par le Dr Alain SCOHY

 

On accuse la drogue, le sexe, la fatalité,
ALORS QUE JOUR APRES JOUR, LES SAVANTS APPORTENT LA PREUVE QUE SEULE LA PRATIQUE DES VACCINS MULTIPLES, EN TOUS GENRES, EST EN CAUSE.

Le SIDA apparaît aujourd'hui d'abord comme le fruit de l'effondrement et de l'affolement du système immunitaire du malade. Les vaccins l'ont obligé à fabriquer des anticorps inutiles, tout juste bons à faciliter l'installation des maladies dont ils sont sensés le protéger. Pendant ce temps, tous les mécanismes de défense immunitaire réellement efficaces sont paralysés ou détruits...


Dans un deuxième temps seulement, le virus VIH, puis les autres germes peuvent occuper le terrain. Mais le SIDA peut se développer sans le virus VIH... ou avec d'autres virus.


Le SIDA est donc la conséquence immédiate et directe des vaccins multiples, ineptes, totalement inutiles, qui sont inoculés à nos enfants, à nos jeunes, à nous-mêmes, jour après jour ! Déjà à ce jour, des enfants sont atteints d'aplasie médullaire suite à la manipulation des vaccins. Cette aplasie n'est rien d'autre qu'un effondrement total de toute l'immunité. C'est un SIDA !


Les comportements à risques


Les transfusions, les piqûres, l'homosexualité, les débauches en tous genres ont été accusés, alors que leur responsabilité n'est nullement prouvée. Elles semblent n'intervenir qu'au niveau de la propagation du ou des virus et des autres germes que l'on retrouve dans cette maladie. Peut-être aussi dans les mécanismes psychiques qui ouvrent la porte à la maladie, mais pas dans la genèse de la maladie elle-même. Certaines drogues dures et certains médicaments contribuent incontestablement à l'effondrement immunitaire. Mais le problème reste mal étudié à ce niveau. Curieusement. Comme si la seule chose importante était de pouvoir empoisonner tous les marginaux à coup d'AZT ou de drogues équivalentes, mortelles !



Les rouages politiques


Les Pouvoirs Publics, l'OMS et les grands instituts pharmaceutiques, continuent à inventer de nouveaux vaccins, encore plus dangereux, et à les inoculer plus ou moins de force, ou par conditionnements, mensonges, trucage des statistiques mondiales ou nationales, campagnes publicitaires médiatisées un maximum ou par la manipulation du corps médical qui est tellement naïf.

 

Est-ce l'éradication de la moitié de la population du globe qu'ils ont en chantier ? [NDONCT : pour remédier à la surpopulation ?]
Ou bien se contentent-ils de remplir leurs poches, sans accepter de se remettre en question ?
Mais attention, Messieurs des Pouvoirs Publics, Messieurs de l'OMS, mes Chers Confrères Médecins ! Vous êtes en train de scier la branche sur laquelle vous êtes assis...
Qui paiera après ?
Qui pourrez-vous racketter lorsque vous survivrez (peut-être) sur les décombres de vos folies ?

 


Sources
Dr Alain SCOHY - Orange

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 08:55

 
Controverse sur l'innocuité du vaccin contre l'hépatite B a connu, vendredi 24 septembre, un nouveau développement judiciaire.


La commission des requêtes de la Cour de justice de la République (CJR) a été saisie d'une plainte visant les ministres ou anciens ministres de la santé, Philippe Douste-Blazy, Bernard Kouchner et Jean-François Mattei pour des faits de 'mise en danger de la vie d'autrui', ' publicité trompeuse en matière de santé publique' et 'non-assistance à personne en danger'.


Déposée par les familles de cinq victimes - deux adolescents et trois adultes -, décédées d'une aplasie médullaire ou d'une sclérose en plaques et qui avaient été auparavant vaccinés contre l'hépatite B, la plainte cherche à démontrer que les pouvoirs publics ont lancé des campagnes de vaccination contre ce virus sans en mesurer les conséquences éventuelles en termes d'effets secondaires.


Soutenus par Me Gisèle Mor, les plaignants sont déjà parties civiles dans le dossier d'instruction pour 'homicides et blessures involontaires', conduit à Paris depuis 1998 par la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy. S'ils se tournent aujourd'hui vers la CJR, la juridiction chargée d'instruire et de juger des délits commis par les ministres dans l'exercice de leurs fonctions, c'est notamment sur la base des conclusions d'une expertise versée en avril au dossier de Mme Bertella-Geffroy.


Analysant des documents saisis lors de perquisitions, notamment à l'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps), le pharmacologiste Marc Girard a ainsi estimé que les pouvoirs publics se sont rendus coupables de 'dissimulations' et de 'déformations' dans la mise en place des campagnes de vaccination contre l'hépatite B, une maladie pouvant évoluer vers une cirrhose ou un cancer du foie et qui se transmet par le sang ou les relations sexuelles.

 

DONNÉES FAUSSES


Reprenant les arguments de l'expert, les plaignants affirment que, en 1994, lorsque M. Douste-Blazy, alors secrétaire d'Etat à la santé, lance une vaste campagne de vaccination dans les établissements scolaires, aucune étude épidémiologique n'était alors connue sur l'incidence de l'hépatite B dans la population. 'Bien plus, le ministre de la santé s'est appuyé sur des données manifestement fausses pour inciter la population à se faire vacciner'
, insistent les plaignants, en expliquant qu'à l'époque le ministre parlait de 100 000 nouveaux cas par an, 'soit à tout le moins une exagération d'au moins 50 fois'.


La procédure remet également en cause la décision, prise quatre ans plus tard par Bernard Kouchner, de suspendre la campagne systématique de vaccination dans les écoles, en lui reprochant de ne pas avoir étendu cette interdiction à l'ensemble de la politique vaccinale contre l'hépatite B. La même réprimande est adressée à Jean-François Mattei, les plaignants estimant que les deux ministres auraient 'négligé de tirer toutes les conséquences des éléments alarmants'dont ils auraient disposé.


Face à ces accusations, les trois ministres rappellent qu'ils ont toujours suivi l'avis des experts, lesquels n'ont jamais cessé de recommander la vaccination contre l'hépatite B.

'En 1993, nous avons reçu une note de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), demandant à tous les ministres de la santé occidentaux de vacciner leur population'
, a expliqué au Monde M. Douste-Blazy. 'Les chiffres ont certes été depuis revus à la baisse, mais l'OMS continue de préconiser la vaccination et aucun pays au monde ne l'a remise en cause', rappelle l'actuel ministre de la santé. 'Tous les responsables scientifiques du monde disent qu'il faut continuer la vaccination, car l'immense bénéfice l'emporte sur des risques éventuels qui ne sont pas avérés', renchérit M. Kouchner, qui explique que s'il a suspendu la vaccination à l'école, c'était 'par mesure de précaution ultime'. Quant à M. Mattei, il estime avoir 'été prudent dans cette affaire', après avoir'pris tous les avis possibles'.


La plainte visant les trois ministres intervient dans un contexte où la question du lien de causalité éventuel entre vaccin de l'hépatite B et risque accru de développement de la sclérose en plaques fait toujours débat.

Début septembre, la polémique avait été relancée après la publication par la revue américaine Neurologyde la première étude ayant retrouvé chez l'adulte 'une association statistiquement significative entre le vaccin de l'hépatite B et la sclérose en plaques, après une dizaine d'autres études toutes non concluantes'explique l'Afssaps (Le Monde du 16 septembre).

Cette publication, qui fait actuellement l'objet d'une étude approfondie de l'Afssaps, n'a pas remis en cause la politique vaccinale française : réuni, le 14 septembre, à l'initiative de M. Douste-Blazy, le Comité technique des vaccinations (CTV) a ainsi recommandé la poursuite de la vaccination qui vise essentiellement, aujourd'hui, les nourrissons et les personnes à risque.


Cécile Prieur

ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 29.09.04

 

Maintenant, regardez plutôt les conséquences

sur cet avocat...!

 

 

Après sa plainte contre 3 ministres, l'avocate Gisèle Mor est poursuivie en correctionnelle le 14.10.04 par un fabricant de vaccin. Hasard du calendrier judiciaire ?

Maître Gisèle Mor, avocate dans une multitude de dossiers de patients atteints de troubles consécutifs au vaccin anti-hépatite B, sera jugée à l'audience du Jeudi 14 octobre 2004 à 13 h 30 au Tribunal Correctionnel de Paris, 17ème Chambre, 4 boulevard du Palais, 75001 Paris.Merci de vous mobiliser pour la soutenir : l'enjeu est important.Gisèle Mor est avocate dans le Val d'Oise et a été bâtonnier de l'Ordre des Avocats dans ce département.

 

Dans cette affaire, Gisèle Mor est accusée à tort de violation du secret de l'instruction. On lui reproche d'avoir divulgué le rapport d'expertise du Dr Marc Girard voir http://pagesperso.aol.fr/agosgirard

Or d'autres avocats qui sont les défenseurs de malades en cours de procédure contre les effets du vaccin anti-hépatite B ont aussi en mains ce rapport et n'ont pas été inquiétés. A travers elle, c'est l'ensemble des procédures mettant en cause le vaccin hépatite B qui sont concernées.


Gisèle Mor est personnellement visée car elle a en procédure plusieurs centaines de malades. L'audience arrive aujourd'hui, précisément au lendemain du dépôt récent d'une plainte de 5 familles de victimes contre 3 Ministres de la Santé auprès de la Cour de Justice de la République par son cabinet. Maître Gisèle Mor a été entendu par le juge d'instruction pendant 48 heures, c'est-à-dire pendant les 2 jours où avait lieu la Conférence de Consensus sur le vaccin hépatite B, en septembre 2004, pour qu'elle ne puisse pas y être effectivement présente...La classe politique et les laboratoires ne supportent pas que le lien entre ce vaccin et les différentes pathologies soit démontré. Or, les résultats les plus récents des études indépendantes des laboratoires conduisent à des chiffres dramatiques de victimes, bien au-delà encore du scandale du sang contaminé.


Tout est bon pour anéantir cette démarche de défense des victimes du vaccin et la mise en accusation de Gisèle Mor, avec le risque pour elle de ne plus pouvoir plaider, en est la démonstration.

 

 

 

Démarche inédite :

 


Le dépôt d'une triple plainte contre trois ministres de la Santé. Ce week-end, Gisèle Mor - avocate de six familles qui s'estiment victimes d'effets secondaires dus à une vaccination contre l'hépatite B - a déposé, devant la commission de requêtes de la Cour de justice de la République, une plainte pour 'mise en danger de la vie d'autrui', 'publicité tronquée en matière de santé publique' et 'non-assistance à personnes en péril'.

Celle-ci vise l'actuel ministre de la Santé, Philippe Douste-Blazy, mais aussi Bernard Kouchner et Jean-François Mattei (1). 'On a lancé en 1994 une campagne de vaccination sur la base de données scientifiques fausses et on a vacciné massivement sans connaître l'exacte fiabilité du vaccin', explique l'avocate qui ajoute, un rien provocatrice : 'Je ne remets pas en cause la présomption d'innocence de ces trois responsables, mais il me paraît essentiel que la justice s'attarde sur les conditions de lancement de cette campagne.'


Si cette plainte a peu de chances d'aboutir, du moins a-t-elle le mérite de braquer les projecteurs sur un épisode de notre histoire sanitaire. C'est un cas d'école : voilà une campagne de vaccination justifiée, un vaccin très prometteur et, au final, un gigantesque gâchis : des milliards engagés par la collectivité, 90 millions de doses de vaccin vendues en quelques années, plus de la moitié des Français vaccinés.


Pourtant, dix ans plus tard, le taux de couverture vaccinale des nourrissons (la cible la plus importante) est le plus faible d'Europe (moins de 30 %) alors que, chez eux, le risque d'effets secondaires est nul. 'On a manqué la cible', lâche le Pr Bernard Bégaud, pharmacologue et l'un des experts les plus indépendants sur cette question. 'Je n'ai jamais rencontré un tel degré de passion que sur ce dossier', poursuit le Pr Christian Peronne, président du comité technique de vaccination.


Petit retour en arrière. Nous sommes en 1994 : arrive un vaccin contre l'hépatite B, en partie mis au point par des équipes françaises. L'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui ne s'est pas montrée très audacieuse sur le sida, veut se rattraper. Et lance une directive à ses pays membres pour une vaccination massive, 'permettant l'éradication du virus de l'hépatite B'.

 A cette époque, nombre de pays en voie de développement souffrent d'une situation endémique : certes, 90 % des porteurs du virus guériront d'eux-mêmes, mais un petit pourcentage risque de développer des cirrhoses, voire des hépatites fulminantes. En France, c'est le brouillard. On ne sait rien, on manque de données fiables sur l'épidémie. On sait que le virus se transmet essentiellement par le sang et le sexe, et qu'il y a des groupes à risque comme les toxicomanes ou le personnel de santé. Que faire ?

 'Dans un pays à faible endémie, vacciner toute la population pour tenter d'éradiquer l'épidémie n'est pas absurde, choisir des campagnes ciblées non plus', explique Bernard Bégaud, qui note : 'De fait, les pays occidentaux ont choisi des stratégies variables.'


En France, Douste-Blazy, alors jeune ministre de la Santé sous la tutelle de Simone Veil, opte pour une campagne massive de vaccination. Et, pour la justifier, ne fait pas dans le détail. Il déclare sur TF1 : 'Ce virus est un problème majeur de santé publique, plus de 100 000 nouvelles contaminations surviennent chaque année dans notre pays. C'est un risque infectieux majeur de cette fin de siècle' (2).

 En cela, il ne fait que reprendre les propos dramatisants de nombreux médecins hépatologues. Certains évoquent même un risque de contamination par la salive. Les deux grands fabricants du vaccin (Pasteur-Mérieux et SmithKline-Beecham) se lancent dans une gigantesque campagne. Des centaines de milliers de dépliants sont distribués aux médecins, des opérations sont montées avec des radios du type Fun Radio. Problème : pour justifier la vaccination, les industriels se laissent aller. Ainsi, dans un prospectus : 'L'hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an.'


 


A la chaîne. C'est le rouleau compresseur : alors que le risque est dérisoire, on vaccine même les personnes âgées. Dans les collèges, on le fait à la chaîne. Sans pour autant se donner de moyens de contrôle. Bref, une campagne sans garde-fous ni repères sanitaires. Exemples : les 800 000 personnes atteintes en 1994 ? Faux. Les 100 000 nouveaux cas ? Faux. Tout au plus 10 000 à 20 000.

 


Et aujourd'hui, comme si la leçon n'avait toujours pas été tirée, les autorités sanitaires sont incapables de dire combien de personnes sont touchées par le virus. Dernier volet de ce dossier : les effets secondaires du vaccin. 'En vaccinant aussi massivement, il est normal qu'apparaissent des effets secondaires. Mais si on avait mieux vacciné, on n'aurait rien observé' (3), note Bernard Bégaud, qui a recensé près d'un millier d'effets secondaires plus ou moins graves. Les autorités sanitaires les ont-elles minorés (lire page précédente) ?

Les dernières études de pharmacovigilance - en particulier celle du Dr Hernan, publiée la semaine dernière - notent un risque, faible mais réel, au bout de trois ans, de survenue de scléroses en plaques. Sans remettre en cause le bénéfice de la vaccination chez les nourrissons et les personnes à risque.

On en est là. Aujourd'hui, tout se télescope, la mécanique judiciaire et la logique sanitaire.


Le doute sur ce vaccin s'est définitivement installé. La plainte devant la Cour de justice ne va pas détendre l'atmosphère, ni le souhait de la juge d'instruction de placer prochainement sous statut de témoins assistés les deux grands laboratoires pharmaceutiques, dans le cadre de son information ouverte, entre

 

autres, pour 'publicité mensongère'.

 

(1) Jean-François Mattei n'a pas voulu répondre à nos questions.

(2) La Santé publique en danger d'Eric Giacometti. Enquête, le 23 janvier 2001, sur Canal +.

(3) Aucun effet secondaire grave n'est apparu chez les moins de 16 ans.

 

 

Communiqué de Jean-Marie Mora

LNPV

 

 

http://www.ctanet.fr/vaccination-information/

 

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 12:42
L’autisme aux USA

Les dangers du mercure mis en évidence par des études américaines

mis en ligne lundi 28 mai 2007 par Algebre


L’autisme est une maladie grave, avec de tragiques perspectives, qui mérite de sérieuses recherches. Le nombre de malades et mille fois supérieur à celui de l’épidémie de polio qui a sévi au cours des années 50, mais elle reçoit cent fois moins d’attention et de capitaux. Il faut espérer que l’accroissement spectaculaire des cas va modifier le laxisme des pouvoirs publics sur ce sujet.


Toutefois, il est temps de faire la distinction entre l’autisme classique, qui peut être génétique comme on se plaît à nous le répéter, et l’autisme régressif, qui sévit depuis le milieu des années 80 et qui ne peut être génétique. L’enfant qui se développait normalement commence à régresser à partir de 18 mois. Cette sorte d’autisme bien particulier est cinq fois plus fréquente que l’autisme classique.


Antérieurement à 1943, les cas étaient trop rares pour réaliser que cette maladie existait mais, aux Etats-Unis, les consultations pour des cas d’autisme sont devenues de plus en plus courantes et, entre 1992 et 2002, l’autisme a été multiplié par plus de 12 dans ce pays. D’après le CDC [Centers for Disease Control and Prevention], les cas d’autisme sont passés de 1 cas sur 10000 naissances au cours des années 1980 à 1 cas sur 166 naissances en 2003.

L’actuelle « épidémie » d’autisme se manifeste dans la plupart des pays du globe, Inde, Argentine, Nicaragua et Chine, où l’on recense actuellement 1.8 million d’autistes.


Ne pouvant nier les chiffres, outre de stupides théories pseudo-scientifiques, on a soutenu qu’avant 1991 on ne tenait pas une comptabilité précise des cas. Or, même si on admet cet argument peu crédible, en 1998 on savait parfaitement bien diagnostiquer cette maladie et, entre cette année là et 2003, les cas ont augmenté de plus de 300%.


Actuellement, six millions d’enfants américains ont été diagnostiqués comme ayant de sérieux désordres mentaux par les instances de santé américaines.

« Si cette épidémie est réellement un artéfact de pauvres diagnostics, où sont à présent les autistes de plus de vingt ans ? », demande le Docteur Boyd Haley, l’un des spécialistes mondiaux de l’autisme.


Les vaccins


L’idée d’associer autisme et vaccins demeure encore impopulaire, cependant cette idée gagne du terrain. En 1965, aux Etats-Unis, quelques parents avaient déjà constaté l’apparition de l’autisme chez leur enfant après l’injection du triple vaccin Diphtérie-Coqueluche-Tétanos. Lorsqu’un autre triple vaccin, le ROR, fut introduit en 1980 « les rapports alarmants de parents augmentèrent de façon très significative » [cf. Los Angeles Time, 26 avril 2000].



En 1980, autant aux Etats-Unis qu’en France, les enfants n’étaient immunisés que contre 4 maladies alors qu’à présent, ils reçoivent une quarantaine d’injections contre une douzaine de maladies avant qu’ils aient atteint leur seconde année.

Pierre Picard du journal "Votre Santé" rappelle que les trois vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole sont à virus vivants, atténués mais vivants ! Rappelons que la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont interdit le ROR sur leur territoire, depuis une dizaine d’années, après avoir constaté environ trois cents cas de méningites. La France a poursuivi sa politique vaccinale, en prétendant qu’il n’y avait pas de problème, que le vaccin était fiable. Discrètement, il y a trois ou cinq ans, le ROR a été retiré du marché, après avoir remplacé la partie dangereuse (oreillons) par une nouvelle souche contre ces oreillons. Le vaccin actuel s’appelle ROR VAX.


Toujours Aux Etats-Unis, Portia Iverson, fondatrice et présidente de la CAN [Cure Autism Now Fondation] de Los Angeles, estime qu’environ 50% des parents qui l’appellent signalent que le comportement de leur enfant a changé tout de suite après la vaccination. Ceci est confirmé par le Docteur Bernard Rimland , directeur et fondateur de l’institut de recherche de l’Autisme de San Diego : « c’est une véritable épidémie. Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination, excepté des coïncidences. La vérité est que des enfants sont gravement atteints par les vaccinations ».


Depuis 33 ans, le Docteur Rimland a étudié plus de 30000 cas d’autisme à travers le monde et a découvert qu’avant les années 80, les parents signalaient que l’autisme de leur enfant s’était manifesté au cours de la première année. Mais à partir de cette époque, l’autisme est apparu vers le dix-huitième mois. Rimland a aussi remarqué que les enfants autistes viennent de familles aisées et cultivées qui profitent au maximum des découvertes de la médecine, particulièrement des vaccins. Chez de nombreux enfants, deux régressions successives ont été remarquées. La première se produit très vite après la première vaccination ROR, la seconde, bien plus grave, après le rappel du vaccin vers l’âge de 4 à 5 ans, après une période d’amélioration relative. Ces deux phases de la maladie ont servi de preuves de causalité devant les tribunaux et l’institut de médecine aux Etats-Unis.


Les ingrédients vaccinaux injectés aux bébés contiennent de nombreuses toxines, et jusqu’en 2002, ils contenaient aussi un conservateur [appelé en France Thiomersal] dérivé du mercure mais plus toxique encore. On en trouve encore dans certains vaccins vendus aux Etats-Unis et dans l’Engerix B.

« L’évidence que les vaccins sont étroitement liés à l’augmentation de problèmes cérébraux augmente chaque jour, mais les agences gouvernementales ne font rien pour le reconnaître »,

confirme Dan Burton, membre du Congrès, qui signale que 47% des parents qui contactent leurs députés sont certains du lien entre les deux événements.

http://www.autiminfo.com/PowerOfOne/Hearings.htm



Toujours aux Etats-Unis, le Docteur Dave Weldon a demandé d’urgence à l’American Academy of Pediatrics [AAP] d’enquêter sur l’ épidémie d’autisme et sur la question ROR, car les recherches du Docteur Ulmann et de ses collègues ont démontré que sur 91 enfants examinés, tous atteints par cet autisme régressif qui s’était développé très rapidement après le vaccin, 75 d’entre eux, âgés de 12 à 15 mois, présentaient le virus de la rougeole dans leurs intestins.

Dan Olsted, journaliste d’investigation, a entrepris une étude approfondie sur les cas d’autisme. En recherchant des enfants qui n’ont jamais été exposés au mercure vaccinal afin qu’ils servent de « cas contrôle » des expériences. Il étudia la Homefirst Health Services Chicago. Les enfants de cette communauté ne sont jamais vaccinés. Olmsted publia son enquête en décembre 2005.

Le Homefirst Health Services est une association de médecins de la banlieue de Chicago qui accouchent les femmes chez elles, puis suivent les enfants. Le Docteur Mayer Eisenstein, directeur médical, également diplômé en statistiques, en droit et en santé publique, signale :

« depuis des années, nous avons suivi 30 à 35000 enfants dès leur naissance et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi ceux qui n’ont jamais reçu de vaccins. Les quelques rares cas d’autisme ont été décelés chez des enfants vaccinés avant que leurs mères ne s’adressent à nous pour leur enfant suivant ».

Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l’Illinois, ont permis de faire baisser spectaculairement les moyennes d’auttistes de cet Etat. Le Docteur Paul Schattauer, qui fait partie de Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100 enfants par semaine confirme : « Tout ce que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas d’autistes. Nous sommes loin de 1 sur 166 cas officiels dans note pays ». En 1991, on ne trouvait qu’un enfant autiste sur 2500 dans cette région.


Le mercure


« Il est impossible de trouver une seule étude qui montre l’innocuité du thimerosal » déclare le Docteur Boyd Haley, chef du service de chimie à l’université du Kentucky, qui a publié plus d’une centaine d’articles sur la toxicité du mercure dans les plus prestigieux journaux scientifiques. « Si vous injectez ce produit animal, son cerveau est touché. Si vous l’appliquez sur un tissu vivant, la cellule meurt. Si vous l’introduisez dans une éprouvette, la culture est détruite. Sachant cela, il est impossible de croire que l’on peut l’injecter dans un corps de bébé sans causer de dommage ».


Sur le plan clinique, les manifestations de l’autisme et de l’intoxication mercurielle sont souvent superposables : dégradation de la qualité de la communication, indifférence pour les autres, confusions mentales, peurs irrationnelles, manifestations schizoïdes, désordres obsessionnels compulsifs, trouble de la coordination des mouvements, ainsi que des troubles de l’audition et de la compréhension

En juillet 2000, après avoir analysé plus de 180 publications, un groupe d’étude américain a publié les fruits de son travail de synthèse sur les relations entre autisme et empoisonnement par le mercure [cf. S.Bernard, et al., « Autism : a Novel Form of Mercury Poisoning », in ABC Research, juillet 2000].

En 1998, la FDA déclara que les enfants qui recevainet tous les vaccins recommandés absorbaient 30 à 50 foisd plus de mercure que la dose admise par l’Agence de protection de l’environnement des Etats-Unis.


Mais ce n’est qu’en juillet 1999 que l’académie américaine des pédiatres publia une mise en carde contre les vaccins contenant du thimerosal. La même année, la FDA annonçait qu’un enfant qui recevait un vaccin multiple pouvait être exposé à une dose 100 fois supérieure à celle admise pour un adulte.

Nombre de chercheurs pensent que les fabricants ont deux raisons de s’opposer au retrait total du thimerosal. La première est l’appât du gain. La seconde, la plus importante, est qu’il savent que dès qu’on le retirera le public ne pourra plus ignorer le déclin non seulement de l’autisme mais aussi celui des désordres neurologiques, déficit d’attention, hyperactivité, retard de langage, qui perturbent le système scolaire depuis plus de 15 ans. Ce déclin s’est déjà produit en Californie, qui fut l’un des premiers Etats à bannir ce poison. Or cet Etat à le meilleur système de surveillance de l’autisme des Etats-Unis et il est généralement considéré comme le baromètre du reste du pays. Les experts n’avancent aucune explication pour ce ralentissement des nouveaux cas.


Pour Rick Rollens, ex-secrétaire du sénat de Californie, co-fondateur de FEAT [Families for Early Autism Treatment], le rapport est flagrant entre le retrait du mercure et cette baisse. « Nous pouvons dicuter pendant des heures pour savoir d’où vient l’augmentation, mais la diminution est manifeste depuis le retrait du mercure ».



Le Dr Samuel Katz, de la Duke University, ardent promoteur de la politique vaccinale dans son pays, conseiller de la Immunization Action Coalition, avoue prudemment : "il y a de nombreuses données qu’on ignore sur les vaccins", cependant il n’hésite pas à imiter tous ses collègues et à se retrancher derrière le fait que "rien ne prouve la responsabilité des vaccins dans tous les cas d’autisme, de diabète, d’asthme, de sclérose et de mort subite du nourrisson". Ces déclarations prennent un éclairage nouveau lorsqu’on apprend que le Dr Katz codirige un groupe "d’information" mais surtout de propagande, appelé Vaccine Initiative, qui reçoit des fonds de six fabricants de vaccins, et que la Immunization Action Coalition est sponsorisée par plusieurs laboratoires tels SmithKline Beecham, Merck, Connaugh-Pasteur Mérieux et Wyeth-Lederle. il en va de même pour le Dr Neal Halsey, de l’université John Hopkins, pionnier de la vaccination qui siège, comme Katz, dans les comités de l’ACIP et du Red Book, et qui affirme lui aussi la sécurité du vaccin antiHB.


Une étude de mai 2006, conduite par le Docteur Arthur Krigsman, gastro-entérologue de l’Ecole de Médecine de l’université de New York, impliquant 275 enfants, a démontré de graves inflammations intestinales chez les enfants autistes, identiques à celles qui sont décrites par le Docteur Wakefield et ses collègues il y a huit ans. La biopsie du tissu des intestins de 82 de ces enfants a révélé que 70 d’entre eux (85%) avaient le virus de la rougeole dans leurs intestins. Tous les résultats obtenus montrent qu’il s’agit d’un virus vaccinal et non du virus sauvage de la rougeole.

Les journaux anglais ont largement médiatisé la nouvelle, alors qu’elle a été pratiquement occultée par les médias américains mais aussi, français.


Quelques adresses utiles non exhaustives :


• Autisme info-accueil L’association Autisme France a mis en place un numéro azur (prix appel local) qui constitue le cœur d’un réseau destiné aux parents d’autistes et aux professionnels de France, de Belgique et de Suisse romande. Au 0 810 179 179, le standard Autisme info-accueil répond tous les jours de la semaine, du lundi au vendredi, de 9 h à 13 h.


• Autisme 75, 78, rue des Dessous-des-Berges, 75013 Paris. Tél.-Fax : 01 45 84 29 59.


• Aide à l’enfance autiste, Kerantraon, 29400 Lanneufret. Tél : 02 98 20 81 31.


• Pro Aid Autisme, 42, rue Bénard, 75014 Paris. Tél. : 01 45 41 52 93.


• Fédération française Sésame Autisme, 53, rue Clisson, 75013 Paris. Tél. : 01 44 24 50 00. Fax : 01 53 61 25 63.

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 08:01


Je me rends compte que nous sommes beaucoup à douté de l'innocuité des vaccins sans pour autant en parler à nos medecins, je me demande pourquoi?  Est-ce la peur de se confronter à un profesionnel? Est-ce la peur de n'avoir aucun argument et d'être balayée par un ou deux terme qui fait mal à la tête?

Il faut savoir que la plupart des medecins ne sont eux-même pas vraiment au courant des dangers des vaccins, puisqu'ils sont formé (pour la vaccination) par les laboratoires... Il ne faut pas oublier que la France est le premier producteur de vaccin en Europe, ils n'ont pas de pétrole il faut bien trouver une rentrée d'argent! Je dis la plupart car quand même ces dernières années heureusement, les medecins se sont réveillés, mais pas tous, bien souvent on trouve ceux qui s'acharne, normal ils sont payés en plus de leur salaires par les labos.

Une amie m'a dit qu'elle avait emmené son fils agé de quelques mois chez son medecin, et que celle-ci lui avait dit qu'il fallait le vacciner contre la tuberculose (vaccin BCG), mon amie étant dans ses droits, lui dit qu'elle ne souhaite pas le faire vu que l'obligation vaccinale était supprimée, sa généraliste est montée sur ses grands chevaux! Mon amie n'ayant aucun argument et n'ayant reçue aucune information ou presque, s'est tue et à vacciner son fils.

Voilà comment se passe bien souvent le rapport et la communication entre medecin et patient, inquiétant... je vais essayer de vous retrouver le serment d'hypocrate (ou d'hipocrite en fonction du medecin face à vous), c'est le serment que les medecins doivent prêter lorqu'ils sont prêts à exercer (je crois qu'ils le prononcent à la fin de leurs études)

La fois ou jai vacciner mon fils de force (je dis de force car j'ai eu des menaces) une dame à la PMI est passée avant moi, j'entendais le medecin lui parler, ils ont une façon de faire c'est incroyable, ils sont sûr d'eux, " Aller ptit bonhomme on va passer aux choses sérieuses hein! tiens tu va aller sur maman, tu va pas aimer ça mais ca va passer. Les mamans je suis quasi sûre que vous reconaissez le vôtre.

 

Par contre quand je suis rentrée dans son cabinet avec mon époux juste après elle, il connaissait ma position, je l'ai trouvé mmm... j'aimerai dire fragile!  quand il parlait avec moi il prenait des gants, j'avais même l'impression qu'il allait s'excuser.

 

 

Un pédiatre réputé de ma ville, après m'avoir sorti tout son savoir (un savoir basé sur aucune preuve d'après ce qu'il me disait) a dit à mon mari à la fin, "c'est vrai, votre femme a raison"... mais avant d'avouer ne pensant pas que je lui tiendrai tête, il m'a demandé depuis combien de temps étais-je pédiatre (en souriant), vous savez très bien que je ne suis pas pédiatre, ah et bien moi je le suis depuis 30 ans! (BRABRO quel argument!)

 

Sans cesse rabaissé alors qu'il s'agit de nous, non n'hésitez pas à poser toutes vos questions, il est là pour çà et ca fait parti de la loi (droit des patients) justement, ne pensez pas aux personnes qui sont en salle d'attente, ça ce n'est pas votre problème mais celui du medecin (oui je sais... c'est la 1ère cause du siège éjectable en consultation) Une fois l'entretien terminé vous repartez avec vos questions et appréhensions (soit apaisé ou pire qu'à l'aller), lui retourne à ses occupations...

 

Je remarque malheureusement que les critères de selection d'un professionel de santé ne sont plus vraiment en rapport avec ses compétences mais par rapport au fait qu'il soit gentil, compréhensif et qu'il ne nous traumatise pas comme l'instit' qu'on se tapait y'a 30 ans dès qu'il s'adresse à nous. Docteur... je... ne souhaite pas... euh... vacciner mon enfant.... et le professionel en face qui jète son stylo sur la table (fait véridique...manque plus qu'il t'attrape par le cou du bout de son bureau en disant: KESTADILA?!!) il commence son show gestuel pour vous convaincre que d'une ta vraiment rien compris et de deux tu es un danger pour ton gosse! Pis là... la maman qui regrette tout ce qu'elle a dit et comme si elle n'avait rien dit justement, se soumet aux exigences de celui qui s'enrichit tant dans son égo que dans son compte bancaire...

 

Je souhaite que ce blog ainsi que bien d'autre, fasse réagir les parents/tuteurs/patients quand à leur droit/ devoir/pouvoir les concernant. Que vous fassiez vos choix en connaissance de cause et non pas parce que c'est l'avis (ou la vie... ah bah non...) du professionel de santé. Vous êtes libre de prendre la décision qui vous convient le mieux après de claires explications de votre medecin, comme vous êtes libre de changer! Ne donnez pas une entière  et aveugle confiance à votre medecin, malgré ses compétences, il peut se trompé, ou être persuadé que des choses seront bonne pour vous mais que leur avis soit motivé par des intérêts indirectement...

 

Les medecins travaillent avec des partenaires pour favoriser la vente de telle ou telle marque... il en est de même avec ces vaccins.

 

Comme je vous ai dit, ce blog je le fait pour transmettre des infos concernant les vaccins surtout, mais pourquoi pas sur d'autre médicament ou infos générale sur la medecine. cependant, je ne suis pas là pour vous convaincre à tout prix d'éviter de vacciner (bah t'es pas une pro anti vaccin alors..) si si, mais justement chacun fait ce qu'il veut, ce que j'aimerai en 1er lieu à travers ce blog, c'est que chaque être ai accès à l'information, que chaque être ai droit au savoir, et que par conséquent, chaque être ai envie de pousser le bouffon un peu plus loin (bouchon pardon), qu'il cherche a comprendre sans s'en remettre à son medecin entièrement, biensur on a besoin du corps médical mais réclamez vos infos les plus juste!

 

Si votre medecin vous pique avec 3 seringues en même temps et que vous ressentez de la peur et de l'incompréhension dîtes-lui! Empêchez-le de faire ce qu'il veut de vous sans qu'il ne vous explique clairement avant! Après si vous décidez de le laisser faire, au moins vous l'aurez fait en connaissance de cause!

 

Voilà pour résumer mon blabla, agissez en connaissance de cause, ne vous dîtes pas: "j'ai rien compris a son charabia mais il sait ce qu'il fait, il est medecin alors je me tais..." Vous n'êtes pas esclave ou cobaye de l'état!

 

A.Kah

 




Partager cet article
Repost0