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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 15:15




Après avoir lu Parent attention

puis Le squalène attention danger sur le site de l'association ALIS, voici ce qu'lls nous proposent, un modèle de plainte à adresser au juge.


-Monsieur ….né le …à…

 de nationalité…

 profession…

 domicile…

 

-Madame… (mêmes renseignements)

 

 

 

                                             Monsieur le Doyen des Juges
                                            d’instruction près le Tribunal de
                                                      Grande Instance de

 

 

Le

 

 

 

OBJET : Plainte avec constitution de partie civile contre X pour :

-tentative d’administration de substances nuisibles à la santé de nature à
entraîner la mort (art. 221-3 et 221-5 du Code Pénal)

 

 

Monsieur le Juge,

 

Nous avons l’honneur de vous exposer les faits suivants :

 

Fin avril début mai 2009, de nombreux articles de presse faisaient état de
l’apparition de la grippe A dite « porcine » pour laquelle le virus H1N1 était identifié.

 

Très curieusement, alors qu’il faut en général, lors de l’apparition d’une maladie
pouvant devenir une épidémie, plusieurs mois avant que l’on identifie le virus,
responsable, en quelques jours, les autorités Mexicaines annoncent que les 1ers
malades ont été infectés par le virus H1N1.

 

Très curieusement également, cette maladie va se propager, non seulement de
manière « normale » (malades ayant été en contact avec des personnes de retour du
Mexique), mais également d’une manière scientifiquement étrange, puisque des
personnes n’ayant jamais été en contact avec des voyageurs venant d’Amérique du
Sud, l’ont contracté également dans divers coins de France, à peu près
simultanément.

 

Très curieusement, alors que le recul du temps démontre que cette grippe fait 100
fois moins de victimes que la grippe saisonnière, tout un plan de lutte contre la
pandémie et une médiatisation exceptionnelles se sont très vite mis en place,
essentiellement en France, 1er pays producteur de vaccins d’Europe.

 

C’est lorsque nous avons appris la composition du vaccin mis sur le marché en
septembre, que nous avons commencé à nous interroger, car ce vaccin contient des
éléments hautement toxiques et sa mise en circulation aura le même effet que lors
de la 1ère épidémie de grippe A/H1N1 aux U.S.A. en 1976, où la campagne de
vaccination dut être arrêtée, car le vaccin faisait 20 fois plus de morts que la
grippe !

 


Notre inquiétude est née, lorsque nous avons pris connaissance de déclarations
émanant de personnalités dignes de foi, semblant dire que le virus actuel
ressemblerait à celui de 1976, mais serait un peu différent :

 

Wayden Madsen, journaliste, ancien officier de la marine américaine : « …C’est une
forme de virus très inhabituelle qui semble être le résultat de manipulations
génétiques. Il contient une forme de grippe aviaire, deux formes de grippes humaines,
et des formes de grippes porcines… »

 

Une telle recombinaison dans la nature, semble irréalisable.

 

Le Général Leonid IVACHOV, ancien chef de la direction de la coopération militaire
internationale du ministère russe de la défense, président de l’Académie russe des
problèmes géopolitiques déclare sur la chaine Ria NOVOSTI : « …Toutes les
épidémies actuelles ont été créées dans des laboratoires… »

 

Cette inquiétude grandissante nous a fait découvrir d’incroyables éléments nous
amenant à la conviction suivant laquelle nous estimons être victime d’une opération
criminelle visant à empoisonner la population pour de sordides raisons de profit.

 

En effet, cette maladie a été précédée d’un certain nombre de faits qui ne peuvent
pas être des coïncidences.

 

Pour la bonne compréhension de nos explications, il est nécessaire de rappeler
que :

 

1-
La grippe dite « porcine » est apparue pour la 1ère fois aux U.S.A dans l’Etat
du New Jersey. Après l’arrêt d’une campagne de vaccination pour les raisons
précitées, ce virus a progressivement disparu depuis 1976.


2-
Ce virus réapparait au Mexique : Il est décelé chez un enfant, le 2 avril 2009,
dans le village de LA GLORIA.


3-
Le temps nécessaire à ce qu’une personne en contact avec un malade déclare
les 1ers symptômes, varie entre 3 et 8 jours.


4-
Donc, au 15 mars 2009, aucun médecin au monde n’avait encore
diagnostiqué le moindre cas de grippe A.


 

 

LES ACTES PREPARATOIRES :

 

a)
Le 28 Août 2007, le laboratoire BAXTER dépose aux U.S.A. une demande de
brevet portant sur le vaccin contre le virus H1N1. La demande sera
enregistrée un an plus tard, soit le 28 août 2008. BAXTER obtient le brevet
le 5 mars 2009, sous le n° 20090060950, délivré par l’US PATENT &
TRADEMARK OFFICE.


 

b)
Fin 2008, début 2009, le même laboratoire BAXTER, livre, à partir de son
siège Autrichien, des milliers de doses du vaccin contre la grippe saisonnière
à plusieurs pays. Les Tchèques ont alors un réflexe de prudence, et, compte
tenu du fait qu'on ne sait rien de sa composition, décident de le tester
préalablement sur 20 furets. Tous les animaux meurent. Vérification faite,
toutes les doses renfermaient le virus de la grippe aviaire (non atténué).
"Regrettable erreur de manipulation" déclare BAXTER qui s'excuse, et rapatrie
ses doses. (Le virus de la grippe aviaire se transmet difficilement, sauf quand



il est injecté dans le sang : Là, il devient mortel). Si les Tchèques n'avaient
pas eu ce réflexe de prudence, des milliers de gens seraient morts.

 

Comme un tel type "d'erreur" semble impossible, car l’introduction de 2 virus
H5N1 et H3N2 dans le matériel vaccinal, constitue un mélange de souches
appelé « réassortiment » et est une manière de créer un virus pandémique,
une journaliste, Jane BURGMEISTER, est à l'origine d'une plainte collective
pour tentative de crime contre l'Humanité, en Autriche. Cette plainte est
actuellement en cours d’instruction.

 


c)
Une dépêche de l’A.F.P. du 9 Mars 2009 nous annonce que « …Sanofi-
aventis annonce aujourd’hui la signature d’un contrat avec les autorités
mexicaines, pour la construction d’une usine de production de vaccin contre la
grippe, représentant un investissement de 100 millions d’euros. »

L’annonce a été faite au cours d’une cérémonie en présence de MM. Felipe
Calderon, Président du Mexique et Nicolas Sarkozy, Président de la République
Française, en visite officielle au Mexique. Cette usine sera construite et
exploitée par sanofi pasteur, la division vaccins du Groupe sanofi-aventis,
représenté par Chris Viehbacher, directeur général de sanofi-aventis.

 

« Avec la construction de cette usine, sanofi-aventis est fier de contribuer au
renforcement des infrastructures de santé du Mexique et tient à souligner
l’engagement exemplaire envers la santé publique de ce pays, à travers son
programme de vaccination contre la grippe et de préparation à la
pandémie», a déclaré Chris Viehbacher. « Cet investissement démontre
l’engagement local de sanofi-aventis pour la santé mondiale. Cette usine
constituera un atout de santé publique, pour les Mexicains ainsi que pour
l’Amérique Latine, dans le cadre de la préparation à la pandémie grippale ».La
nouvelle usine de sanofi pasteur au Mexique sera construite selon les
standards permettant à sanofi pasteur de basculer aisément de la production
de vaccin contre la grippe saisonnière à celle de vaccin contre la grippe
pandémique, dans l’éventualité où une pandémie de grippe humaine
vienne à être déclarée et une fois la souche de virus grippal pandémique
identifiée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).


 

d)
Courant février 2009, Madame BACHELOT, Ministre de la Santé, envoie un
courrier à plusieurs spécialistes de Droit Constitutionnel, afin de demander
si, à leur avis, une loi créant une obligation vaccinale imposée à toute la
population serait contraire ou non à la Constitution. Dans l’Histoire de la
Vème République, il semblerait que ce soit la 1ère fois qu’une telle question
soit posée à des Juristes.

 


e)
Dès l’apparition de la grippe porcine, le Ministère de la Santé, au lieu
d’effectuer un appel d’offre pour la production d’un vaccin, comme cela se
fait d’ordinaire, classe immédiatement le marché Secret Défense, et passe
commande à Sanofi Aventis, avant même que le vaccin ne soit fabriqué.

 

Ainsi, 2 mois avant l’apparition de la grippe A, certains semblaient déjà
savoir que cette maladie apparaîtrait et avait déjà préparé le marché du
vaccin !


 

Voilà pourquoi, dans une question écrite à Mme BACHELOT, publiée au Journal
Officiel le 7 juillet, Monsieur François BROTTES, Député de l’Isère s’étonne « des
facultés prémonitoires des laboratoires pharmaceutiques… », et Madame Annie


DAVID, Sénatrice de l’Isère, dans un courrier adressé également au Ministre de la
Santé le 8 juillet 2009, écrit « …Cet étrange scénario inquiète un nombre important
de nos concitoyens qui se demandent s’ils ne sont pas manipulés… »

 

f)
Un fait divers inquiétant, compte tenu du contexte, a encore plus renforcé
notre conviction : Un communiqué de l’A.F.P. du 27 avril 2009, précise :

« Conteneur de virus de grippe porcine brisé: un train suisse arrêté et
évacué.

GENEVE - Un train de voyageurs a été arrêté et évacué lundi soir en
Suisse après qu'un conteneur d'échantillons de virus de grippe porcine,
inoffensifs pour l'homme, se fût brisé, a annoncé la police locale. Les huit
flacons d'échantillons étaient transportés dans un conteneur spécial constitué
d'une triple enveloppe de plastique et de carton, a expliqué à l'AFP Jean-
Christophe Sauterel, porte-parole de la police du canton de Vaud.

 De la glace
carbonique placée dans le conteneur pour assurer la conservation des virus a
fondu, entraînant une surpression qui a fait sauter le couvercle et les flacons",
a-t-il précisé. Le train a alors été bloqué à son entrée en gare de Lausanne. La
soixantaine de passagers qui se trouvaient dans le wagon concerné ont été
confinés pendant une heure, le temps de s'assurer que le virus était inoffensif.
Le convoi a ensuite été évacué, a ajouté M. Sauterel, en soulignant qu'il n'y
avait "aucun danger" pour les passagers comme pour la population locale. Les
échantillons de virus animal, qui ne pouvaient pas contaminer des humains,
étaient destinés au centre de recherche du Pr Laurent Kaiser qui travaille pour
le développement d'un test de diagnostic de grippe humaine d'origine porcine,
a précisé le porte-parole de la police… »


g)
Sur le site Internet « Mondialisation.ca », un article du 13 sept. 2009 nous
apprend :

« …Les fabricants de vaccins contre la grippe H1N1 viennent d’obtenir
l’immunité juridique » La secrétaire d’Etat U.S. à la santé, Kathleen
Sebelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux
fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire. De
plus le programme accéléré - de 7 milliards de dollars - pour la fabrication du
vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne ne prévoit pas de test de
sécurité. Y aurait-il un programme sous-jacent à l’officielle et hystérique
campagne de l’OMS destinée a élever la prétendue grippe porcine au rang de
pandémie ?.. »


 

Cet ensemble de faits nous interpellent. Nous ne nous plaindrions pas, si nous
n’avions pas eu des informations alarmantes concernant le vaccin qui arrive
actuellement sur le marché :

 

LA PHASE D’EXECUTION :

 

Selon les fabricants, pour qu’un vaccin soit efficace et « désinfecté », il faut, en plus
du virus atténué, ajouter un produit appelé « adjuvant de l’immunité ».

 

Ce produit est :

-soit, de l’hydroxyde d’aluminium à des doses parfois 30 fois supérieures au seuil
toxique,

-soit des dérivés du mercure, notamment le Thiomersal,

-soit du formaldéhyde ou formol, utilisé pour conserver les cadavres, et classé en
2004, comme cancérigène par le Centre international de recherche sur le cancer,


parfois également : des cellules cancérisées, des éthers de glycol, de la glycérine,
toxique pour les reins et le foie, du plomb, du cadmium, etc…

 

En outre, ils sont cultivés sur des tissus animaux ou humains (reins de singe ou de
chien, embryons de poulet, sérum de veau, sang de porc, sang de cheval, cervelle de
lapin, etc…)

 

Exemple : dans le dictionnaire médical « VIDAL » édition 2000, on peut lire p. 2131
« Vaccin DTCP PASTEUR : vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux,
poliomyélitique inactivé absorbé…

Excipients : hydroxyde d’aluminium, formaldéhyde, phénoxyéthanol,
polysorbate 80, milieu 199 Hanks, qsp. 0,5ml… »

 

Quelques lignes plus bas, dans la liste des effets indésirables, on peut lire
« …Exceptionnellement, choc anaphylactique, encéphalopathies aiguës… »

 

Autre exemple : Dans le Dictionnaire Viidal 2009, on peut lire, pour la vaccin
contre la grippe « normale », appelé VAXIGRIP (vendu par SANOFI) :

« …Excipients : solution tampon ( sodium chlorure, phosphate disodique dihydrate,
phosphate monopotassique, potassium chlorure,eau ppi ), oeuf, protéines de
poulet,néomycine, formaldéhyde, octoxinol 9.

 

Les laboratoires préparant le vaccin actuel contre la grippe porcine ont déjà fait
savoir qu’ il y aurait 2 adjuvants obligatoires :

-de l’hydroxyde d’aluminium,

-du squaléne, nouveau produit qui serait responsable des milliers de maladies
graves contractées par les militaires américains, lors de la 1ère guerre du Golfe !
Nous savons donc déjà que le nombre d’accidents vaccinaux sera très élevé.

 

Car en plus, pour accélérer la production, comme il n’y a pas assez d’antigène pour
produire des vaccins pour tout le monde, les fabricants en mettront 10 fois moins,
mais seront obligés de mettre un amplificateur d’effet de l’adjuvant !

 

Ce produit est donc hautement toxique, car même si l’on peut objecter que le
squaléne existe en faible quantité dans le corps, l’injection de ce produit déclenche
dans l’organisme un effet d’opposition à la fois au squaléne injecté, mais aussi au
squaléne naturel qui est nécessaire, mais se trouve à ce moment là neutralisé.

 

Ainsi, des milliers de personnes vont se faire injecter un produit toxique. Il en
résultera une véritable pandémie due, non pas à une contagion, mais au vaccin.


Cela s’est malheureusement déjà produit plusieurs fois dans l’Histoire, et
notamment en 1921 aux USA, où à Kansas City et à Pittsburgh, une campagne de
vaccination contre la variole totalement injustifiée, car il n’y avait alors aucun cas
de cette maladie dans aucune des 2 villes, a été suivie dans les semaines
postérieures, par une épidémie de variole.

Des poursuites judiciaires aboutirent à des condamnations de principe, totalement
occultées par la presse de l’époque (Cf. « Histoire et Pathologie de la Vaccination »
Edgar Crookshank, professeur de bactériologie au Kings College de Londres).

Nous avons donc l’impression que les événements de 1921 se renouvellent, mais en
plus graves.

 

L’INFRACTION :

 


tentative d’administration de substances nuisibles à la santé de nature à
entraîner la mort (art. 221-3 et 221-5 du Code Pénal)

 

Nous assistons à un ensemble de manoeuvres dont l’objectif est de vendre des
produits toxiques.

 

Ces manoeuvres consistent à :

 

-Déposer un brevet pour la production de vaccins contre la grippe H1N1

-Préparer la fabrication du vaccin et s’assurer l’exclusivité de la vente, avant même
que les 1ers cas de maladie n’apparaissent,

-Faire apparaître la maladie, en diffusant intentionnellement le virus dans la
population,

-Faire pression sur le média pour faire croire qu’une maladie grave est « apparue »,

-Vendre enfin un produit hautement toxique qui rendra malade des milliers de
personnes : Comme les symptômes de cette maladie seront ceux de la grippe, il sera
facile d’annoncer que la pandémie a bien lieu, et qu’il faut continuer de vacciner.

 

Il sera nécessaire, bien sûr, de continuer de faire pression sur les média, afin qu’on
omette de dire que les malades viennent d’être vaccinés, ce qui ne sera pas difficile
lorsque l’on voit les pages entières de publicité achetées par certains laboratoires
pharmaceutiques aux journaux.

 

Ces manoeuvres constituent la tentative d’administration de substances nuisibles à
la santé. Nous sommes directement concernés par cette infraction, dans la mesure
où, si notre attention n’avait pas été alertée par les événements précités, nous nous
serions faits vacciner.

 

Pour l’ensemble de ces raisons, nous déposons plainte contre X entre vos mains,
pour tentative d’administration de substances nuisibles à la santé de nature à
entraîner la mort (art. 221-3 et 221-5 du Code Pénal).

 

Nous faisons élection de domicile au Cabinet de Me…

 

Nous vous prions de croire, Madame le Juge, à l’expression de notre Considération.

 

 

 

 Cet article provient du site de l'association ALIS

 

 

 

 

 

 

 

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 10:15
Risque de fichages, stigmatisations, banalisations ...
Numéro 461  voir site

Informatisation dans le travail social = danger
Sous ses aspects ludiques et terriblement performants, l’ordinateur lance un authentique défi aux professions sociales : dans le but de mieux venir en aide aux populations en difficulté, on commence par faire entrer des individus et des familles sur un fichier, on continue en connectant les différents fichiers entre eux, puis on dresse des tableaux statistiques par quartier. Et… on en arrive à des fichiers nominatifs sur ces usagers à problèmes. Explications sur des dérives quasi inévitables

C’est la routine : l’inspecteur à l’enfance reçoit un signalement via le SNATEM (Service national d’accueil téléphonique pour l’enfance maltraitée). Il adresse une demande d’enquête à madame X assistante sociale de secteur qui va pour cela évaluer les conditions de vie et d’éducation de l’enfant et de la famille Y. La fiche récapitulative reprenant les éléments transmis lors de l’appel téléphonique au numéro du SNATEM (119) est jointe.

L’assistante sociale ne connaissant pas la famille concernée, elle prépare sa première visite avec minutie. En effet, elle va devoir informer un couple de parents des suspicions qui pèsent sur eux : il faut éviter à tout prix qu’ils ne lui ferment la porte au nez dans les dix premières secondes. D’où un examen attentif de la fiche du SNATEM. Celle-ci se termine par l’indication légale : « En application de la loi du 6/1/1978, relative à l’informatique, aux droits et aux libertés, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification des informations vous concernant. »

Étonnement de l’assistante sociale qui s’interroge : il y a donc un fichier informatique au SNATEM répertoriant les coordonnées des familles supposées « maltraitantes » ? Qui peut accéder et surtout rectifier les données qui y sont intégrées ? Les principaux intéressés ? Les services sociaux ? En tout cas pas l’aide sociale à l’enfance ! L’inspecteur, contacté, répond : « je n’ai pas les moyens en personnel. Si toutes les familles veulent faire valoir leur droit… De toute façon, c’est un dossier justice puisque c’est le procureur qui fait la demande ! Qu’ils s’adressent à la justice ! »

L’assistante sociale fait observer que « c’est grave, car si le danger n’est pas fondé, cela veut dire que les gens sont fichés comme maltraitants à tort ! » Et l’inspecteur de répondre : « vous m’agacez avec vos questions métaphysiques ! »

Et pourtant, après enquête, il s’avérera que la famille Y n’était pas en difficulté, pas plus que leur enfant, et que le signalement les concernant était un geste de malveillance. Ce genre de situation représente, heureusement, un pourcentage des appels téléphoniques faible, mais néanmoins régulier. Cela ne remet en cause ni l’utilité, ni la pertinence du SNATEM, l’enquête sociale étant là justement pour vérifier la valeur des signalements. Et de ce côté-là, le dispositif fonctionne bien. Ce qui pose problème en revanche, c’est que cette famille a continué, à son insu, de figurer, pendant deux ans, sur un fichier informatique sous la rubrique « risque de maltraitance ».

Une rectification aurait dû intervenir à l’issue de l’évaluation sociale. Mais, l’inspecteur à l’enfance ne renvoie les résultats de l’intervention au SNATEM… qu’une fois par an… au mois de décembre ! Ce qui choque dans une telle affaire, ce ne sont pas tant les dysfonctionnements des dispositifs — aucun système ne peut prétendre en être exempt — c’est l’extrême banalisation de ces dysfonctionnements. Comme le dira plus tard l’inspecteur : « elles n’ont pas autre chose à faire les assistantes sociales que de s’occuper de ça ?» Et, comme on le comprend. L'administration est vraiment trop débordée, semble-t-il penser, pour se préoccuper de telles futilités. Décidément, ces assistantes sociales devraient se contenter de faire leur travail sans poser des questions idiotes.


Ficher les plus pauvres ?


Six départements ont adopté le progiciel ANIS qui permet de connecter toutes les données récoltées sur une même famille dans les différents services fréquentés relevant du conseil général : service social départemental (assistante sociale de quartier), protection maternelle et infantile (médecin et puéricultrice prenant en charge les 0-6 ans), ou encore aide sociale à l’enfance (aide éducative et placement d’enfants).

Même si l'informatique peut apparaître au premier abord comme un outil particulièrement utile, permettant d’apporter de la cohérence dans l’intervention sociale, et d’améliorer la situation des usagers, le principe de cette centralisation des informations a dès le début inquiété certains professionnels (cf. Lien Social n°406 : « Le social doit-il s’ouvrir à l’informatique ? »). On leur a répliqué alors qu’il n’y avait rien à craindre, qu’aucun dérapage ne pouvait se produire.

Et pourtant : le département de l’Ain trouve pertinent de rajouter à ANIS une liste d’appréciations que l’intervenant social doit cocher (ou non). On y trouve des items tels : «difficulté psychologique», «capacité à établir des liens affectifs», «état de dépendance (exprimé/reconnu)», «difficulté à accomplir actes de la viequotidienne», «difficulté intégration sociale», «engagement de la personne/prendre conscience de la réalité». Répondre à un tel questionnaire représente un double risque : celui tout d’abord d’évaluer des notions particulièrement subjectives sans aucune possibilité de nuance, et celui ensuite d'enfermer des usagers dans des petites cases arbitraires et figées. «Il n’est nullement obligatoire de les remplir» plaide Thierry Clément, directeur de la prévention et de l’action sociale au sein du Conseil général de l’Ain
(1). La CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) accepte l'argument dans un premier temps et autorise ce dispositif en novembre 1997.


Le sens de la dérive est ici bien perceptible : on commence par faire entrer des individus et des familles sur un fichier, on continue en connectant les différents fichiers entre eux, puis, progressivement, on dresse des tableaux statistiques par quartier. Et puis, bien sûr, dans le but de mieux venir en aide aux populations en difficulté (dont les problèmes auront été définis scien-ti-fi-que-ment par l’ordinateur), on en arrivera à opter pour des fichiers nominatifs qui permettront de savoir qui sont ces usagers à problèmes.

Naturellement, l’irruption du Front national dans les collectivités locales (l’Ain faisant partie de la région Rhône-Alpes !) fait peur : de tels fichiers présentent le risque de tomber entre les mains de personnes pas vraiment bien intentionnées. Mais, ce que démontre surtout cette affaire c’est comment, au nom de la technique et de l’efficacité, une fois de plus, le résultat passe avant l’éthique : on fait d’abord, on s’interroge ensuite.

Un certain nombre d’associations comme la Ligue des droits de l’homme, le Collectif informatique fichiers et liberté ou encore le Collectif pour les droits des citoyens face à l’informatisation de l’action sociale regroupées dans des collectifs de vigilance saisissent la CNIL qui se ravise et rend le 13 octobre une délibération leur donnant pleinement raison (voir
encadré).


Le pourquoi doit passer avant le comment


L’informatisation de l’action sociale et du travail social est en marche avec plus ou moins de bonheur selon les modalités de réalisation, avec ou sans la participation des personnels intéressés. Certains sont initiateurs et partisans enthousiastes des projets conduits dans leur institution. D’autres s’y opposent d’une manière passive ou bien en critiquant ouvertement la taylorisation des tâches et la standardisation des pratiques.


Qu’un dispositif soit mis en place pour faciliter la connaissance statistique, la gestion des dossiers, l’emploi du temps des professionnels, les échéances des contrats, des rapports à rédiger, le rappel des priorités des actions à engager, le suivi des moments importants de la vie des usagers, le carnet de bord des interventions, la vision rapide et complète de l’historique d’une situation pouvant être réactualisée régulièrement etc. tout cela ne peut rencontrer que l’enthousiasme et l’adhésion des professionnels. Mais, curieusement ce n’est pas là-dessus qu’on remarque l’utilisation de l’informatique dans les services.

 Les seuls logiciels existant, ce ne sont pas ceux qui offrent aux professionnels une aide dans l’organisation de leur travail, mais ceux proposant une lisibilité quantitative et statistique du secteur social. Car ne nous leurrons pas. Cette informatisation n’est pas seulement le produit de l’émergence des nouvelles technologies d’information et de communication qui envahissent progressivement tous les aspects de notre vie. C’est aussi le résultat d’une volonté politique visant à maîtriser les dépenses sociales et médico-sociales à partir d'un outil permettant avant tout de se procurer des données sociales fiables. La hantise de la gestion purement financière l’emporte dans une période où ce qui prévaut avant tout c’est bien la « rationalisation des choix budgétaires ». C'est bien là où gît le lièvre.

 Le travail social agit en permanence dans la complexité des situations rencontrées qui ne peuvent se réduire à quelques items préétablis. Chaque usager est unique et l’action engagée avec lui ne peut relever que de la singularité. La dynamique de l’aide se construit dans l’ici et le maintenant : le travailleur social ne connaît pas la réponse à la problématique qui lui est soumise avant qu’elle ne se crée et s’élabore dans la rencontre.

L’informatique, elle, ne peut engranger que du possible et du préexistant. Elle ne connaît pas l’utopie qui constitue l’un des moteurs de l’humanité. Le flou, l’incertitude, la complexité, l’imprévisible, le temps nécessaire à écouter la personne ne sont pas des données intégrables à l’ordinateur. Ces notions sont pourtant à la base du travail social qui décidément n’est pas modélisable. Comment traduire une relation en variable sélectionnée à l’avance ? C’est bien pour cela que la possibilité d’accéder aux informations recueillies par d’autres est un outil à double tranchant. Certes, cela représente un gain de temps : on évite d’avoir à refaire tout un cheminement. Pour autant, on risque aussi de reproduire certaines évaluations déjà faites sans se donner les moyens d’assurer sa propre approche.

 Combien de professionnels choisissent de ne prendre connaissance des dossiers et rapports qu'après avoir rencontré l’usager, et ce afin d’engager leur action à partir de leur propre représentation. Une telle approche présente le risque de générer les mêmes erreurs mais a l’avantage de ne pas reproduire obligatoirement les mêmes blocages, de donner une nouvelle chance, un nouveau départ quand il y a changement d’intervenant socio-éducatif.


Si toutes ces questions se posent déjà aujourd’hui, on peut imaginer la paralysie et la pétrification que propose potentiellement une informatisation qui réduirait l’individu à un code binaire (0/1, oui/non), mais qui en plus soumettrait cette mise en perspective à tous les intervenants.


La rencontre entre l’ordinateur et la relation d’aide a créé un malentendu majeur : science du quantifiable face à l’art de l’indicible pourrait-on dire. Ce qui ne pose pas problème pour le premier est une objection majeure pour le second : on ne peut faire entrer dans la machine que des données anonymisées. Tout à fait réalisable sur un plan technique cette exigence est peu compréhensible chez les informaticiens pour qui calculs mathématiques, prévisions météorologiques, budget, ou… fichiers de noms ou de données ne sont que des informations à traiter. D’où la nécessité d'exiger des dispositifs de sécurité, des contrôles d’accès et surtout des codages permettant de ne pas recouper telle indication avec tel nom.


Sous ses aspects ludiques et terriblement performants, l’ordinateur lance donc un authentique défi aux professions sociales. Les professionnels doivent s' interroger sur ses implications, non dans un quelconque réflexe réactionnaire de repli sur soi et de rejet de la nouveauté, mais bien dans une logique d’assimilation et d’incorporation. Ils doivent rester maîtres de cet outil et de leur méthodologie. Ils doivent surtout préserver la vie privée des usagers et veiller à ce que le principe du secret professionnel ne soit pas violé au prétexte de modernité et d’efficacité. L’idée reste la même quelle que soit la technique : l’homme doit dominer l’outil et non l’inverse.


Jacques Trémintin

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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 01:33



Voici une très bonne interview, j'aime bien quand on a pas peur de dire la vérité




Thierry Amouroux, secrétaire générale du syndicat des professionnels infirmiers, exprime ses réserves sur le vaccin de la grippe A.

 

Votre profession est réticente à se faire vacciner contre le H1N1. Pourquoi ?

  

Les infirmières ne sont pas contre les vaccinations en général. Pour la grippe en particulier, il nous semble important que la population se vaccine contre la grippe saisonnière. Cela nous permettra d’établir rapidement un diagnostic différentiel : si une personne qui s’est vaccinée contre la grippe saisonnière présente des symptômes grippaux quelques semaines après, on saura d’emblée que c’est du H1N1 et on pourra lui administrer du Tamiflu, qui n’est utile que les 48 premières heures.

 

Donc OK pour le vaccin contre la grippe saisonnière mais non à celui contre le H1N1 ?

 
Le vaccin contre le H1N1 n’est pas un vaccin normal. Il a été conçu de manière très rapide et n’a été testé que sur un très faible nombre de personnes. Que l’on passe sans transition d’un produit testé sur quelques centaines de personnes à un produit injecté dans la foulée à quelques dizaines de millions d’autres, c’est un vrai souci.

 

Les infirmiers vont-ils refuser la vaccination ?

63% des 4000 infirmiers qui ont répondu à notre enquête refusent de se faire vacciner contre la grippe A car le produit a été créé de manière rapide et avec un adjuvant, qui est un stimulant du système immunitaire. On a de grosses inquiétudes car ces produits n’ont jamais été testés sur une grande échelle et les problèmes apparaissent avec l’effet d’échelle. Quand vous avez un cas à risque sur 10 000 et que vous ne testez le produit que sur 200 personnes, vous avez peu de chances de le voir apparaitre. Mais si vous le testez sur 40 millions de Français, vous risquez de découvrir pas mal de cas…

Le H1N1 est cinq fois plus contagieux que la grippe saisonnière. Par contre, ce n’est pas un virus grave, ce n’est qu’une petite grippe. En France, on compte 2000 morts par an de la grippe saisonnière au minimum. Et le taux de mortalité est de 1/2000. L’INVS annonce 30 000 cas de H1N1 par semaine en France. Si le taux de mortalité était aussi important que pour la grippe saisonnière, on serait à 15 morts par semaine. On en est loin

 

Remettez vous en cause l’intérêt même de se faire vacciner ?

 
La vaccination doit être une décision personnelle qui doit se faire en fonction de son état de santé, de son environnement familial et de son environnement professionnel. Des infirmières m’ont dit qu’elles mêmes ne craignent pas le H1N1 mais, comme elles travaillent en service de réanimation néonatale, elles ne veulent pas être accusées de contaminer les bébés dont elles s’occupent. Donc elles vont se faire vacciner.

 


Craignez-vous des pressions au sein des hôpitaux pour pousser le personnel à se faire vacciner ?

 


La vaccination n’est pas obligatoire. Toute obligation relèverait d’une infraction au code pénal et serait une atteinte à la liberté individuelle. Maintenant, il peut y avoir des pressions morales. Par exemple, Mme Bachelot qui appelle à un geste d’altruisme en se vaccinant. Rappelons quand même que les infirmières se lavent les mains 100 fois par jour. La transmission du H1N1 par les infirmières, c’est du délire ministériel ! Toutes les mesures barrières conseillées à la population sont appliquées au quotidien par les infirmières. Si l’une d’elles est malade, elle est arrêtée. Il faut que les choses soient clarifiées. La vaccination, ce doit être du cas par cas. Quelqu’un qui souhaite se faire vacciner doit pouvoir rencontrer un personnel de santé qui lui explique les avantages et les inconvénients, pour que la personne puisse librement décider si, dans son cas, elle a intérêt à se faire vacciner ou pas. Dans l’état actuel des publications, il y a plus de risque à se faire vacciner qu’à affronter le H1N1 sans vaccination. On en fait trop et on fait prendre des risques à la population.

 

Tout le monde n’aura pas le même type de vaccin…
Nous avons dénoncé en effet voilà dix jours les vaccins avec adjuvants. Et Mme Bachelot a par la suite déclaré que les femmes enceintes et les personnes fragiles bénéficieraient d’un vaccin sans adjuvant… Donc on se trouve devant un vaccin de qualités différentes : un sûr pour les plus fragiles et un autre… qu’il faut bien écouler auprès du reste de la population, puisqu’on en a commandé 94 millions de doses !

 

Source:  Journal Metro

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 13:56

Un article d'un medecin généraliste Marc Girard  (site web ici )


Vaccination antigrippale : de plus en plus inquiétant...

lundi 14 septembre 2009 par Marc Girard

 

Il est démontré dans cet article :

  1. que plus la Ministre de la santé cherche à se justifier quant aux autorisations (AMM) de complaisance qu’elle s’apprête à délivrer, plus elle s’enferre ;
  1. que les vaccins contre la grippe saisonnière se singularisent par leur neurotoxicité, et que les experts de l’administration en sont parfaitement informés ;
  1. qu’en matière de vaccination, l’administration sanitaire française n’a déjà pas eu peur de recommander des expérimentations sauvages, fût-ce "chez les enfants et les nourrissons".

De plus en plus inquiétant, en effet...

 

Avec une insensibilité au ridicule qui finit par forcer le respect, le Ministre de la santé finit par affirmer :

 

 « Nous recevons les premiers vaccins de différents laboratoires, mais la question qui est posée c’est évidemment celle des autorisations de mise sur le marché. Il n’est pas question de commencer à vacciner sans que les procédures de sécurité soient complètement terminées (…) Les laboratoires nous disent (...) que les procédures pourraient nous permettre de commencer la vaccination fin octobre » [1] (c’est moi qui souligne). Les Français savent désormais à quoi s’en tenir : pour la première fois sans doute dans l’histoire de la pharmacie, ce sont les laboratoires qui fixent le calendrier de ces « procédures de sécurité » que l’on appelle AMM ! On croit rêver…

 

Que dirait-on d’un enseignant qui, avant même qu’ils n’aient passé l’examen, annoncerait à ses étudiants : "venez tous le 1er juillet pour chercher vos diplômes (avec mention…)" ? Mutatis mutandis, cela a pourtant été textuellement le discours du Ministère aux fabricants – au moins jusqu’à cette déclaration du 11/09/09. Désormais, ce sont les étudiants qui disent à leur professeur – et toujours avant l’examen : "le 1er juillet, vous viendrez nous apporter notre diplôme avec mention" [2]…

 

Cette anarchie réglementaire est d’autant plus préoccupante qu’il existe des précédents effroyables avec d’autres vaccins (cf. Un précédent à méditer).

  • En juin 1994, alertée par un nombre inhabituel d’accidents neurologiques, l’Agence du médicament lance une enquête de pharmacovigilance sur les vaccins contre l’hépatite B. Le 15/12/94, dès leur première présentation devant la Commission nationale de pharmacovigilance, les rapporteurs (alors parfaitement inconscients du scandale qui va bientôt éclater dans les médias) confirment que, de fait, les vaccins contre l’hépatite B "se singularisent" par "la survenue d’effets neurologiques graves". Et ils ajoutent incidemment qu’au terme de leurs recherches bibliographiques, les vaccins en général n’apparaissent pas neurotoxiques, à deux exceptions près toutefois : celui contre la coqueluche, et celui... contre la grippe ( !) [3] [4]
  • A ce moment (où rien n’avait encore filtré dans les médias), la réalité d’un risque neurologique lié à la vaccination contre l’hépatite B était donc admise comme allant de soi : en conséquence, il était encore possible de tout arrêter du plan lancé par M. Douste-Blazy seulement trois mois plus tôt (les modalités de la campagne scolaire en étant encore à la simple mise en place). Or, au lieu de recommander instamment cette décision de bon sens, les rapporteurs de l’enquête ne frémissent pas de conclure posément : "compte tenu de l’élargissement prochain de la vaccination (…), l’enquête sur les effets neurologiques des vaccins doit rester en ouverte » [5](c’est évidemment moi qui souligne). On est en pleine expérimentation humaine...

  • Mais les choses vont aller encore plus loin. Moins d’un an plus tard, le 12/10/95, les mêmes se retrouvent dans les mêmes circonstances pour faire le bilan de la situation alors que le programme de vaccination scolaire (classes de 6e) est désormais en place depuis le début de l’année. Cette fois, la Commission n’y va pas par quatre chemins et conclut textuellement : "Par ailleurs, la Commission nationale de pharmacovigilance souhaite que l’enquête reste ouverte, afin d’évaluer la sécurité d’emploi des vaccins anti-hépatite B chez les enfants et les nourrissons" [6] (c’est moi qui souligne).

On a bien lu : la Commission de pharmacovigilance a ouvertement souhaité que soit « évaluée » in vivo et a posteriori la sécurité du vaccin – et chez les enfants et les nourrissons en plus !

 

Du même coup, elle a admis que les évaluations essentielles de tolérance – même chez les « espèces protégées » de la recherche clinique (cf. Vacciner ou pas ?) n’avaient simplement pas été faites : rappelons qu’à la différence des vaccins antigrippaux qu’on nous promet pour le 15/10/09 (si les fabricants veulent bien prendre l’AMM...), les vaccins antihépatite dont il était question à l’époque n’avaient nullement été développés à la va-vite, mais sur plusieurs années.

 

Qui croit la Ministre quand elle soutient qu’en France, "il n’est pas question de commencer à vacciner sans que les procédures de sécurité soient complètement terminées" ?

"Pas question" sauf... "chez les enfants et les nourrissons" ?

 

[1] « Roselyne Bachelot : la circulation du virus H1N1 ‘en train de s’accélérer’ » (AFP, 11/09/09)

 

[2] Actuellement confrontée à une histoire de trafic de diplômes où elle veut sévir (LeParisien.fr, 08/09/09), la Ministre de l’enseignement supérieur devrait rencarder sa collègue de la santé sur l’organisation des évaluations en général.

 

[3] Effets indésirables neurologiques des vaccins contre l’hépatite B - Enquête officielle Rapport du Centre régional de pharmacovigilance Alsace à la Commission nationale de pharmacovigilance du 15/12/94, p. 51

 

[4] Exorbitant dans le contexte actuel, cet aveu confirme rétrospectivement mon analyse (cf. Le précédent de la grippe aviaire in Vacciner ou pas ?) : en 1994, la défense et illustration d’un vaccin qui n’intéressait personne à l’époque n’était pas encore au programme des "experts" soumis aux désiderata de l’industrie pharmaceutique : sur ce sujet au moins, on pouvait parler librement entre soi, sans crainte de nuire aux fabricants qui se souciaient comme d’une guigne du vaccin contre la grippe saisonnière.

 Confirmation complémentaire : à cette époque, les manuels de référence comme la Pharmacologie clinique de Giroud et coll. (1988, p. 1629) ou Martindale - The Extra-Pharmacopoeia, Londres, 1993, p. 1285) tenaient pour évidente cette neurotoxicité du vaccin anti-grippal, en soulignant qu’elle était plus particulièrement marquée avec les souches de grippe porcine. Accessoirement, ce même aveu permet de ranger au rang des de falsifications le propos de l’éditorial paru le 11/09/09 dans le New England Journal of Medicine et qui célèbre les pauvres essais réalisés sur un nouveau vaccin antigrippal en remarquant qu’en tout état de cause, la tradition de vaccination antigrippale où s’inscrit ce type de vaccins développés à la va-vite "(has) a strong record of safety" [est traditionnellement réputée pour son excellente tolérance].

 

[5] Ibid, p. 53

 

[6] Commission nationale de pharmacovigilance. Extrait du procès-verbal de la réunion du 12/10/95

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 21:43

LE VACCIN CONTRE LA POLIOMYÉLITE

 

Le vaccin contre la poliomyélite a été l'un des premiers vaccins antiviraux. Mis au point par le biologiste Salk, il fut fabriqué à partir de cultures du virus sur reins de singes. Des dizaines de millions d'enfants furent vaccinés jusqu'en 1960, date à laquelle on découvrit qu'il était contaminé par le virus SV 40  du singe, virus qui avait échappé à l'attention des fabricants de vaccins et qui, on le saura trop tard, provoquait des tumeurs chez les hamsters et une cancérisation chez l'homme, ainsi que le révélèrent certains expérimentations sur tissus humains.

***********
Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

{page 209} {Extrait 21}:

 

CONCLUSION

 

Dans les pays européens, mais particulièrement en France, l'affaire du sang contaminé par le virus du sida a défrayé la chronique, apparaissant au grand public comme un révélateur des pratiques scandaleuses du monde médical. C'est avec stupeur que les gens qui avaient une absolue et imbécile confiance à l'égard de la médecine allopathique institutionnelle ont appris que des produits contaminés avaient été sciemment vendus à des hémophiles, les vouant à une mort certaine à moyen terme. Pour des raisons de profit, au lieu d'être retirés du marché, les stocks de sang contaminé ont continué à être vendus. Dans le même temps, toujours pour des rasons d'ordre économique, les tests de dépistage proposés par deux laboratoires américains étaient refusés afin de permettre à l'Institut Pasteur, pris au dépourvu, de développer un test "français", source de profit pour cette institution et pour l'État.

 

Dans cette sombre histoire, placé sous le signe du cynisme le plus criminel qu'il soit, ont trempé des hommes politiques, leurs conseillers sortis tout droit de l'Institut Pasteur et, surtout, des médecins en charge de la santé publique, oubliant leur devoir le plus élémentaire, celui de la préserver.

[Note -> la même philosophie règne dans le milieu de la vaccination!!!]
 

{page 214} {Extrait 22}:

 

En l'absence d'une connaissance immunologique exacte, le principe absurde et antiscientifique des vaccinations pouvait à la rigeur, il y a 100 ans, être compris: il relevait de l'empirisme. De nos jours, alors que de sérieux progrès ont été accomplis dans le domaine de l'immunologie et de la virologie, poursuivre dans cette voie constitue à n'en pas douter un crime contre l'humanité. Allons-nous, longtemps encore, subir la loi des fabricants de vaccins, de leurs zélés serviteurs du corps médical et des politiques corrompus qui les soutiennent? La question est posée.

(...)

 

Au moment même où je termine cet ouvrage, l'un de mes correspondants américains m'adresse un fax par lequel il me rent compte d'un article paru dans le "New York Times" du 16 mai 1995, sous la plume d'un médecin nommé Lawrence K. Altman. Cet article remet complètement en question la réputation et les travaux de Pasteur, accusé par l'auteur d'avoir volé les idées et les découvertes de ses rivaux. Le docteur Altman démontre, après examen attentif et objectif des documents de laboratoire de Pasteur, que ce dernier a triché lors de ses expérimentations et qu'il a volé les travaux réalisés par d'autres.

 

 

........... F I N  ......

 

 

 

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 21:43

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 181 et 182} {Extrait 19}:

 

LE VACCIN CONTRE L'HÉPATITE B

 

(...)

 

Il y a une dizaine d'années, l'hépatite B était censée atteindre deulement les médecins et les infirmières, ceci au contact du sang d'un malade ou par suite de piqûres. On sait aujourd'hui que la maladie se transmet par voie sexuelle. Le virus de cette maladie a été découvert aux États-Unis en 1963. Les premiers vaccins furent réalisés et utilisés en 1976 par l'équipe du professeur Maupas, à Tours, en France. En 1991, dans ce pays, la loi rendit obligatoire la vaccination contre l'hépatite B pour le personnel de santé. Peu nombreuses, ces premières vaccinations n'ont pas été suivies et, par conséquent, on ne peut savoir quels effets secondaires se sont produits chez les vaccinés. Par contre, on sait que cette vaccination obligatoire pour le personnel de santé fut un échec avoué. De toutes façons, depuis 1976, il s'est écoulé trop peu de temps (20 ans) pour vérifier l'inocuité et l'efficacité du vaccin puisque les cirrhoses et cancers du foie mettent de 15 à 20 ans pour se manifester. Le recul n'est donc pas suffisant. Les enfants vaccinés à l'automne 1994 (plus de 500 000) avec l'Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre, présenteront probablement des cancers et autre affections graves dans 15 ou 20 ans. Malgré cette évidence, les fabricants de vaccins qui considèrent que le temps est de l'argent et souhaitent réaliser un chiffre d'affaires et des bénéfices records, voudraient que la vaccination contre l'hépatite B devienne obligatoire. À cet effet, ils font pression de tout leur poids sur les instances politiques qui leur sont inféodées.

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 21:41

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 177 et 178} {Extrait 18}:

 

LE VACCIN ROR (Rougeole, Oreillon, Rubéole)

 

Un groupe médical de réflexion suisse composé des docteurs H. Albonico, P. Klein, C. Grob et D. Pewner et travaillant en collaboration avec 180 médecins suisses et différents spécialistes suisses, allemands et américains ainsi qu'avec le Center of Diseases Control (CDC) aux USA et le professeur D. Jachertz à Berne, épidémiologiste réputé, a publié un rapport à propos de la vaccination ROR (2 novembre 1990). De ce document ressort une vive critique du principe de cette vaccination, cette critique étant fondée sur divers accidents produits, en particulier aux USA. 

 

On y lit que de sévères épidémies de rougeole récemment déclarées aux USA et en Hongrie, 2 pays affichant une haute couverture vaccinale depuis plusieurs années, permettent de mettre en doute l'efficacité du vaccin. Selon le professeur Diether Jachertz, cité par ce rapport, les risques encourus étant imprévisibles, il faut se garder, en l'absence d'urgence sanitaire, "de transformer une maladie à caractère endémique en épidémie par une vaccination systématique."

 

Ce rapport rend aussi compte de la situation aux USA en 1990, à savoir que malgré une haute couverture vaccinale, les cas de rougeole sont depuis deux ans en constante augmentation. Les nourrissons et les adolescents sont les nouvelles vistimes de ces épidémies. De source officielle, la mortalité est alors 10 fois supérieure à celle enregistée avant l'introduction du vaccin. La plupart des décès sont attribués àa pa pneumologie rougeoleuse. Un quart d'entre eux concerne les enfants de moins de 1 an et on observe la même proportion pour les jeunes adultes (19-33 ans).

 

Lors du lancement de la campagne suisse de vaccination ROR en 1987, l'exemple des États-Unis fut présenté comme un modèle de référence. Après 20 ans de vaccination systématique obligatoire, les USA avançaient un taux de vaccinés de plus de 95% et une réduction massive des cas de rougeole. Cependant, la situation récemment rencontrée en 1989-1990 donne matière à réflexion. Depuis 1982,  des épidémies de rougeole toujours plus importantes ont fait leur apparition. L'augmentation des déclarations de cas de rougeole en 1989 par rapport à l'année précédente fut de 380% !

 

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 21:37

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 5}

 

LES VACCINATIONS,  FACTEURS DE DÉGÉNÉRESCENCE DE L'ESPÈCE HUMAINE

 

( ... )

  

Par contre, une chose est certaine, admise par l'ensemble des biologistes, c'est qu'un organisme qui, au cours de l'évolution, est parvenu à s'adapter à l'environnement dans lequel il s'est trouvé placé, donne naissance à d'autres organismes parfaitement sains si les géniteurs étaient eux-mêmes sains du fait que leur système immunitaire était performant. Au contraire, si les géniteurs ne possèdaient pas un système immunitaire ad hoc et que quelques virus, rétrovirus ou autres bactéries aient déjoué les défenses de leur organisme pour y pénétrer et s'y installer tout en demeurant muets, défectifs, il apparaît évident que les intrus seront transmis aux descendants. Cest ainsi que, pratiquement, tous les Occidentaux possèdent dans leur organisme 5 ou 6 variétés de virus Herpès, et que nombre d'habitants d'Afrique centrale abritent dans leurs cellules le HTLV 2, découvert par Robert Gallo et son équipe. On ne parle que rarement de cette découverte capitale, éclipsée par celle du rétrovirus du sida.

 

Il faut qu'interviennent certaines circonstances particulières pour que ces virus herpétiques se manifestent, sortent de leur sommeil. De même pour le HTLV 2. Ces virus et rétrovirus ont été mis en évidence, mais il est certain que l'organisme humain abrite d'autres formes de virus et rétrovirus qui, pour le moment, n'ont pas été découverts. Il en est de même pour différentes espèces animales devenues de véritables réservoirs à virus, notamment les singes verts d'Afrique. Mais ces virus et rétrovirus demeurent muets, la plupart du temps. Le système immunitaire a fonctionné et, s'il n'a pas réussi à les éliminer, il leur a fait perdre leur virulence par restriction de leur propre capital génétique. Cela ne s'est certainement pas passé sans problème majeurs pour les organismes atteints, mais quoi qu'il en soit, on peut affirmer que les intrus en question ne se manifestent qu'en de rares occasions.

 

Par conséquent, on peut affirmer que des géniteurs sains, même s'ils sont porteurs de virus et rétrovirus défectifs, donnent naissance à des descendants sains, qui seront également porteurs de ces mêmes intrus, lesquels demeureront, en principe, muets, comme chez les ascendants.

Les decendants de ces géniteurs sains, au contact d'un environnement qui s'est peu modifié depuis des millénaires, se trouveront aux prises avec divers virus et bactéries pathogènes qui risqueront de provoquer les maladies bien connues de l'enfance, la rougeole, la rubérole, les oreillons, etc. et avec d'autres beaucoup plus dangereux susceptibles de provoquer des affections gravissimes telles que la variole, la peste, le choléra, etc., si certaines conditions élémentaires d'hygiène et de nutrition ne se trouvent pas réalisées.

 

 De la sorte apparaît l'importance de l'environnement dans la genèse de nombre de maladies infectieuses. Si l'humanité toute entière vivait dans des conditions exceptionnelles d'hygiène et de nutrition, il n'y aurait jamais d'épidémies et de pandémies provoquées par l'intrusion de facteurs infectieux.

 

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 6}

 

C'est l'affaiblissement du système immunitaire des organismes qui provoque l'intrusion de ces agens infectieux ou, dans certains cas, qui génère ou régénère ses propres agents infectieux demeurés jusque-là muets parce que vivant en symbiose avec la machinerie cellulaire résultant de l'évolution.

En conséquence, il semble évident que dans les pays développés où les conditions de nutrition et d'hygiène sont normales, point n'est besoin de prévenir par la vaccination des maladies qui n'apparaîtront jamais, puisque les facteurs générateurs de ces maladies ont pratiquement disparu. C'est ainsi que le principe des vaccinations apparaît comme une véritable supercherie et escroquerie à la santé. Les enfants en bas âge possèdent déjà à la naissance les anticorps transmis par leur mère. Plus tard, si leur organisme est confronté à des maladies comme la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc., il provoquera lui-même par cette confrontation sa propre immunité future. Ce ne sont pas des maladies graves. Il est facile de les soigner par des méthodes naturelles.

 

Si des affections gravissimes voient le jour, il y a lieu alors d'incriminer des facteurs d'environnement particulièrement néfastes, auxquels peut s'ajouter une modification du terrain chez l'individu atteint, elle-même due à une transmission héréditaire ou au non-respect de véritables conditions de vie d'hygiène et de nutrition. Suivant le cas, nous serons en présence de maladies telles que la tuberculose, la poliomyélite, le choléra, la peste, la sclérose en plaques, etc. et, pourquoi pas, le sida. Or, que voyons-nous? Plus les pays sont hautement industrialisés, plus le principe des vaccinations  (pourtant inutiles) est appliqué, prôné par les gouvernements. Et plus les pays du Tiers Monde sont fragilisés parce que les populations y souffrent de malnutrition et que leur système immunitaire y est mis à rude épreuve par nombre de vecteurs pathogènes, plus l'Organisation mondiale de la santé réalise des campagnes de vaccination sans faire aucune distinction quant à l'état immunitaire des individus. C'est de l'aberration mentale.

 

Il est reconnu aujourd'hui par la plupart des scientifiques compétents et honnêtes qu'il s'avère extrêmement dangereux de vacciner (introduire des virus vivants ou atténués) dans l'organisme d'individus fragilisés immunitairement.

{Cette fragilité  immunitaire est due au fait que les organismes des populations considérées se trouvent fréquemment confrontés à de nombreux facteurs pathogènes spécifiques du lieu où elles vivent et que leur système immunitaire trop sollicité n'a plus la capacité de réagir vigoureusement à des facteurs pathogènes étrangers introduits, par exemple, par la vaccination. La vaccine, en particulier, il ne faut pas l'oublier, sert de vecteur dans certains vaccins et son ontroduction dans un organisme débilité peut évidemment conduire à des complications désastreuses du fait que le virus peut se propager de manière pratiquement illimitée.}

 

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 7}

 

Dans les pays développés, la vaccination est inutile et dangereuse, alors que dans les pays en voie de développement, elle devient criminelle. Je citerai un simple exemple. Depuis toujours, les pays africains et asiatiques ont été touchés par la peste et la variole. On sait que des épidémies extraordinaires de peste se produisirent en Chine, en Afrique et aussi en Europe aux 6e et7e siècle, puis au 14e et 17e , tuant alors le ¼ des habitants. Une 3e pandémie prit naissance en Chine en 1894.

Le principal foyer endémique de la peste fut et demeure la Chine. On sait que cette maladie est provoquée par les puces et les rats qui, évidemment, prolifèrent dans ce pays où les conditions de vie et d'hygiène étaient et sont demeurées longtemps extrêmement précaires. L'épidémie s'est toujours développée dans des pays présentant les mêmes conditions précaires d'hygiène, comme ce fut le cas à une certaine époque en Afrique, en Amérique du Sud et en Europe, lorsque celles-ci s'étaient considérablement dégradées lors de périodes de misère et de guerre. Il en a été de même pour la variole et le choléra.

 

On a la preuve manifeste que ces épidémies et pandémies atteignent essentiellement les populations souffrant de misère physiologique et de dénutrition, ou vivant dans un environnement où les règles les plus élémentaires d'hygiène ne sont pas respectées. Autrement dit, nourrissez convenablement ces populations, faites-leur observer des règles strictes d'hygiène et vous éradiquerez ces maladies. Point n'est besoin de vacciner. Ainsi, au lieu de participer financièrement à des capagnes de vaccinations, les pays développés feraient mieux de consacrer l'argent à promouvoir une agriculture et un élevage permettant aux populations de vivre décemment et à assurer une prophylaxie ad hoc par des campagnes de dératisation et d'assainissement des lieux qui constituent des foyers permanents de peste. Dans un premier temps, cela coûterait certainement plus cher que les vaccinations, mais quelles économies quelques dizaines d'années plus tard. De plus, cette action représenterait une véritable oeuvre humanitaire.

 

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 8}

 

Les foyers permanents sont connus par l'Organisation mondiale de la santé. Les campagnes de vaccination qu'elle a réalisées en Afrique contre la variole dépassent l'entendement. Depuis,1958, année où l'on avait enregistré 278 000 cas dans le monde, et non pas seulement en Afrique, jusqu'au 26 octobre 1979, date à laquelle  l'Organisation mondiale de la santé annonçait officiellement l'éradication complète de la variole, plus de 120 millions d'Africains avaient été vaccinés. En 1963, on ne dénombrait plus que 80 000 cas dans le monde, avec seulement de 30% à 40% de mortalité chez les enfants non vaccinés. Pour l'OMS, la vaccination n'est efficace que si plus de 80% de tous les groupes de population sont vaccinés, y compris les nomades. C'est ainsi qu'en 1973, on pouvait estimer que plus de 100 millions de vaccinations avaient été effectuées en Afrique centrale et occidentale! En 1980, l'évaluation peut être portée à 180 millions de vaccinés. Or, c'est alors qu'il n'y avait que 80 000 cas signalés dans le monde en 1963, que les capagnes antivariolique furent les plus intensives. En outre, ce ne fut pas la seule vaccination pratiquée dans ces pays africains; on y ajouta celles contre la tuberculose, la poliomyélite, le tétanos, la rougeole, etc., avec des pourcentages de vaccinés de l'ordre de 70% à 100%.

 

Pour ses partisans et ses profiteurs, la vaccination est devenue un acte de dictature médicale et économique posé à l'encontre des plus faibles et des plus fragilisés par des conditions de vie misérables, et des moins évolués dans la compréhension des actes thérapeutique. On porrait qualifier l'acte vaccinal accompli sur ces populations peu évoluées d'acte terroriste et criminel relevant à la limite d'une volonté de génocide.

Si cette intention de génocide n'est pas réelle, il s'agit là en tout cas pour les vaccinalistes d'un cas de conscience posé par les conséquences catastrophiques de semblables vaccinations à moyen et long terme. Ceux qui n'ignorent pas ces conséquences pratiquent un acte criminel, [et] ceci [pour] des raisons de profits. L'autre face de la dictature exercée par les fabricants de vaccins et les vaccinalistes confirme ce qui apparaît sur la première lorsqu"ils infligent la vaccination à des populations appartenant à des pays en voie de développement ou non. En effet, sur la seconde face, on retrouvent les mêmes procédés dictatoriaux mais modifiés parce que confortés par des lois qu'ils ont fait voter par les gouvernements, rendant certaines vaccinations obligatoires. Le régime dictatorial n'est que plus hypocrite, se retranchant derrière ces lois au sein de régimes dits démocratiques.

 

***********

 

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 139}{Extrait 9}

 

Force est donc de constater que nous nous trouvons face à la situation paradoxale et aberrante suivante: tout le monde, gouvernements, organisations sociales et humanitaires, Organisation mondiale de la santé, compagnies d'assurances, corps médicale et citoyens (par manque d'information en ce qui concerne la manipulation dont ils sont les victimes) participent activement à une dégénérescence de l'espèce qui a commencé à se produire et qui se poursuivra à un rythme accéléré dans les prochaines décennies! Le système des vaccinations n'est, ni plus ni moins, qu'une « bombe à retardement » amorcée et réglée par l'humanité elle-même sur les indications des principaux responsables de la santé et des fabricants de vaccins, disciples de Pasteur. Ceux qui prétendent être les bienfaiteurs de l'humanité, accomplissent en réalité, par ignorance ou par  intérêt, un génocide programmé sdans précédent dans l'histoire de l'humanité. En ce sens, Pasteur et tous ceux qui se sont inspirés de sa méthode afin de faire du profit peuvent être considérés comme des criminels.

 

***********

 


Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

 

 

{page 146}{Extrait 10}: En 1903, la vaccination antivariolique est rendue obligatoire en France, au moment même où la maladie est en pleine phase de décroissance.

 

... Malgré de multiples accidents qui démontrent que la vaccination contre la variole est non seulement inutile mais dangereuse, provoquant plus de cas de variole chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (voir dans la première partie de cet ouvrage, les paragraphes consacrés à Jenner), on continue à vacciner jusqu'en 1977, soit durant 74 ans!

Sir Russel Wallace, le naturaliste qui, parallèlement à Darwin, fonda la théorie de l'évolution par la sélection naturelle, s'opposa toujours à la pratique des vaccinations.

 

{page 147}{Extrait 11}:  Le 26 octobre 1979, l'Organisation mondiale de la santé, après d'intensives campagnes de vaccination, en particulier en Afrique centrale et au Brésil, déclare que la variole est éradiquée. Pourtant, de 1963 à 1973, dans 12 pays européens, on avait enregistré seulement 391 cas de variole, résultant de 28 importations différentes de cette maladie. ... 20 fois la maladie venait d'Asie et 5 fois, d'Afrique, régions où existent des foyers épidémiques permanents dus aux conditions d'hygiène et de malnutrition.

Comment est-il concevable que devant un chiffre si bas de varioleux en Europe, on ait continué à vacciner contre la variole durant toute cette période, alors même que ces cas de variole avaient une origine extérieure à l'Europe? Cette maladie n'a pas été éradiquée grâce à la vaccination ainsi que le prétendent l'Organisation mondiale de la santé et les vaccinalistes, mais à cause de modifications des conditions de vie et d'hygiène dans les pays industrialisés...

 

{page 148, 149}{Extrait 12}:  ... C'est dans les 11 pays d'Afrique où les campagnes de vaccination furent les plus intenses qu'on compte présenrement le plus de sidéens. [!!!]

 

Dans un ouvrage intitulé « Sida, le vertige », paru en novembre 1993, après avoir passé en revue toutes les hypothèses émises sur l'origine du sida, j'expose ma propre opinion, à savoir que le rétrovirus du sida est le résultat de la recombinaison du virus de la vaccine avec le HIV 2 spécifique des populations d'Afrique centrale. Ma conclusion à propos de la vaccination antivariolique est donc formelle: non seulement a-t-elle provoqué de nombreux accidents et entretenu la variole alors même que les épidémies étaient en phase décroissante, mais elle est à l'origine du sida.

 

... Le professeur J. Tissot écrivait à ce sujet:

 

« Le virus de la vaccine jennérienne, très voisin mais différent du virus de la variole, ne vaccine pas contre celle-ci. Le fait est nettement établi par les épidémies de variole qui atteignent aussi les vaccinés. Malgré une vaccination à peu près totale des habitants de la ville de Leicester (Angleterre), l'épidémie de 1872 a causé tellement de varioles chez les vaccinés qu'on a abandonné la vaccination pour la remplacer avec succès par des mesures prophylactiques. L'épidémie de variole de 1918-1919 aux Philippines, dont la nation est depuis 1905 une des plus complètement vaccinée du monde, a frappé indistinctement vaccinés et non-vaccinés, causant 145 317 cas et 63 434 morts. La mortalité par variole a atteint 65, 3% à Manille, ville la plus fortement vaccinée du pays, alors qu'elle n'était que de 10% avant 1905. Les mêmes faits ont été constatés en Allemagne et au Japon. Ce sont là des preuves formelles qui établissent que la vaccination jennérienne ne protège pas contre la variole et qu'elle accroît même fortement la mortalité. »

 

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

 

{page 150, 151}{Extrait 13}:  ... quelques opinions scientifiques à ce sujet :

 

- Les professeurs J. Aleksandrowicz et B. Halileokowski, de l'Académie des Sciences de Cracovie (Pologne), in « The Lancet »  du 6 mai 1967:

« Des rapports déjà publiés, ainsi que nos propres observations, indiquent que la vaccination antivariolique provoque parfois l'apparition d'un cadre leucémique. Chez 5 enfants et 2 adultes observés dans les cliniques de Cracovie, la vaccination antivariolique a été suivie par de violentes réactions locales et générales et par la leucémie. »

 

- Le docteur B Duperrat, de l'Hôpital Saint-Louis, dans " La Presse Médicale " du 12 mars 1955:

« La vaccination provoque, en outre, une explosion de leucémie. »

 

- Le professeur René Dubos, dans "Man, Medecine and Environment", Praeger, New York, 1968:

« Le vaccin antivariolique provoque de graves encéphalites chez certains individus même s'il a été administré avec un soin extrême. La possibilité de contracter la variole est maintenant tellement réduite que les risques d'accident provenant du vaccin sont plus élevés que la possibilité de contracter la maladie elle-même. »

 

- Dans la revue "Vie et Action" de mars-avril 1966:

 

    « En Grande-Bretagne, la vaccination antivariolique n'est plus obligatoire depuis 1898 et pourtant 5 fois moins de gens sont morts de variole en Grande-Bretagne qu'en France où cette vaccination est obligatoire. Il en est de même en Hollande. »

- Le Directeur scientifique de Pasteur Vaccins, dans "Le Monde" du 23 mai 1987:

« Les problèmes soulevés pourraient effectivement conduire à une remise en question de certains vaccins comme le BCG, le vaccin antipolio oral ou le vaccin contre la rougeole. »

 

- Robert R. Redfield et Al Walter Reed, de l'"Army Institute of Research du Department of Virus Diseases" dans la revue "The New England Journal of Medecine", vol. 316, n° 11, 12 mars 1987:

« Ce cas montre que la primo-vaccination antivariolique des personnes porteuses du virus du sida pose le risque que le vaccin déclenche la maladie et que les vaccinations multiples puissent accélérer le développement du sida. De plus, ce cas soulève des questions préoccupantes quant à la sécurité ultime des vaccins clonés sur virus vaccinia dans les pays en voie de développement dans lesquels le sida se propage de plus en plus. »

 

- La même revue relate le cas d'un militaire américain vacciné au moment de son incorporation contre différentes maladies, dont la variole, lequel a développé une vaccine généralisée, puis le sida, dont il est décédé très rapidement. Avant d'être incorporé, ce militaire avait subi un examen de santé complet comprenant une formulation sanguine qui faisait apparaître 6 200 globules blancs avec 24% de lymphocytes; tous les autres résultats étaient également normaux.

  

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.{page 157} {Extrait 14}:

 

 

Une preuve évidente de l'inutilité et de la dangerosité du BCG est  que l'Organisation mondiale de la santé, sans doute préoccupée par cette question d'efficacité, organisa une expérience à grande échelle aux Indes entre 1968 et 1971. Un district fut choisi comprenant 209 villages et une ville, soit 360 000 personnes. Toutes les personnes furent testées à la tuberculine, et négatives, furent divisées en 2 groupes: l'un fut vacciné; l'autre non. Ellles furent suivies dans des conditions rigoureuses durant 7 ans et ½. Le résultat a été le suivant: il y a eu autant de cas de tuberculose chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Autrement dit et suivant le rapport même de l'OMS (Groupe scientifique ICMR/OMS, n° 651, Genève, 1980):

« Le BCG ne conférait aucune protection au cours de 7 ans et ½ de surveillance ultérieure et la maladie bacillaire frappait beaucoup plus souvent les sujets qui avaient initialement réagi à la tuberculine, après vaccination, que ceux qui n'avaient présenté aucune réaction. »

 

SANS COMMENTAIRE!

 

La République fédérale d'Allemagne n'avait pas attendu ce rapport et, dès 1973, avait suspendu la pratique de la vaccination par le BCG. En France, depuis de nombreuses années, certains professeurs de médecine réclament l'abandon de la vaccination, ainsi le professeur J. Chrétien, pneumo-phtisiologue à l'hôpital Laennec, à Paris et le professeur J. P. Derenne, service de pneumologie de l'hôpital Saint-Antoine, aussi à Paris, qui se sont exprimés en maintes occasions dans des revues médicales comme "Le Concours Médical".

 

 Après la guerre de 40-45, ravagés et ayant souffert de conditions de vie précaires, les Pays-Bas présentaient de nombreux cas de tuberculose. Jamais, la vaccination par le BCG n'y fut pratiquée et, cependant, la tuberculose fut éradiquée. Depuis de nombreuses années, ce pays présente le taux le plus bas des pays d'Europe pour la mortalité par tuberculose. Par contre, les cas de tuberculose sont élevés dans tous les pays où la vaccination est obligatoire.

 Dans son buletin statistique (n° 1, 1974), le ministère de la Santé publique et la Sécurité sociale  constate que là où la vaccination est obligatoire, dans les pays comme la Bulgarie, la Tchécoslovaquie, la Pologne, le Portugal, les cas de tuberculose sont en nette progression. Depuis 5 ans, nous assistons au même phénomène en France.

 

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

 

 

 

{page 159} {Extrait 15}: En mai 1930, un événement particulièrement tragique venait confirmer les dires du professeur Lignières. À l'hôpital de Lübeck (Allemagne), 72 nouveau-nés meurent à la suite de la vaccination par le BCG. L'enquête révèle que ce vaccin avait été préparé à partir d'une souche fournie par l'Institut Pasteur français. Un procès a lieu et les résultats de l'enquête font apparaître que le personnel de l'hôpital avait reçu l'ordre de détruire tous les flacons de BCG qui n'avaient pas été utilisés. Dans ces conditions, toutes preuves n'existant plus, le tribunal attribua le décès des 72 enfants à une erreur commise par des inconnus.

  

{page 170} {Extrait 16}: LE VACCIN CONTRE LE CHOLÉRA

 

Quoi qu'il en soit, il apparaît aux dires de certains experts ("Science et vie", avril 1973) que le vaccin protège seulement une personne sur 2 pendant une brève période de 4 à 6 mois et qu'on ne peut compter sur ce vaccin pour enrayer une épidémie. En 1988, une grave épidémie de choléra affecta l'Inde. Des milliers d'individus furent atteints. Or, l'Organisation mondiale de la santé avait réalisé quelques vaccinations expérimentales de masse en Inde en 1987, utilisant un vaccin mis au point par des cherceheurs astraliens. Ce vaccins avait été expérimenté sur des animaux et était administré par voie orale. Une immunité à vie était garantie avec une seule dose dont le prix était à la portée de toutes les bourses (Communiqué ATS-ANSA-REUTER et "Corrierre del Ticino", 25 juillet 1988). Cet essai de vaccination a-t-il provoqué l'épidémie? Cent mille personnes avaient été vaccinées dans la région de New Delhi.

 

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.{page 176} {Extrait 17}:

 

 

À propos de la vaccination contre la coqueluche, le docteur G.T. Stewart, professeur de médecine à l'Université de Glasgow (Écosse), constate que 30% des cas de coqueluche se déclarent chez les vaccinés. Il y a lieu de faire remarquer que cette vaccination fut introduite en 1936 au moment où la mortalité due à cette infection avait considérablement diminué.

Il en fut d'ailleurs ainsi chaque fois pour toutes les vaccinations. quant au profersseur George Dick de l'hôpital du Middlesex, autorité mondiale en  matière d'immunologie, il déclare que "chaque année, le vaccin contre la coqueluche peut causer l'infirmité de nombreux enfants, provoquant des lésions cérébrales, ajoutant que les médecins sont toujours réticents lorsqu'il s'agit d'attribuer des méfaits à des thérapies qu'ils ont eux-mêmes recommandées " ("Daily Telegraph", 7 avril 1973). Et dans son ouvrage intitulé "La poliomyélite", cité dans  « Survie » (1975) le docteur J. Pilette écrit que "le vaccin contre la coqueluche et le vaccin multiple Coqueluche-Diphtérie peuvent provoquer l'apparition de la poliomyélite, apparaissant de préférence dans les membres qui ont été inoculés.

 

Deux événements événements semblent donner raison au docteur Pilette. En Australie, dans l'État de Victoria, on a enregistré entre janvier et août 1949, 375 cas de polio dont 31 étaient liés au vaccin multiple auquel avaient été soumis le même nombre d'enfants en l'espace de 3 mois [donc 100% des enfants vaccinés!!!], alors qu'à Londres, sur 182 cas de polio chez des enfants de moins de 5 ans, 35 avaient reçu 4 semaines auparavant une inoculation de vaccin contre la coqueluche ou le vaccin mixte coqueluche-diphtérie.

 

Le journal "JAMA ( Journal of the American Medical Association)", en 1982, reconnaissait que "depuis le début des vaccinations avec le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, on a pu observer des réactions aiguës d'encéphalopathies liées au vaccin.

 

Cela, on le savait depuis bien longtemps!

 

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 21:30

LA NON-INNOCUITÉ DES VACCINS : UN MYTHE

 

Différents essais réalisés aux usa et contrôlés par ordinateur ont fait apparaître que des virus et rétrovirus présents dans un organisme humain peuvent y demeurer à l'état latent ou défectif, c'est-à-dire en ne s'exprimant pas. Tout virus inoculé fait de même. Mais si certains événements biologiques se produisent entraînant un changement de terrain, ou si le terrain du vacciné se trouve déprimé au plan immunitaire, ce virus peut retrouver sa virulence initiale. En fait, toute modification biochimique d'un organisme peut entraîner un retour à la virulence du virus inoculé ou permettre une recombinaison génétique avec un autre virus présent dans l'organisme mais qui ne se manifestait pas dans la mesure où s'était établi un état d'équilibre, de symbiose biologique.

 Me référant à des expériences qui se sont déroulées au département de microbiologie de l'Université de Californie à Los Angeles en 1986, je puis affirmer que deux virus non virulent peuvent devenir virulents, c'est-à-dire léthaux
[meurtriers; qui tuent], par recombinaison spontanées, in vivo [dans un organisme vivant -> l'Humain par exemple]. Toutefois, point n'est besoin de procéder à une recombinaison entre deux virus ou rétrovirus affectant des espèces différents pour obtenir un super-virus ou rétrovirus.

 

L'expérience que je relate ci-après donne à réfléchir. Deux virus pathogènes, mais non léthaux pris séparément, sont susceptibles de provoquer une affection mortelle (pour les animaux) en se recombinant par eux-mêmes, sans manipulation génétique exécutée par l'homme. On savait que l'infection d'un animal par un virus virulent est capable de provoquer une maladie caractérisée. Mais on n'avait jamais démontré in vivo que l'inoculation de virus non virulents pouvait provoquer une maladie par le biais du phénomène de complémentation ou de recombinaison.

 En 1986, une équipe de recherche américaine [étatsunienne] a utilisé deux souches de virus herpès simplex type 1 et les a inoculées à des souris {American science, 7 novembre 1986). 62% des animaux qui reçurent un mélange à concentration égale des deux espèces virales décédèrent. Par contre, les souris qui reçurent une injection similaire ou 100 fois plus concentrée de chacun des agents viraux pris séparément survécurent toutes. En considérant un lot de 20 souris mortes après l'injection du mélange viral des deux souches non virulentes, 14 virus furent isolés. Onze d'entre eux se révélèrent être des recombinaisons. Trois de ces recombinaisons réinjectés à des souris se montrèrent mortels.  De semblables résultats prouvent que deux variants non virulents d'herpès simplex peuvent interagir in vivo et engendrer des recombinaisons virulents et léthaux
[mortels].

 

[Imaginez donc ce que peuvent faire tout une série de vaccins différents qu'on inocule aux enfants et aux adultes???]

 

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 144 à 145}{Extrait 4}

 

La conclusion semble évidente. Il apparaît en premier lieu que le transfert d'un virus d'une espèce à une autre représente un danger pour le receveur et en second, que deux virus possèdent la capacité de se recombiner in vivo, c'est-à-dire de créer une souche nouvelle non seulement pathogène mais léthale.

 Dans le cadre de cette conclusion objective, on peut alors se poser la question de savoir si la vaccination tant prônée ne représente pas un sérieux danger pour la santé publique. En effet, il semble évident à tout biologiste que l'organisme humain, animal ou végétal constitue une entité, un monde clos qui doit demeurer vierge de toute pollution tout au long de son existence si l'on veut qu'il survive dans des conditions idéales de fonctionnement et d'homéostasie. Le système immunitaire des êtres vivants est là pour le prouver: il intervient vigoureusement pour le défendre contre toute agression étrangère. En cas de déficience de ce système, c'est la maladie et la mort. Or, on peut se demander si, de nos jours, l'organisme humain est vierge de toute pollution, de pollution virale en particulier... La réponse est évidente: depuis la pratique générale des vaccinations, il ne l'est certainement pas.

 

Même atténué, un virus peut reprendre sa virulence in vivo. C'est le cas du virus polio vaccinal qui redevient pathogène après passage dans l'intestin et qui contribue ainsi à contaminer l'entourage. Une étude menée par l'OMS dans huit pays, de 1970 à 1974, montre que sur 360 cas de polio paralytique, 144 se sont produit chez des contacts de vaccinés et qu'aux États-Unis, en 1982 et 1983, tous les cas de poliomyélite rapportés ont été associés aux vaccins. En outre, les vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe mais tumoral pour l'homme. Ce qui expliquerait l'explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l'homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.

 

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 21:27
Vaccination : erreur médicale du siècle

http://www.esoterisme-exp.com/francais/main/suggestions/livres/vaccination/vaccination_infos.htm

Auteur :Dr. Louis de Brouwer m.d.
Édition : Louise Courteau
Distributeur : Raffin
Prix suggéré en librairie : ~ 26 $
Nombre de pages : 304
ISBN 2-89239-183-0
Imprimé : premier trimestre 1997

TABLE DES MATIÈRES
 

Chapitre 1 : La mirifique découverte du principe de la vaccination...21
Chapitre 2 : L'origine des vaccinations...33
Chapitre 3 : Les précurseurs de Pasteur...47
Chapitre 4 : Pasteur: son oeuvre, ses prétendus travaux et découvertes...  73
Chapitre 5 : Études expérimentales du professeur Antoine Béchamp...83
Chapitre 6 : Les adeptes de la théorie vaccinale : de Jenner et Pasteur à la "mafia" vaccinaliste..111
Chapitre 7 : Les responsables d'une génération génétiquement  fragilisée...131


Les fabriquant de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l'histoire de l'humanité : faire croire à l'efficacité et à l'innocuité de ce principe inventé par Jenner et repris à son compte par Pasteur, alors qu'il ne repose sur aucune base scientifique sérieuse.

On sait aujourd'hui, 100 ans après son décès, que Pasteur fut un génie de la tricherie, du plagiat. du trucage des statistiques, du traffic d'influence, de la publicité bien orchestrée et que, assoiffé d'honneurs et d'argent, ses différentes expérimentations vaccinales étaient truquées, selon l'aveu même de ses collaborateurs.

 

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 141 à 144}{Extrait 1}

 

Les fabricants de vaccins sont touchés de plein fouet. Se référant au livre d'Allen [David J.] et à sa mort plutôt suspecte, de moins en moins de gens se font vacciner. Le doute s'est installé dans les esprits. Qu'à cela ne tienne, les industriels incriminés ne perdent pas pied. Ils continuent à prôner le vaccin et fabriquent en même temps toutes sortes de médicaments destinés à soigner les affections occurrentes spécifiques de la maladie du sida. Un véritable pactole! La suite, nous la connaissons... Les experts désignés par l'instance judiciaire internationale avaient déclaré dans leur rapport:

 

« Les fabricants de vaccins jouent sur du velours. En effet, il est impossible de démontrer d'une manière scientifique l'efficacité des vaccins. La seule chose qu'on puisse comptabiliser est le nombre de sujets vaccinés, sans savoir s'ils ont été réellement immunisés puisqu'ils ne sont pas suivis par le corps médical. D'autre part, étant donné le nombre considérable de sujets vaccinés, de 90% à 99%, si les vaccins étaient efficaces, il ne devrait plus y avoir depuis longtemps aucune maladie infectieuse sur la planète. Or, depuis quelques années, des épidémies et pandémies qu'on croyait éradiquées sont réapparues en force. Le principe vaccinal, dès sa découverte par Jenner, fut sujet à caution. Nous avons inventorié des documents qui démontrent que les recherches réalisées par lui ont été faites selon des critères scientifiques inacceptables, c'est-à-dire sans un contrôle suffisant des expériences. Ceux qui ont accepté et suivi ce principe, par manque d'information ou esprit de lucre [profit], ont commis une très lourde erreur dont nous payons actuellement les conséquences.

  

« En particulier, le Français Pasteur, par la généralisation des vaccinations pour lutter contre d'autres affections que la variole, peut être considéré comme le père fondateur de la plus grande entreprise criminelle de tous les temps. Son expérience de vaccination contre la rage peut être considérée comme une supercherie ayant fait long feu. Les successeurs de Pasteur et l'Institut Pasteur doivent être considérés comme les responsables de la situation sanitaire mondiale actuelle. Toutes les statistiques internationales consultées font montre de diverses falsifications. Parce qu'ils ont prôné les vaccinations par intérêt ou par ignorance des phénomènes biologiques spécifiques du principe vaccinal, les gouvernements et le corps médical dans son ensemble sont aussi condamnables. Également, il s'avère que le corps médical et l'Organisation mondiale de la santé n'ont jamais eu la possibilité de suivre les personnes vaccinées, sauf dans les cas d'accidents. C'est pourquoi, on peut les accuser d'avoir propagé les vaccins sans posséder la certitude d'une réelle efficacité. Enfin, le principe des vaccinations obligatoires n'aurait jamais du être acceptépar les gouvernements et l'ensemble des populations, du fait qu'il est contraire aux principes élémentaires des droits de l'homme. Il s'agit là d'une atteinte à la liberté individuelle. »
 

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 141 à 144}{Extrait 2}

 

Un groupe de scientifiques de haut niveau prend le relais du docteur Allen et démontre que la mise sur le marché du vaccin X constitue une supercherie et qu'en réalité, ce sont bien les vaccinations qui sont à l'origine du sida. Ils exposent que par recombinaison génétique, l'introduction de virus vivants dans un organisme peut réveiller un virus endormi, et que c'est ce qui s'est passé. Le sida est donc une maladie provoquée par les vaccinations. Telle est la conclusion des experts, conclusion qui rejoint la déclaration de Robert Gallo au London Times, du 11 mai 1987:

 

« La relation entre le programme de vaccination de l'OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du Tiers Monde et l'épidémie de sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela s'est réellement passé, mais durant des années, j'ai toujours dit que l'usage de vaccins de virus vivants (comme l'on pratique en Afrique) peut activer un virus endormi comme celui du sida. »

 

Évidemment, ce groupe d'experts omet de dire qu'en 1993, le docteur De Brouwer avait écrit un ouvrage, Sida, le vertige, dans lequel il tentait de démontrer de manière scientifique que le virus du sida était le résultat d'une recombinaison génétique entre le HTLV 2 et le virus de la vaccine. Pourquoi le professeur Robert Gallo, qui trouvait cette hypothèse intéressante, n'a-t-il pas orienté ses recherches dans ce sens? On peut se poser de nombreuses questions à ce propos.
 

 

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